Les expérimentateurs psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. ont l’habitude de distinguer les expériences à choix forcé et les expériences à réponse libre. Ces deux types sont utilisés lors des tests. Si l’on compare les expériences sur le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. aux tests que l’on fait passer dans les universités, on peut dire qu’une expérience à choix forcé ressemble à un examen à choix multiples, et qu’une expérience à réponse libre est comparable à un examen qui nécessite la rédaction d’un texte de la part de l’étudiant.
Dans les expériences à choix forcé, les sujets sont placés devant un nombre déterminé de réponses possibles, dont l’une seulement correspond à la cibleDans lESP, lobjet ou lévénement que le récepteur cherche à deviner (cartes-cible, image-cible, sites-cible) ; dans la PK, lobjet, le processus ou le système que le sujet cherche à influencer (système-cible : souris, GNA, dés, etc.).. Par exemple, avec les cartes de Zener, les sujets savent qu’il existe cinq symboles dans le jeu, et que la cibleDans lESP, lobjet ou lévénement que le récepteur cherche à deviner (cartes-cible, image-cible, sites-cible) ; dans la PK, lobjet, le processus ou le système que le sujet cherche à influencer (système-cible : souris, GNA, dés, etc.). est l’un d’entre eux.
Dans les expériences à réponse libre, on ne demande pas au sujet de choisir parmi différentes réponses préétablies. Il s’ensuit que, pratiquement, tout ce qui se trouve dans l’univers peut correspondre à la cibleDans lESP, lobjet ou lévénement que le récepteur cherche à deviner (cartes-cible, image-cible, sites-cible) ; dans la PK, lobjet, le processus ou le système que le sujet cherche à influencer (système-cible : souris, GNA, dés, etc.)..
Ainsi, dans une expérience au Stanford Research Institute, on a demandé à Uri Geller de reproduire le dessin tracé au moment même par un agentDans les cas spontanés, la personne vivant lévénement dont le récepteur va recevoir linformation ; dans les expérimentations de télépathie, lémetteur ; dans la psychokinèse :le sujet, considéré comme source du psi. situé dans une autre pièce. La variété des objets que cet agentDans les cas spontanés, la personne vivant lévénement dont le récepteur va recevoir linformation ; dans les expérimentations de télépathie, lémetteur ; dans la psychokinèse :le sujet, considéré comme source du psi. pouvait employer comme cibleDans lESP, lobjet ou lévénement que le récepteur cherche à deviner (cartes-cible, image-cible, sites-cible) ; dans la PK, lobjet, le processus ou le système que le sujet cherche à influencer (système-cible : souris, GNA, dés, etc.). était donc pratiquement illimitée.
Le principal problème rencontré par les chercheurs, lors d’expériences à réponse libre, réside dans l’appréciation de la correspondance entre la cibleDans lESP, lobjet ou lévénement que le récepteur cherche à deviner (cartes-cible, image-cible, sites-cible) ; dans la PK, lobjet, le processus ou le système que le sujet cherche à influencer (système-cible : souris, GNA, dés, etc.). et la divination du sujet.
Si, par exemple, la cibleDans lESP, lobjet ou lévénement que le récepteur cherche à deviner (cartes-cible, image-cible, sites-cible) ; dans la PK, lobjet, le processus ou le système que le sujet cherche à influencer (système-cible : souris, GNA, dés, etc.). est un verre de limonade avec des glaçons, et que la réponse du sujet est une bouteille de soda froid, peut-on conclure que la divination est exacte? Partiellement exacte? Ou incorrecte?
Des procédures extrêmement complexes ont été conçues pour estimer de tels résultats. Certaines, cependant, ne sont pas totalement sûres car elles reposent sur des appréciations
humaines, hautement subjectives.
Dans le cas des tests à choix forcé, les résultats sont évidemment plus faciles à évaluer. Si l’on choisit l’un des cinq chiffres comme cibleDans lESP, lobjet ou lévénement que le récepteur cherche à deviner (cartes-cible, image-cible, sites-cible) ; dans la PK, lobjet, le processus ou le système que le sujet cherche à influencer (système-cible : souris, GNA, dés, etc.)., et que le sujet opte pour un chiffre différent, il est absolument clair que son choix est faux.
Pourtant, même alors, si le sujet rate ses essais notablement plus souvent que ne le veut l’attente du hasard, les expérimentateurs peuvent être conduits à en conclure que ce choix inexact résulte, en fait, d’une manifestation de psi missing.