Auteur : Etzel Cardeña – Université de Lund
Publication : American Psychologist © 2018 – American Psychological Association 2018, Vol. 73, No. 5, 663–677
Format PDF : CARDENA – Preuves experimentales
Cet article présente une intégration globale des théories et preuves expérimentales actuelles concernant les phénomènes dits parapsychologiques (psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi.). Depuis toujours, les gens ont fait état d’événements semblant aller à l’encontre de la vision commune de l’espace et du temps. Au moyen de théories et de protocoles de recherche sophistiqués, certains psychologues se sont retrouvés à l’avant-garde de l’exploration de ces phénomènes, pendant que d’autres consacraient leur carrière à critiquer ce domaine. Les deux postures s’expliquent par l’expertise des psychologues sur des processus pertinents tels que la perception, la mémoire, les croyances, ainsi que les processus conscients et non-conscients. Cet article apporte un éclairage sur le champ du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., résume les théories récentes de la physique et de la psychologie qui présentent les phénomènes psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. comme étant a minima plausibles, et enfin donne un aperçu des méta-analyses récentes. Les preuves se sont accumulées en faveur de la réalité du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., et ne peuvent aisément être écartées pour cause de qualité de l’étude, de supercherie, de communication sélective des résultats, d’incompétence expérimentale ou analytique, ni de toute autre critique habituelle. Les preuves en faveur du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. sont comparables à celles des phénomènes admis en psychologie et dans d’autres disciplines, bien qu’il n’y ait pas de consensus quant à leur compréhension. L’article se termine par des recommandations pour de nouvelles avancées dans ce champ, comme l’utilisation d’archives de projets et de données, la réalisation d’études multidisciplinaires dotées de suffisamment de puissance statistique, le développement plus poussé de mesures non-conscientes du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. et de théories réfutables, l’analyse des caractéristiques des sessions fructueuses et de leurs participants, l’amélioration de la validité écologique des études, la manière d’augmenter les tailles d’effets, le recrutement d’un plus grand nombre de chercheurs plus ouverts à la possibilité du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., et le positionnement des phénomènes psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. au sein de domaines plus larges tels que l’étude de la conscience.
Mots-clés : parapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire., recherche psychique, psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., méta-analyseAnalyse statistique prenant en compte de nombreuses expérimentations dun même type., cognition anomale
Des gens de tous horizons ont fait état d‘événements semblant contrevenir au vision actuelle de l’espace et du temps, qu’il s’agisse de rêves prédisant un événement important et imprévisible, ou bien d’affirmations plus banales comme celle d’un ancien premier ministre suédois déclarant qu’il est capable de ressentir lorsque sa femme va l’appeler (Thunberg, 2006). Dans divers sondages, la majorité des personnes interrogées adhèrent à la croyance en de tels phénomènes, qui pourraient avoir un impact notable sur leurs vies (Watt & Tierney, 2014). Au cours des dernières années, la recherche en parapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire. (psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi.) est apparue dans les principales revues de psychologie (par ex : Bem, 2011 ; Storm, Tressoldi, & Di Risio, 2010a, 2010b), et des revues de littérature exhaustives des preuves pour et contre le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. ont été publiées (Cardeña, Palmer, & Marcusson-Clavertz, 2015 ; May & Marwaha, 2015), mais aucune intégration récente des théories et preuves actuelles n’a été publiée.
Certains psychologues ont été à l’avant-garde de la production de recherche et de théorie favorables ; d’autres ont consacré la majeure partie de leur carrière à critiquer ce champ. Les deux postures peuvent s’expliquer par l’expertise de ces psychologues quant à des processus pertinents tels que la perception, la mémoire et les croyances, ainsi que sur les processus conscients et non-conscients. Cependant, de nombreux psychologues manquent probablement de connaissances solides dans le domaine. Un psi-sceptique bien informé a écrit : « Sur les questions liées au paranormalLe champ des phénomènes susceptibles de relever de la paranormalité est plus ou moins étendu suivant l'idée même que l'on se fait de ce qui est censé être normal ou pas. Une fois éliminé ce qui relève de l' « anormal » et qui renverrait plutôt au dérèglement, voire au pathologique, il reste un domaine assez vaste de phénomènes ou d'expériences étranges, difficilement explicables, qualifiés bien souvent de paranormaux. Les limites de ce corpus de phénomènes sont destinées à être floues puisqu'elles dépendent étroitement de l'idée qu'à une époque et dans une culture données on se fait du «normal », de l'« explicable» et du «possible ». Prenons un premier exemple, bien connu des historiens des sciences. On a longtemps considéré que les météorites n'existaient pas, puisque des «pierres ne pouvaient pas tomber du ciel ». Pourtant de nombreux témoignages rendaient compte de leur existence, avant que la science classique ne les reconnaisse. Ces « pierres » semblent paranormales pour qui ne dispose pas des concepts adéquats permettant de les accepter en tant qu'objets «dignes de science ». Un deuxième exemple aidera à comprendre le relativisme indispensable dès que l'on tente d'appréhender culturellement la paranormalité. Dans les sociétés traditionnelles africaines, il est très classique de considérer qu'à l'aide de pratiques sorcières un sort ait pu être jeté, faisant ainsi une ou plusieurs victimes. L'idée de l'influence occulte à distance ne pose alors pas problème et fait partie des faits possibles, repérés comme causes envisageables du mal et du malheur. L'action sorcière est donc exclue d'une logique paranormale stricto sensu puisque complètement intégrée dans les croyances populaires. Il est d'ailleurs intéressant de noter que, pour bon nombre de nos contemporains vivant en Europe occidentale, cette conviction est encore très présente. Une fois posé ce nécessaire relativisme, il semble que l'on puisse dégager à notre époque quatre manières dominantes d'aborder le concept de paranormal: « sceptique », «fourre-tout », «parapsychologique» et « holistique ». Pour les sceptiques, le paranormal n'existe pas en tant que tel. Il renvoie à d'autres catégories. Le paranormal n'est qu'apparent. Il peut s'agir en fait d'illusions, de trucages consciemment organisés ou de perceptions inconscientes dont d'éventuels témoins ont été victimes en toute bonne foi. Dans cette optique, des faits inexpliqués peuvent bien être reconnus, surtout s'ils sont reproductibles, mais ils doivent trouver leur place au sein d'interrogations portées logiquement par la science. Les tenants de cette manière d'envisager les choses sont souvent qualifiés de «scientistes», tant ils semblent attachés à une vision du réel correspondant exclusivement aux données les plus classiques et reconnues de la science. Leurs références privilégiées se trouvent du côté d'une épistémologie se définissant comme «cartésienne» ou «rationaliste ». Ce qui n'est pas sans poser question. En effet, en choisissant de délimiter d'une façon plus ou moins arbitraire des objets d'étude considérés comme rationnels et d'autres qui, ne l'étant pas, ne méritent pas que l'on s'y attarde, il n'est pas dit que l'on choisisse le camp de la raison. Le risque encouru est de se débarrasser d'un certain nombre de phénomènes gênants au prix d'une amputation d'un réel que l'on peut supposer toujours plus complexe que l'idée que l'on peut s'en faire. En France, Henri Broch est sans doute le représentant le plus connu de ce courant de pensée s'appuyant sur la « zététique », se voulant « science du doute ». À l'apparent opposé de l'approche précédente, le paranormal est parfois envisagé comme un gigantesque fourre-tout, où tout «mystère» est traité sur un pied d'égalité et dans une logique du « tout existe et tout est ton », sans réflexion épistémolologique sur le niveau de réalité susceptibles d'être mis en jeu suivant les «faits » invoqués. Se côtoient, pêle-mêle, les phénomènes dits paranormaux étudiés par les parapsychologues, la cryptozoologie (étude des animaux rares et mystérieux), l'ufologie et, d'une façon plus large, tout phénomène réputé extraordinaire, inexplicable ou mystérieux: triangle des Bermudes, archéologie sacrée, civilisations disparues, ésotérisme, occultisme, sociétés secrètes, etc. Dans ce cadre, où dominent l'amalgame et l'hétérogénéité, les phénomènes étudiés sont accueillis au milieu d'un ensemble baroque qui pèche indiscutablement par son manque d'unité, du moins vu sous un épistémologique. En revanche, en terme sociologique on pourrrait reconnaître une certaine pertinence de recoupement. En effet, le même statut parascientifique réservé à l'ensemble des phénomènes concernés (puisque dans l'optique scientiste évoquée précédemment « rien n'existe et rien n'est bon »). De plus, des travaux sociologiques ont bien montré la proximité des représentations et croyances que l'adhésion à plusieurs de ces phénomènes implique. Très souvent, le terme « paranormal» est employé de façon plus restrictive pour désigner les phénomènes dits paranormaux étudiés par les parapsychologues, regroupant essentiellement les phénomènes de perception extrasensorielle (ESP : télépathie, clairvoyance, précognition) et les phénomènes de type physique (psychokinèse). L'approche parapsychologique tente d'établir des liens entre les expériences réalisées en laboratoire ayant permis d'asseoir les catégories précédentes et un certain nombre de phénomènes du «paranormal spontané ». La question pertinente pour les chercheurs en parapsychologie consiste à se demander si, devant des faits ou des témoignages non ordinaires, on ne se trouve pas en présence de phénomènes paranormaux observés in vivo. La lévitation n'est-elle pas pas à rattacher à une forme particulière de macropsychokinèse ? Dans la pratique des voyants peut-on repérer des compétences paranormales correspondant à des phénomènes de type ESP? Les parapsychologues restent ouverts mais prudents devant des faits s'éloignant de leurs objets d'études et des interprétations se détachant trop d'une pensée authentiquement rationnelle ce qui les différencie des approches différentes. La dernière manière d'envisager le paranormal peut être considérée comme une variante de la précédente mais s'en différenciant suffisamment pour en être démarquée. Reconnaissant les mêmes phénomènes que les parapsychologues « classiques » mais préocuppés par une théorisation globale et donc à prétention holistique, à défaut d'être définitive, certains chercheurs s'éloignent de l'expérimentation de laboratoire et de la question de la preuve. Ils considèrent cette dernière comme définitivement acquise ou pensent qu'elle n'est pas pertinente épistémologiquement. Ils se tournent alors préférentiellement vers les données tirées de l'expérience subjective pour tenter diverses synthèses à coloration psychologique, philosophique, voire religieuse, suivant les auteurs. Ainsi Philippe Wallon tente de théoriser à travers le concept des «niveaux du mental », un élargissement de l'inconscient associée à des éléments : la philosophie orientale. François Favre privilégie quant à lui le concept d'« intentionnalité» comme moteur de l'émergence du paranormal. D'autres auteurs, à la sensibilité proche du mouvement New Age, n'hésitent pas à associer d'une façon syncrétique plus ou moins rigoureuse des considérations scientifiques (la physique quantique est très souvent convoquée pour la circonstance), philosophiques et spirituelles intégrant des éléments paranormaux. Pour terminer, il paraît utile de tenter de rapprocher le paranormal, concept complexe et polysémique, de certaines catégories théologiques. Le paranormal est trop souvent associé au sumaturel, comme il peut l'être au contraire au diabolique. C'est sans doute à la méconnaissance des travaux parapsychologiques, tout autant dans les milieux ethnologiques, psychanalytiques que théologiques, que l'on doit ce type de confusions et d'amalgames, parfois lourds de fâcheuses conséquences (notamment dans le cadre de certaines prises en charge thérapeutiques, d'accompagnements spirituels ou de pratiques d'exorcismes). Ne serait-il pas plus judicieux de considérer les phénomènes dits paranormaux comme relevant d'un « naturel non ordinaire », voire de la catégorie du «préternaturel»? Il n'est pas question de clore ici un débat qui mérite mieux que la place académique limitée qui lui est aujourd'hui accordée. {Par Paul-Louis Rabeyron (extrait du dictionnaire des miracles et de l'extraordinaire chrétien, rédigé sous la direction de Patrick Sbalchiero, Fayard, 2000)}, la plupart des psychologues pourraient raisonnablement être décrits comme des sceptiques non-informés (une minorité comme des bigots aux idées préconçues) » (French, 2001, p. 7). Il est donc important d’avoir une vision d’ensemble ainsi qu’une discussion concernant la recherche et la théorie dans le domaine. Cet article (a) présentera le domaine de la recherche psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., (b) traitera des cadres théoriques pertinents issus de la physique, de la psychologie, et de la théorie évolutionniste, (c) passera en revue les méta-analyses récentes/actualisées dans le domaine, et (d) fournira des recommandations pour la recherche future.
Le champ de la recherche psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi.
Depuis la création de la Society for Psychical Research en 1882, la recherche psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. a utilisé ou même développé des pratiques scientifiques dans le but d’« examiner sans a priori ni idées préconçues » la nature de ces phénomènes. La parapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire. peut se définir comme l’étude des phénomènes prétendument psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. à l’aide de la méthode scientifique ; et la Parapsychological AssociationLa Parapsychological Association (PA) est une organisation internationale constituée de scientifiques et d'universitaires qui étudient les phénomènes psi, comme la télépathie, la clairvoyance, la psychokinèse, la guérison psychique ou la précognition. La Parapsychological Association est reconnue comme une association scientifique à part entière, étant membre de l'AAAS depuis 1969. C'est le plus important organisme de recherche en parapsychologie. La plupart des parapsychologues sont membre de PA. elle permet de féderer l'ensemble des chercheurs travaillant dans le domaine de la parapsychologie et organise chaque année un congrès où sont publiées les recherches scientifiques des parapsychologues. Elle a pour objectif de promouvoir l'approche scientifique et objective des phénomènes psi et ses membres obeissent à une charte de déontologie., l’association professionnelle dans ce domaine, est affiliée à l’American Association for the Advancement of Sciences (la plus grande société savante généraliste au monde) depuis 1969.
Le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. comprend généralement deux domaines majeurs : (1) ce qu’on appelait autrefois la perception extrasensorielle, ou ESPPerception extrasensorielle ; connaissance d’un événement extérieur sans l’intervention des sens connus, ou parfois comportement répondant à cet événement. (« extrasensory remote viewing », en anglais), et (2) la psychokinèseCapacité à influencer mentalement un objet, un processus ou un système sans lutilisation de mécanismes ou dénergies connues. On distingue la bio-psychokinèse , la micro-psychokinèse et la macro-psychokinèse . (PK). L’ESPPerception extrasensorielle ; connaissance d’un événement extérieur sans l’intervention des sens connus, ou parfois comportement répondant à cet événement. inclut la télépathieLa télépathie désigne un échange dinformations entre deux personnes nimpliquant aucune interaction sensorielle ou énergétique connue. présumée (le fait d’être affecté par les pensées ou émotions de quelqu’un, sans l’intermédiaire des sens ou d’inférence logique, comme le fait de deviner qui nous a envoyé un mail de manière plus précise que par un pur hasard), la clairvoyanceConnaissance d'objets ou d'événements à distance sans l'intermédiaire des sens. (le fait d’obtenir des informations concernant une situation distante, sans l’intermédiaire des sens ou d’inférence logique, comme la vision à distancePerception extra sensorielle d’un lieu situé à distance du récepteur. (« remote viewing » (RV) en anglais, qui fait qu’une personne décrit précisément des détails sur un endroit choisi au hasard par quelqu’un d’autre), la précognitionLa précognition est la connaissance dun événement futur qui ne pourrait être ni prédit ni inféré par des moyens normaux./le présentiment (le fait d’être affecté par un événement ayant lieu dans le futur et ne pouvant être anticipé, comme rêver d’avions s’écrasant contre de grands immeubles la nuit précédant le 11 septembre), et la rétrocognition (le fait de détenir des connaissances non inférables concernant un événement passé). Le terme « ESP » prête à confusion car il suggère que la perception est le mécanisme intermédiaire, alors que de nos jours peu de chercheurs psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. (voire aucun) estiment que ce soit le cas. De plus, la distinction entre ces phénomènes dépend de la manière dont ils sont testés ou considérés, plutôt que de mécanismes différents. Des exemples identifiés comme étant de la clairvoyanceConnaissance d'objets ou d'événements à distance sans l'intermédiaire des sens. pourraient également être considérés comme de la télépathieLa télépathie désigne un échange dinformations entre deux personnes nimpliquant aucune interaction sensorielle ou énergétique connue., et toutes deux pourraient être englobées sous le terme de précognitionLa précognition est la connaissance dun événement futur qui ne pourrait être ni prédit ni inféré par des moyens normaux., puisque quelqu’un, à un certain point dans le futur, pourrait acquérir cette information. Le terme cognition anomale sera utilisé dans cet article (Cardeña et al., 2015 ; May, Utts, & Spottiswoode, 1995).
La PK renvoie à l’action supposée directe des événements mentaux (c.-à-d. : l’intention) sur des objets physiques, sans l’intermédiaire d’activité mécanique indirecte ou musculaire. On distingue la macropsychokinèse (ou force anomale), qui désigne un effet sur des objets observables comme une table en lévitation sans explication mécanique apparente, de la micropsychokinèse (ou perturbation anomale), un effet sur des évènements petits et inobservables comme le fait d’influencer mentalement le résultat d’un générateur de nombres aléatoiresActuellement, système électronique servant à générer des nombres aléatoires. On utilise des générateurs de nombres aléatoires (GNA ou RNG en anglais) en particulier dans les expériences de psychokinèse, s'agissant d'une source fiable de hasard. (GNA) produisant sans quoi des résultats au hasard. Certains chercheurs psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. étudient la possibilité d’une conscience après la mort, y compris des cas d’enfants rapportant spontanément des informations à propos d’une vie antérieure, à laquelle ni eux ni leurs proches ne semblent avoir eu accès (Mills & Tucker, 2015). Cependant, ceux-ci ont également été interprétés comme des exemples de cognition anomale plutôt que de survivance (Sudduth, 2009). Les deux approches descriptive et expérimentale peuvent être utilisées pour évaluer les phénomènes psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi..
A leurs débuts, la psychologie et la parapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire. n’étaient pas des disciplines clairement distinctes, et les figures fondatrices de l’une soutenaient l’autre (Cardeña, 2015a ; Sommer, 2013). On citera notamment Bekhterev, Hans Berger (inventeur de l’électroencéphalogramme), Binet, Fechner, Freud, Luria, Ramón y Cajal, et les présidents de l’American Psychological Association (APA) James et Murphy. Plus récemment, des corps professoraux parmi les universités les mieux classées telles que Harvard, Princeton et Stanford, et même un ancien président de l’APA, ont apporté leur soutien à la poursuite des recherches sur le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. (Cardeña, 2014).
La parapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire. a également contribué à des méthodes et des domaines de recherche qui ont plus tard été intégrées à la psychologie, parmi lesquels figurent la première utilisation de la randomisation couplée à l’utilisation systématique de procédures de masquage (Hacking, 1988), la première utilisation globale de méta-analyseAnalyse statistique prenant en compte de nombreuses expérimentations dun même type. en 1940 (Gupta & Agrawal, 2012), le préenregistrement d’étude depuis 1976 (Johnson, 1976), ainsi que des contributions pionnières à la psychologie des hallucinations, des témoignages oculaires, et des phénomènes dissociatifs et hypnotiques (pour une synthèse de la littérature, voir Hövelmann, 2015).
Phénomènes PsiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. et théories physiques
Parce que les phénomènes psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. sont parfois supposés contrevenir aux principes physiques, trois objections communes seront abordées, à savoir (1) ils dérogent aux « lois de la nature », (2) si acceptés, ils invalideraient des avancées scientifiques, et (3) aucune théorie ne peut les expliquer. Le fait que des critiques du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. avancent l’argument de la violation des lois de la nature résulte de présupposés qui stipulent qu’un événement ne peut pas en affecter un autre à distance sans l’intermédiaire d’une forme d’énergie connue, que des événements futurs ne devraient pas pouvoir en affecter des précédents, et que des événements mentaux ne peuvent avoir aucun effet direct sur un organisme autre que celui qui les a générés. Toutefois, la mécanique quantique (QM, pour « quantum mechanics » en anglais) et la théorie de la relativité d’Einstein ont dépeint une réalité qui diffère substantiellement du sens commun. Le lauréat du prix Nobel et pionnier en biologie moléculaire Max Delbrück (1986) l’a exprimé ainsi : « La science moderne… nous a forcé à abandonner le temps et l’espace absolus, le déterminisme, et l’objet absolu » (p. 279).
Non-localité
Dans son interprétation de la QM (et les experts diffèrent sur son interprétation, par ex : Schlosshauer, Kofler, & Zeilinger, 2013), l’éminent physicien Bernard d’Espagnat (1979, 2006) traite des implications des expériences montrant que la mesure/l’observation d’une propriété d’une particule, telles que son spin, détermine instantanément celle d’une autre particule avec laquelle elle est intriquée, peu importe leur éloignement. L’intrication signifie que les états quantiques de ces particules ne sont pas indépendants, mais font partie d’un même système, ce qui peut être produit de différentes façons. D’Espagnat conclut que de telles expériences réfutent la théorie réaliste locale selon laquelle des effets ne peuvent se propager plus vite que la lumière et des objets éloignés l’un de l’autre dans l’espace sont relativement indépendants. D’après lui, le monde n’est pas fait d’objets « matériels » séparés intégrés dans l’espace-temps, mais d’un champ indivisible et non-séparable, une « réalité voilée », avec lequel la conscience interagit. Il conclut que les implications de la QM et des « penseurs pro-transcendentalisme » (d’Espagnat, 2006, p. 429) ont des points communs, à l’instar de David Bohm (1986), physicien renommé, dans sa théorie de l’ordre impliqué ou champ de guidage, qu’il a appliquée aux phénomènes psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi.
George Musser(2015), journaliste du Scientific American, a également soutenu une interprétation non-locale de la QM et considéré l’espace comme un « concept voué à l’échec » (p. 125). Il a aussi décrit comment des effets dérogeant aux hypothèses de localité ne se produisent pas exclusivement à l’échelle d’une particule mais également au niveau cosmique (et au niveau méso des êtres vivants ; voir Lambert et al., 2013). Dans cet ordre d’idées, Hans Halvorson, philosophe de la physique de Princeton, conclut qu’une forme de super-intrication relie chaque aspect de tout dans l’univers (Musser, 2015, p. 139). En principe, et du même coup, les phénomènes psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. – tels qu’une mort soudaine affectant un être cher à un autre endroit -, concordent avec la vision non locale de l’univers. De plus, en comparaison avec la physique classique, laquelle dépeint un univers où tout est déterminé par des causes préalables, la QM suggère qu’avant l’effondrement de la fonction d’onde quantique par un certain type de mesure, les objets ne sont que des fonctions de probabilité (Musser, 2015). En parapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire., les théories observationnelles proposent que les expériences psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. exploitent l’indétermination d’un système. Celui-ci peut devenir légèrement biaisée par l’intention d’un observateur (Millar, 2015), ou, comme Stapp (2017) l’a expliqué, par « des conditions pertinentes qui incluent les émotions vécues par des agents biologiques » (p. 106).
Le Temps
Les théories du temps d’Einstein, et les expériences qui en ont été issues, ont démontré que le temps et l’espace mesurés de manière objective ne sont pas absolus et qu’ils dépendent de certaines variables, telles que la position et la vitesse des observateurs ainsi que du champ gravitationnel. Par exemple, les évènements encore situés dans le futur d’un individu se déplaçant à vitesse lente peuvent s’être déjà produits pour un autre se déplaçant plus rapidement. Qui plus est, dans la théorie particulière de la relativité du temps de l’univers-bloc, passé, présent et futur coexistent simultanément, bien que nous ne fassions l’expérience que du présent (Davies, 2002). Malgré notre perception caractéristique du temps comme étant une série de moments en perpétuel recul, des expériences de rétro-causalité quantique (ou causalité inversée) suggèrent que des évènements futurs peuvent affecter ceux passés. Par exemple, la mesure du spin d’une particule, qui réduit sa fonction d’onde probabiliste à une valeur définie, semble déterminer de manière rétroactive le spin d’un photon décalé dans le temps avec lequel il est intriqué. Le physicien Daniel Sheehan (2011, 2015) a conclu que des expériences en physique et des expériences sur le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. corroborent les effets rétro-cognitifs, et le physicien et parapsychologueCe terme revêt de nos jours un double sens. Utilisé pour désigner les chercheurs de formation scientifique et universitaire qui étudient les phénomènes paranormaux dans le cadre de la parapsychologie scientifique, il renvoie aussi aux praticiens de l'occulte et du paranormal (voyants, médiums, magnétiseurs, etc.). On pourrait souhaiter que la première acception évoquée l'emporte dans le vocabulaire courant pour ainsi éviter toute confusion. L'ambiguïté du terme est volontiers entretenue par les critiques et détracteurs de la parapsychologie scientifique. Ceux-ci tentent ainsi, par un pernicieux effet d'amalgame maintenant une certaine confusion sémantique, de reléguer des recherches se voulant rationnelles sur ces questions en dehors du champ de la science. Des praticiens du paranormal peuvent avoir tendance, eux aussi, à entretenir cette ambiguïté. En se prétendant parapsychologues, ils espèrent sans doute, par la référence scientifique qu'ils s'attribuent, renforcer auprès de leurs clients l'image de professions en manque de reconnaissance sociale. De plus, le peu d'approfondissement que des enquêtes médiatiques trop souvent en mal de sensationnel consacrent à ce type de questions contribue à laisser perdurer la confusion, là où il faudrait au contraire faire preuve de discernement et de prudence. Que pouvons-nous dire des parapsychologues relevant du premier sens envisagé et que nous voudrions privilégier ici? D'origines universitaires variées, les chercheurs amenés à réfléchir aux questions parapsychologiques se recrutent aussi bien parmi des spécialistes des sciences dites humaines (psychologues, ethnologues, sociologues, etc.) que parmi des spécialistes des sciences dites exactes (mathématiciens, physiciens, biologistes, etc.). Des philosophes, des médecins et des ingénieurs se retrouvent également impliqués dans ce domaine de recherche. Seuls quelques laboratoires dans le monde emploient des chercheurs en parapsychologie à temps plein. Compte tenu du peu de place que l'institution scientifique accorde encore à la parapsychologie, la plupart des chercheurs n'y consacrent qu'une partie de leur temps, exerçant par ailleurs des fonctions en lien avec leur formation d'origine. Les premiers grands noms de la parapsychologie furent les pionniers de recherches qualifiées alors de psychiques , ou bien encore de métapsychiques. Parmi les plus connus, on pourrait citer le philosophe américain William James (1842-1910), tenant du pragmatisme, le physicien anglais William Crookes (1829-1919), rendu par ailleurs célèbre par la découverte du thallium, et le Français Charles Richet (1850-1935), prix Nobel de médecine en 1913. Deux psychologues américains ont ensuite particulièrement marqué l'histoire de la parapsychologie durant la seconde moitié du XXème siècle. Joseph Banks Rhine (1925-1980) est considéré comme le père de la parapsychologie quantitative car il a systématisé le traitement statistique des phénomènes paranormaux observés en laboratoire. Plus près de nous, Charles Honorton, en introduisant la technique du ganzfeld et en appliquant les techniques de méta-analyses aux données parapsychologiques, a permis de faire avancer le débat entre partisans et opposants de la parapsychologie. En France, c'est essentiellement autour de l'Institut métapsychique international, fondé en 1919, que se sont regroupés les principaux intellectuels interessés par ces questions. On citera, pour mémoire, les docteurs Gustave Geley (1865-1924) et Eugène Osty (1874-1938) ou bien encore les ingénieurs René Warcollier (1881-1962) et Henri Marcotte (1920-1987). Le spécialiste d'éthologie animale Rémy Chauvin, membre de l'Académie des sciences, est certainement, à l'heure actuelle, le scientifique le plus connu du grand public qui ait ouvertement déclaré son intérêt pour la parapsychologie, par le biais notamment d'expériences réalisées avec des animaux. Ce sont en fait de très nombreux chercheurs (qu'il faudrait certainement compter en milliers), issus de mondes scientifiques et intellectuels très divers, qui se sont passionnés pour la parapsychologie depuis plus d'un siècle, aussi bien en Europe qu'aux États-Unis, comme dans l'ex-URSS ou d'autres pays du monde. Dans son ouvrage "Somnambulisme et médiumnité" et plus particulièrement dans le tome II intitulé "Le Choc des sciences psychiques", le philosophe et sociologue Bertrand Meheust, reprenant l'histoire des débuts de la métapsychique, tente de comprendre les origines de l'incroyable entreprise d'occultation qui a pesé et qui pèse encore sur les travaux de plusieurs générations de parapsychologues. {Par Paul-Louis Rabeyron (extrait du dictionnaire des miracles et de l'extraordinaire chrétien, rédigé sous la direction de Patrick Sbalchiero, Fayard, 2000)} Edwin May a développé une théorie dans laquelle des signaux d’un point futur de l’espace-temps, tels que la connaissance éventuelle de la cibleDans lESP, lobjet ou lévénement que le récepteur cherche à deviner (cartes-cible, image-cible, sites-cible) ; dans la PK, lobjet, le processus ou le système que le sujet cherche à influencer (système-cible : souris, GNA, dés, etc.). d’une expérience, peuvent affecter des processus corticaux précédant ceux tentant de le deviner (ex : Marwaha & May, 2016). Une explication alternative est que la conscience pourrait biaiser un évènement futur (Stapp, 2017).
Conscience / Sensibilité
Une des interprétations de la QM requiert que la mesure qui fait s’effondrer une fonction d’onde de probabilité en un résultat déterminé soit réalisée par un observateur doué de sensation (Stapp, 2017). En cohérence avec un rôle causal de la sensibilité, Delbrück (1986) critiqua « la scission cartésienne entre l’esprit et la matière » (p. 279), et le psychologue cognitif Max Velmans (2000) s’attarda également sur les raisons pour lesquelles une distinction franche entre les phénomènes « objectifs » et « subjectifs » est malencontreuse. De la même façon, un professeur de cosmologie écrivit que « la position matérialiste en physique semble reposer sur des fondations métaphysiques instables » (Franck, 2017, extrait du sous-titre) et questionna la position matérialiste des neurosciences pour expliquer la conscience. Le fameux philosophe de l’esprit Thomas Nagel (2012) conclut que le fossé explicatif entre les processus neurochimiques et les expériences mentales est difficile à résoudre d’un point de vue évolutionniste matérialiste, et que la réalité ne peut se réduire aux domaines matériel, mental ou fonctionnel, mais qu’au contraire elle les englobe tous. Freeman Dyson (1988, p. 297), physicien de Princeton, attribua différents niveaux de l’esprit allant du niveau particulaire au niveau cosmique, et Velmann (2000) conclut qu’un modèle continu de la sensibilité est plus parcimonieux qu’un modèle qui suggèrerait que le mental émerge simplement de la matière à un certain niveau de complexité. Pour compléter, avec d’éminents neuroscientifiques, la liste de ceux qui soutiennent des vues non-matérialistes de l’esprit, Christof Koch, collaborateur de la première heure de l’archi-réductionniste Francis Crick (Crick & Koch, 1990), conclut avec Giulio Tononi que la conscience est une propriété fondamentale de l’information chez les entités complexes (Tononi & Koch, 2015, voir également Dyson, 1988 ; Kelly, 2015).
Mais comment des évènements « mentaux » peuvent-ils interagir avec des évènements « physiques », en supposant qu’ils diffèrent de manière ontologique ? Bernard Carr (2015), professeur de mathématiques et cosmologie de l’Université de Londres, a décrit de récentes approches hyper-spatiales ou hyper-dimensionnelles qui postulent des dimensions additionnelles à celles du temps et des trois de l’espace. Il propose que les évènements qui paraissent distants dans notre espace dimensionnel peuvent être adjacents dans un espace hyper-dimensionnel, et que la dichotomie classique entre l’esprit et la matière est résolue par un « champ transcendental » hyper-dimensionnel dans lequel les phénomènes mentaux peuvent avoir des effets causaux. Le physicien Henry P. Stapp (2017, p 65), du Lawrence Livermore National Laboratory, a développé un modèle de « mécanique quantique orthodoxe interprété de manière réaliste » dans lequel les intentions conscientes peuvent produire de petits biaisPrésence de patterns ou de défauts particuliers pouvant introduire une modification arbitraire des résultats et faussant ainsi leur validité (ex : un dé non équilibré ayant tendance à faire sortir souvent le même chiffre). sur des processus quantiques ; et la recherche a effectivement montré de petits effets significatifs de l’intention sur des schémas ondulatoires de photon (Radin, Michel, & Delorme, 2016).
Les positions mentionnées ci-dessus ne « prouvent » pas l’existence des phénomènes psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., mais elles les rendent plausibles, et certains physiciens ont proposé des théories spécifiques les concernant. Elles sont également une réponse aux psychologues qui déclarent que les phénomènes psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. sont impossibles (« Les parapsychologues croient en des choses ‘’impossibles’’ », Alcock, 2010, p. 29 ; « (le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi.) va à l’encontre de ce que nous tenons pour vrai à propos du monde », Wagenmakers, Wetzels, Borsboom, & Van der Maas, 2011, p. 46).
Théories psychologiques et évolutionnistes du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi.
Deux théories psychologiques, la réponse instrumentale médiatisée par le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. ou PMIR (en anglais, psi-mediated instrumental response ; Stanford, 2015) et la théorie prima facie (en anglais, first-sight theory ; Carpenter, 2012), cherchent à intégrer le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. aux théories psychologiques et évolutionnistes. Bien que leur contenu varie, toutes deux suggèrent que les informations psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. empiètent continuellement sur les processus mentaux, même si c’est habituellement de façon non-consciente, et peuvent servir des inclinations personnelles et/ou adaptatives. PMIR a servi de base à des études où il a été observé que des tâches psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. gratifiantes intégrées à des expérimentations non-psi affectaient la performance à ces dernières (voir section ci-dessous sur la cognition anomale implicite). Une des hypothèses de la PMIR est qu’un organisme peut répondre à des évènements hors de portée sensorielle et auxquels il aurait répondu s’ils avaient été perceptibles, tels que l’évitement d’une situation dangereuse imperceptible, et qu’il y a une composante motivationnelle à laquelle l’organisme est plutôt enclin à s’intéresser selon ses propres dispositions et schémas (Stanford, 2015). De la même manière, d’après le modèle prima facie : (a) le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. n’est pas limité par l’approche classique du temps et de l’espace et est fondamental pour tous les organismes, et (b) il opère principalement non-consciemment mais peut affecter la conscience et l’action en accord avec les dispositions de l’organisme (Carpenter, 2012).
Il existe également des explications concernant l’observation d’un lien entre altérations de la conscience modifiée et psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi.. Selon la théorie de la « réduction de bruit », l’information psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. est subtile et a plus de chance de rester non-consciente au milieu d’informations écrasantes délivrées par les sens et les actions corporelles, sauf si ces entrées sont réduites (Honorton, 1977). Par conséquent, les procédures réduisant ces stimuli (tels que la méditation, l’hypnose, et le ganzfeldLe Ganzfeld (terme allemand qui signifie "champ sensoriel uniforme") est un protocole dinduction détat hypnagogique pour les expériences de télépathie. Le Ganzfeld est le protocole le plus utilisé actuellement en parapsychologie expérimentale. Il a été tout d'abord développé par Charles Honorton dans les années 1970.) devraient faciliter la prise de conscience du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. (voir sections ci-dessous sur le ganzfeldLe Ganzfeld (terme allemand qui signifie "champ sensoriel uniforme") est un protocole dinduction détat hypnagogique pour les expériences de télépathie. Le Ganzfeld est le protocole le plus utilisé actuellement en parapsychologie expérimentale. Il a été tout d'abord développé par Charles Honorton dans les années 1970. et la recherche sur les rêves). Outre la restriction des entrées sensorielles, les altérations de la conscience peuvent favoriser la prise de conscience du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. en réduisant la pensée critique et en stimulant un sens d’interconnectivité (Cardeña, 2010).
Le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. a également été discuté d’un point de vue évolutionniste. D’après Broughton (2015), le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. devrait être pris en compte dans un contexte plus large de processus biologiques comprenant fonctionnement du cerveau et évolution. Il affirme que le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. est une corrélation entre des évènements futurs et passés qui auraient pu être maintenue, même si cela n’aurait fourni qu’1 % d’avantage pour la survie. Ce petit effet pourrait subtilement affecter des décisions via des intuitions et mécanismes similaires, en accord avec les petits effets observés en recherche. L’étude et les observations dans la nature soutiennent l’existence du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. chez d’autres espèces (Safina, 2015 ; Sheldrake, 2015).
Pour ce qui est de l’affirmation, comme celle venant d’un chercheur en sciences cognitives, avançant qu’accepter les phénomènes psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. ferait « voler en éclats toute la science telle que nous la connaissons » (Hofstader, 2011, paragraphe 9), la réponse la plus sensée est d’indiquer que les phénomènes psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. sont compatibles avec certaines interprétations d’éminents physiciens et qu’ils se manifestent par de petits effets qui n’invalident en rien les accomplissements de la science actuelle (Stapp, 2017). Le rapport de l’Office of Technology Assessment (1989) a conclu qu’il est important de trouver comment le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. peut avoir « un écho plus favorable parmi un spectre plus large de la communauté scientifique, de façon à ce que l’émotivité n’empêche pas l’évaluation objective des résultats expérimentaux » (p. 337).
Résumé des méta-analyses sur le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi.
Cette section résume des méta-analyses globales récentes ou actualisées de la recherche psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. récoltées dans une anthologie globale ayant passé en revue des méta-analyses réalisées dans ce domaine (Cardeña et al., 2015), des contacts avec des chercheurs en parapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire. et une recherche documentaire additionnelle. Cette dernière a utilisé deux bases de données, PsycInfo et Medline, sans restriction de langue ou de date, en utilisant métaanalyse OU méta-analyseAnalyse statistique prenant en compte de nombreuses expérimentations dun même type. OU méta analyse (en anglais : metaanalysis OR meta-analysis OR meta analysis), et les mots suivants comme sujet : parapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire., psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., télépathieLa télépathie désigne un échange dinformations entre deux personnes nimpliquant aucune interaction sensorielle ou énergétique connue., clairvoyanceConnaissance d'objets ou d'événements à distance sans l'intermédiaire des sens., précognitionLa précognition est la connaissance dun événement futur qui ne pourrait être ni prédit ni inféré par des moyens normaux., psychokinèseCapacité à influencer mentalement un objet, un processus ou un système sans lutilisation de mécanismes ou dénergies connues. On distingue la bio-psychokinèse , la micro-psychokinèse et la macro-psychokinèse ., PK, guérison anomale, et prière d’intercession (en anglais : parapsychology, psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., telepathy, clairvoyanceConnaissance d'objets ou d'événements à distance sans l'intermédiaire des sens., precognition, psychokinesis, PK, anomalous healing, et intercessory prayer). Cette recherche documentaire a donné 20 résultats non chevauchants, dont la plupart n’étaient pas des méta-analyses mais des commentaires y faisant référence. Toutes les méta-analyses exhaustives récentes/actualisées trouvées sont traitées ci-dessous, ainsi que celles plus restreintes mais tout aussi pertinentes. Bien que les méta-analyses aient des limites pouvant affecter leurs résultats (par ex : un biaisPrésence de patterns ou de défauts particuliers pouvant introduire une modification arbitraire des résultats et faussant ainsi leur validité (ex : un dé non équilibré ayant tendance à faire sortir souvent le même chiffre). de publication potentiel), elles contribuent à la connaissance dans des domaines établis et controversés (Chan & Arvey, 2012). Les sources premières des méta-analyses présentées ici incluent des analyses alternatives et exhaustives, et évaluent des variables ayant pu impacter les données, y compris la qualité de la conception et l’homogénéité des études, ainsi que des biaisPrésence de patterns ou de défauts particuliers pouvant introduire une modification arbitraire des résultats et faussant ainsi leur validité (ex : un dé non équilibré ayant tendance à faire sortir souvent le même chiffre). potentiels de publication. Les tableaux 1 et 2 comprennent des statistiques de méta-analyses complètes et homogénéisées (parfois après avoir élagué 10 % de résultats extrêmes dans des ensembles de données hétérogènes) quand elles étaient disponible.
Cognition anomale
Dans la recherche sur la cognition anomale, les participants « devinent » une cibleDans lESP, lobjet ou lévénement que le récepteur cherche à deviner (cartes-cible, image-cible, sites-cible) ; dans la PK, lobjet, le processus ou le système que le sujet cherche à influencer (système-cible : souris, GNA, dés, etc.). choisie au hasard parmi un ensemble connu (par ex : un jeu de cartes) ou inconnu (par ex : un échantillon d’extrait de film parmi de nombreux autres) sans information sensorielle ni d’inférence logique. Elle comprend deux modèles principaux de recherche : la réponse libre et le choix forcé (voir Palmer, 2015a pour une revue des précautions communément utilisées pour éviter des variables confondantes telles que les fuites sensorielles et les biaisPrésence de patterns ou de défauts particuliers pouvant introduire une modification arbitraire des résultats et faussant ainsi leur validité (ex : un dé non équilibré ayant tendance à faire sortir souvent le même chiffre). de jugement).
Réponse libre. Dans les études à réponse libre, la cibleDans lESP, lobjet ou lévénement que le récepteur cherche à deviner (cartes-cible, image-cible, sites-cible) ; dans la PK, lobjet, le processus ou le système que le sujet cherche à influencer (système-cible : souris, GNA, dés, etc.). que les évaluateurs masqués doivent évaluer ne fait pas partie d’un ensemble qu’ils connaissent tel qu’un jeu de cartes, mais d’un ensemble de données plus large ou indéterminé, tels qu’une photo ou un extrait de film tiré d’un ensemble inconnu large ou ouvert (par ex : les stimuli peuvent venir d’un ensemble de dizaines d’extraits vidéo incluant des longs-métrages, des documentaires ou des dessins animés, ou d’un emplacement choisi au hasard). Plusieurs types de protocoles à réponse libre ont été étudiés.
GanzfeldLe Ganzfeld (terme allemand qui signifie "champ sensoriel uniforme") est un protocole dinduction détat hypnagogique pour les expériences de télépathie. Le Ganzfeld est le protocole le plus utilisé actuellement en parapsychologie expérimentale. Il a été tout d'abord développé par Charles Honorton dans les années 1970. est un terme allemand désignant le « champ entier ». En recherche psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., cela renvoie à la procédure dans laquelle le participant est assis sur une chaise confortable et écoute des instructions de relaxation physique ainsi que du bruit blanc ou rose (fréquences aléatoires sans schéma prédéfini, similaire au son obtenu entre des stations radio), avec deux ovales en acétate couvrant les yeux et devant lesquels des ampoules lumineuses rouges produisent l’effet d’une rougeur diffuse. La tâche du participant est de devenir conscient d’une image ou d’une vidéo inconnue choisie aléatoirement, laquelle peut être montrée simultanément sur un ordinateur distant que personne ne regarde (clairvoyanceConnaissance d'objets ou d'événements à distance sans l'intermédiaire des sens.), que quelqu’un regarde (télépathieLa télépathie désigne un échange dinformations entre deux personnes nimpliquant aucune interaction sensorielle ou énergétique connue.), ou qui est choisie après que le participant ait fait sa sélection (précognitionLa précognition est la connaissance dun événement futur qui ne pourrait être ni prédit ni inféré par des moyens normaux.). La technique psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. ganzfeldLe Ganzfeld (terme allemand qui signifie "champ sensoriel uniforme") est un protocole dinduction détat hypnagogique pour les expériences de télépathie. Le Ganzfeld est le protocole le plus utilisé actuellement en parapsychologie expérimentale. Il a été tout d'abord développé par Charles Honorton dans les années 1970. repose sur la théorie de la « réduction de bruit » mentionnée plus haut.
La recherche sur le ganzfeldLe Ganzfeld (terme allemand qui signifie "champ sensoriel uniforme") est un protocole dinduction détat hypnagogique pour les expériences de télépathie. Le Ganzfeld est le protocole le plus utilisé actuellement en parapsychologie expérimentale. Il a été tout d'abord développé par Charles Honorton dans les années 1970. a fait l’objet de méta-analyses de manière répétée et constitue la base de données qui a le plus constamment soutenu le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. depuis les dernières décennies. Le développement méthodologique de la recherche ganzfeldLe Ganzfeld (terme allemand qui signifie "champ sensoriel uniforme") est un protocole dinduction détat hypnagogique pour les expériences de télépathie. Le Ganzfeld est le protocole le plus utilisé actuellement en parapsychologie expérimentale. Il a été tout d'abord développé par Charles Honorton dans les années 1970. a suivi un communiqué conjoint du psi-critique Ray Hyman et du psi-défenseur Charles HonortonCharles Honorton s'est intéressé très tôt à la parapsychologie. Adolescent, il échangea avec Joseph Rhine, et étudiant, il passa ses mois d'été au Laboratoire de Parapsychologie d’université de Duke en Caroline du Nord. Charles Honorton collabora avec Stanley Krippner et Montague Ullman au Maimonides Medical Center (Brooklyn, New York) lors des expériences de Rêve télépathique. Devenu directeur de la division de parapsychologie au Maimonides, il fonda en 1979 le Psychophysical Research Laboratories (PRL) à Princeton dans le New Jersey. Il est décédé en 1992 laissant derrière lui un nombre important de publications de parapsychologie, sa principale contribution en parapsychologie étant le développement du protocole Ganzfeld. (Hyman & Honorton, 1986) quant à la manière de conduire les expérimentations. Les méta-analyses les plus récentes et les plus complètes de la base de données par Storm et al. (2010b) et Williams (2011) ont été en faveur d’un effet psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi.. Une méta-analyseAnalyse statistique prenant en compte de nombreuses expérimentations dun même type. plus ancienne et plus limitée de Milton et Wiseman (1999) n’a pas trouvé d’effet significatif, mais s’ils avaient utilisé le test binomial exact (apparemment indiqué), ils auraient abouti aux mêmes conclusions (Storm et al., 2010b, p. 473).
Le Tableau 1 présente les méta-analyses (a) de l’agrégation d’une base de données précédente complète (Storm & Ertel, 2001) avec une plus récente et (b) de la base de données récente seule (Storm et al. 2010b) pour toutes les études, ainsi que des analyses (c) de l’agrégation de toutes les études combinées homogènes et (d) d’une base de données homogène plus récente, pour laquelle une donnée aberrante (outlier) ayant un score z très favorable a été exclue. Dans ce dernier cas, les participants sélectionnés (sur la base de leur expériences antérieure avec le protocole et/ou des traits associés à la performance psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. tels qu’être un méditant) avaient produit une taille d’effet (en anglais, effect size ou ES) plus importante, ES = 0.26, que leurs homologues, ES = 0.05, t(27) = 3.44, p = .002. Williams (2011) a rapporté que les participants ganzfeldLe Ganzfeld (terme allemand qui signifie "champ sensoriel uniforme") est un protocole dinduction détat hypnagogique pour les expériences de télépathie. Le Ganzfeld est le protocole le plus utilisé actuellement en parapsychologie expérimentale. Il a été tout d'abord développé par Charles Honorton dans les années 1970. devinent environ 31 % du temps la cibleDans lESP, lobjet ou lévénement que le récepteur cherche à deviner (cartes-cible, image-cible, sites-cible) ; dans la PK, lobjet, le processus ou le système que le sujet cherche à influencer (système-cible : souris, GNA, dés, etc.). correcte sur un total de quatre choix présentés aléatoirement, alors que le niveau de chance moyen théoriquement attendu serait de 25 %.
Hyman (2010) critiqua la méta-analyseAnalyse statistique prenant en compte de nombreuses expérimentations dun même type. de Storm et al., déclarant que les méta-analyses devraient être conduites prospectivement, et que le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. ne peut être montré sur demande. Il décrivit également une étude ganzfeldLe Ganzfeld (terme allemand qui signifie "champ sensoriel uniforme") est un protocole dinduction détat hypnagogique pour les expériences de télépathie. Le Ganzfeld est le protocole le plus utilisé actuellement en parapsychologie expérimentale. Il a été tout d'abord développé par Charles Honorton dans les années 1970. qui ne reproduisit pas l’effet, tout en ignorant d’autres qui montraient l’effet. Storm et al. (2010a) répondirent que d’autres phénomènes acceptés en science ne pouvaient pas être produits sur demande, et que les méta-analyses rétrospectives étaient couramment utilisées en science.
Rouder, Morey, et Province (2013) menèrent une analyse de probabilité bayésienne sur le plus récent ensemble de données de Storm et al., tout en excluant les études ayant utilisé une randomisation manuelle plutôt qu’informatisée. Ils conclurent que le facteur de Bayes diminua de 6 milliards pour 1 à près de 330 pour 1, mais que, à cause d’un manque de mécanisme plausible et de la possibilité d’échecs de réplication non publiés, la méta-analyseAnalyse statistique prenant en compte de nombreuses expérimentations dun même type. ne soutenait pas le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi.. Ils ajoutèrent cependant que le degré de preuve était « plus élevé que celui fournit par les nombreuses études courante sur la cognition » (p. 245). Storm, Tressoldi et Utts (2013) conduisirent une analyse bayésienne n’excluant pas les études ayant utilisé des tables de nombres aléatoires, comme l’avaient fait Rouder et al. (2013), et conclurent que leurs résultats soutenaient un effet psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi.. Baptista, Derakhshami et Tressoldi (2015) menèrent des analyses supplémentaires sur les données ganzfeldLe Ganzfeld (terme allemand qui signifie "champ sensoriel uniforme") est un protocole dinduction détat hypnagogique pour les expériences de télépathie. Le Ganzfeld est le protocole le plus utilisé actuellement en parapsychologie expérimentale. Il a été tout d'abord développé par Charles Honorton dans les années 1970. qui ratifièrent un effet psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. et rectifièrent les allégations générales que (a) lorsque la qualité d’une étude ganzfeldLe Ganzfeld (terme allemand qui signifie "champ sensoriel uniforme") est un protocole dinduction détat hypnagogique pour les expériences de télépathie. Le Ganzfeld est le protocole le plus utilisé actuellement en parapsychologie expérimentale. Il a été tout d'abord développé par Charles Honorton dans les années 1970. augmente, l’ES diminue (en fait, le contraire semblait se produire), (b) l’ES avait diminué dans des études plus récentes (ce n’était pas le cas), (c) le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. décline généralement au cours d’une étude longue (ce n’est pas le cas), et (d) une analyse du tiroir classeur d’un nombre raisonnable de résultats non significatifs non rapportés annulerait les résultats significatifs (ce n’est pas le cas).
Dans les études sur la cognition anomale implicite, les volontaires répondent à une tâche psychologique ayant un aspect psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. dissimulé. Comme exemple, citons une étude dans laquelle les participants faisaient partie d’une dyade de recherche et où l’un d’eux devait indiquer sa préférence esthétique pour un caractère Kanji japonais. À leur insu, ils étaient testés sur une cibleDans lESP, lobjet ou lévénement que le récepteur cherche à deviner (cartes-cible, image-cible, sites-cible) ; dans la PK, lobjet, le processus ou le système que le sujet cherche à influencer (système-cible : souris, GNA, dés, etc.). psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. sélectionnée aléatoirement. Lorsque les participants choisissaient le caractère cibleDans lESP, lobjet ou lévénement que le récepteur cherche à deviner (cartes-cible, image-cible, sites-cible) ; dans la PK, lobjet, le processus ou le système que le sujet cherche à influencer (système-cible : souris, GNA, dés, etc.). psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., leurs partenaires de recherche faisaient une tâche plus plaisante que ceux dont les partenaires n’avaient pas sélectionné la cibleDans lESP, lobjet ou lévénement que le récepteur cherche à deviner (cartes-cible, image-cible, sites-cible) ; dans la PK, lobjet, le processus ou le système que le sujet cherche à influencer (système-cible : souris, GNA, dés, etc.). psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. (Watt & Nagtegaal, 2000). La variable de résultat était de savoir si les participants choisissaient la cibleDans lESP, lobjet ou lévénement que le récepteur cherche à deviner (cartes-cible, image-cible, sites-cible) ; dans la PK, lobjet, le processus ou le système que le sujet cherche à influencer (système-cible : souris, GNA, dés, etc.). plus souvent qu’ils ne l’auraient fait par le hasard. Bien qu’il n’existe pas de méta-analyseAnalyse statistique prenant en compte de nombreuses expérimentations dun même type. de ces études, Palmer (2015b, p . 227) a conclu dans une revue de synthèse que les études avec une récompense cachée obtenaient plus de résultats significatifs que ce que l’on attendrait par le hasard.
En lien avec ce paradigme, des études conçues par Daryl Bem (2011), psychologue de Cornell, testèrent l’hypothèse qu’un futur stimulus pourrait avoir une influence rétroactive sur une réponse précédente. Bem a choisi des études d’amorçage classiques, dans lesquelles un mot ou une image préalable affectent une réponse qui s’ensuit, et il les « inversa temporellement » de façon à ce que le mot ou l’image soit présenté après la réponse du volontaire. Par exemple, une de ses tâches évaluaient si un mot à valence-cohérente ou incohérente affectait le temps de réponse d’une image préalable. Bem (2011) fit un rapport sur neuf protocoles différents avec plus de 1000 participants et trouva que tous sauf l’un d’eux étaient indépendamment significatifs et que l’ES moyen et significatif (les analyses étaient unilatérales, mais seraient restées significatives avec des tests bilatéraux). Par conséquent, les résultats corroborèrent l’interprétation selon laquelle un stimulus se produisant ultérieurement peut influencer une réponse antérieure plus souvent que ce qui serait imputable au hasard.
Les recherches de Bem, publiées dans un journal majeur de psychologie, déclenchèrent une avalanche de commentaires (Cardeña, 2015b). Une méta-analyseAnalyse statistique prenant en compte de nombreuses expérimentations dun même type. des deux expérimentations de Bem, ainsi que des essais de réplication par les auteurs de l’article et d’autres chercheurs, conclurent qu’une analyse bayésienne ne révélait aucun effet psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. (Galak, LeBoeuf, Nelson & Simmons, 2012). Le Tableau 1 montre une méta-analyseAnalyse statistique prenant en compte de nombreuses expérimentations dun même type. plus étendue de toutes les tentatives de réplication jusqu’alors, soit 90 expérimentations issues de 33 laboratoires au moment de la publication (Bem, Tressoldi, Rabeyron, & Duggan, 2015). L’effet global était significatif (tout comme une analyse bayésienne), et l’ES pour la base de données complète et les réplications indépendantes (en excluant les expérimentations de Bem, analysis de la courbe-p = 0.24) étaient similaires. Les auteurs rapportèrent que des centaines d’expérimentations non publiées avec de faibles ES seraient nécessaires pour annuler les résultats significatifs de leur méta-analyseAnalyse statistique prenant en compte de nombreuses expérimentations dun même type.. Les auteurs classèrent également les réplications en deux groupes : cinq protocoles impliquant un processus automatique inconscient à « pensée rapide », et deux protocoles impliquant un processus délibératif à « pensée lente » (cf. Kahneman, 2011). Tous les résultats significatifs étaient issus du groupe à « pensée rapide » et le plus réussi utilisait des stimuli érotiques, en accord général avec les théories abordés précédemment postulant que le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. est un processus surtout non-conscient visant de futurs renforçateurs. Les deux protocoles délibératifs à « pensée lente » n’étaient pas significatifs, isolément ou conjointement. Le Tableau 1 montre les résultats cumulés répartis par catégorie.
Au quotidien, la cognition anomale apparente se produit souvent lors de rêves (Kelly & Tucker, 2015). La première analyse exhaustive d’études contrôlées a été menée par le psychologue de Yale, Irvin Child (1985), sur les études psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. des rêves réalisées au laboratoire du sommeil du Maimonides Medical Center. Ce protocole consistait à réveiller les participants (généralement sélectionnés) après avoir été dans un état de sommeil paradoxal (qui est fortement associé au rêve), et à les interroger sur le contenu de leur rêve. La tâche du participant consistait à rêver d’une image inconnue choisie aléatoirement par les chercheurs soit pendant le sommeil des participants, soit plus tard. Child rapporta que parmi 20 des 25 expérimentations, le contenu du rêve avait été en moyenne correctement associé (en aveugle) à la cibleDans lESP, lobjet ou lévénement que le récepteur cherche à deviner (cartes-cible, image-cible, sites-cible) ; dans la PK, lobjet, le processus ou le système que le sujet cherche à influencer (système-cible : souris, GNA, dés, etc.). directement ou dans la moitié supérieure d’une division binaire de choix multiplesau-dessus du niveau du hasard, avec une probabilité contre le hasard de 1,46 x 10-8. Radin (2006) estima que la cibleDans lESP, lobjet ou lévénement que le récepteur cherche à deviner (cartes-cible, image-cible, sites-cible) ; dans la PK, lobjet, le processus ou le système que le sujet cherche à influencer (système-cible : souris, GNA, dés, etc.). avait été évaluée à la moitié supérieure de la distribution un nombre significativement élevé de fois de l’ordre de 63% (50% étant le résultat moyen imputable au hasard).
Après le programme de Maimonides, la plupart des chercheurs s’appuyèrent sur les journaux de rêves, qui génèrent un souvenir des rêves beaucoup plus pauvre que les réveils en phase paradoxale, plutôt que sur des études en laboratoire du sommeil, beaucoup plus exigeantes. Storm et al. (2017) méta-analysèrent les études Maimonides et post-Maimonides. Le Tableau 1 inclut l’analyse de chacune et un ensemble homogène, venant appuyer l’hypothèse psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi.. Ils rapportent également une rigueur croissante de la conception expérimentale au court du temps, et aucun lien entre la qualité de l’étude (évaluée à l’aveugle selon sept critères, dont la randomisation appropriée, le bon masquage, etc…) et l’ES. Ils menèrent également une analyse bayésienne qui confirma leurs résultats. Leur méta-analyseAnalyse statistique prenant en compte de nombreuses expérimentations dun même type. inclut une vaste étude bien contrôlée de Watt (2014) dans laquelle des juges indépendants masqués associaient, à un taux plus élevé que celui imputable au hasard, des rapports de rêves à l’extrait vidéo que les participants voyaient plus tard. Après avoir été alertée sur un probable effet d’essais non rapportés de l’étude, Watt analysa de nouveau ses données et trouva encore un effet significatif pour son test planifié (p = .04 ; Watt & Valášek, 2015).
Le RV (remote viewingLe Remote Viewing (vision à distance) est une technique utilisée lors de protocoles de parapsychologie en vu d'étudier les perceptions extra-sensorielles. Les techniques de vision à distance ont pour origine les travaux de René Warcollier. Elle ont ensuite été développées au sein du programme de vision à distance commandité par la CIA dans les années 1970. Jusqu'en 1995, les chercheurs qui ont participé à ce programme se sont efforcés d'utiliser les techniques de remote viewing afin de tenter de développer des applications du psi, en particulier dans le domaine du renseignement., ou vision à distancePerception extra sensorielle d’un lieu situé à distance du récepteur.) est une technique dans laquelle un individu décrit un lieu, déterminé aléatoirement, dans lequel un émetteur est situé dans un temps présent ou futur (cela peut également n’être qu’un lieu choisi sans observateur sur place). Ensuite, la description est utilisée pour sélectionner la cibleDans lESP, lobjet ou lévénement que le récepteur cherche à deviner (cartes-cible, image-cible, sites-cible) ; dans la PK, lobjet, le processus ou le système que le sujet cherche à influencer (système-cible : souris, GNA, dés, etc.). parmi différentes possibilités. L’Associative RV est un type de RV précognitif dans lequel le participant essaie de deviner une cibleDans lESP, lobjet ou lévénement que le récepteur cherche à deviner (cartes-cible, image-cible, sites-cible) ; dans la PK, lobjet, le processus ou le système que le sujet cherche à influencer (système-cible : souris, GNA, dés, etc.). qui sera sélectionnée dans le futur, et qui peut être associée à un événement particulier (comme un changement dans les cours de la Bourse). Le Tableau 1 présente la synthèse de Baptista et al. (2015) concernant les données disponibles (la base de données de Milton, 1997, est homogène après la suppression de 3 études). Les intervalles de confiance de ces jeux de données ont une magnitude similaire et n’incluent pas la valeur 0.00, qui pourrait indiquer une absence d’effet. L’analyste des deux premiers ensembles de données (Stanford Research Institute et Science Applications International Corporation ; Utts, 1996) écrivit que les volontaires de RV ayant participé à de précédentes recherches obtenaient un ES (0.38) plus grand que des novices (0.16). Le psi-sceptique Hyman (1995) conclut que les expérimentations de la Science Applications International Corporation étaient « bien-conçus et [que] les chercheurs avaient pris soin d’éliminer les faiblesses connues dans la recherche parapsychologique antérieure… Je ne peux pas fournir de candidats adéquats à d’éventuels défauts, s’il y en avait, qui pourraient être présents. » Cependant, des objections ont été émises concernant le jeu de données de Dunne and Jahn (2003) pour avoir échantillonner sans remplacement et pour ne pas toujours avoir sélectionné les cibles de manière aléatoire ; mais même si cet ensemble de données est écarté, l’effet global reste significatif (Baptista et al., 2015).
Dans la recherche sur le pressentiment, on fait l’hypothèse que l’activité physiologique précédant un stimulus imprévisible anticiperait la réponse qui la suit. Par exemple la conductivité de la peau précédant des stimuli émotionnellement chargés différera de celle pour des stimuli neutres, intercalés de manière aléatoire. Mossbridge, Tressoldi, et Utts (2012) firent une méta-analyseAnalyse statistique prenant en compte de nombreuses expérimentations dun même type. des études concernées publiées entre 1978 et 2010. Le Tableau 1 montre que l’ES global pour la réponse physiologique précédant le stimulus était significative. Les auteurs menèrent également une évaluation pré-analytique masquée de la qualité de ces études (tenant compte du niveau de l’examen par les pairs, du type de générateur de nombres aléatoiresActuellement, système électronique servant à générer des nombres aléatoires. On utilise des générateurs de nombres aléatoires (GNA ou RNG en anglais) en particulier dans les expériences de psychokinèse, s'agissant d'une source fiable de hasard., et si une analyse des biaisPrésence de patterns ou de défauts particuliers pouvant introduire une modification arbitraire des résultats et faussant ainsi leur validité (ex : un dé non équilibré ayant tendance à faire sortir souvent le même chiffre). d’attente avait été menée), et arrivèrent à deux ensembles de jeu données, l’un de 13 ensembles de qualité supérieure et l’autre 13 de qualité inférieure. Bien que les deux ES étaient significatifs, les études de meilleure qualité avaient un ES plus important que celle de qualité inférieure (voir Tableau 1). Mossbridge et ses collaborateurs (2015) répondirent ultérieurement point par point aux critiques soulevées par Schwarzkopf (2014) concernant leur méta-analyseAnalyse statistique prenant en compte de nombreuses expérimentations dun même type..
Choix forcé. Dans les études à choix forcé, les possibilités de deviner sont finies et connues par la personne, par exemple un jeu de cartes randomisé. Le protocole évalue si le participant est capable de deviner correctement plus souvent que par pur hasard. C’était un protocole courant au milieu du 20ème siècle. Honorton et Ferrari (1989) réalisèrent une méta-analyseAnalyse statistique prenant en compte de nombreuses expérimentations dun même type. des recherches sur la précognitionLa précognition est la connaissance dun événement futur qui ne pourrait être ni prédit ni inféré par des moyens normaux. à choix forcé menées entre 1935 et 1987 par 62 chercheurs. Le Tableau 1 montre les analyses pour toutes les 309 expérimentations et pour les 248 qui étaient homogènes, révélant des ES hautement significatifs mais très petits. Ils observèrent également que l’ES était resté constant au fil des décennies, qu’il n’y avait aucun lien entre le résultat d’une étude et un indice de qualité de sa conception basé sur huit critères (par ex. : l’analyse planifiée des données et la méthode de randomisation), et qu’un effet tiroir classeur ne pouvait pas raisonnablement expliquer les résultats. Ils identifièrent également les 17 meilleures études, avec des participants sélectionnés et un feedback1. rétroaction de linformation dans les systèmes cybernétiques ; information renvoyée au sujet sur nimporte quelle mesure prise sur lui-même (physiologique, psychologique, tests psi) ; 2. moyen utilisé pour lui redonner cette information (ex : feedback auditif, feedback visuel, etc.). essai par essai, qui obtinrent l’effet le plus grand de tous les groupes d’études de leur base de données, Z = 15.84, ES = 0.12. Les résultats des participants sélectionnés (sur la base de leur performance antérieure) étaient meilleurs que ceux de leurs homologues, I(246) = 3.16, p = 0.001 (Honorton & Ferrari, 1989, voir aussi Baptisa et al., 2015).
Une seconde méta-analyseAnalyse statistique prenant en compte de nombreuses expérimentations dun même type. des expérimentations à choix forcé fut réalisée par Storm, Tressoldi, et Di Risio (2012) sur 91 études menées entre 1987 et 2010, et 72 études homogènes (voir Tableau 1). Ils conclurent à un effet petit mais significatif, et à l’absence de preuve que le résultat puisse être expliqué par des plans expérimentaux de faible qualité (selon six critères, dont une randomisation appropriée et un positionnement de cibleDans lESP, lobjet ou lévénement que le récepteur cherche à deviner (cartes-cible, image-cible, sites-cible) ; dans la PK, lobjet, le processus ou le système que le sujet cherche à influencer (système-cible : souris, GNA, dés, etc.). aléatoire) ou à un rapport sélectif, et que l’ES avait augmenté avec le temps. Baptista et al. (2015) observèrent que l’ES moyen de ces études avec participants sélectionnés était plus important que celui pour des participants non sélectionnés (ES = 0.05 vs. TE = 0.008, p = 0.001).
Perturbation anomale
La perturbation anomale renvoie à l’influence ostensible de l’intention sur des systèmes non-observables, évaluée statistiquement (il n’existe aucune méta-analyseAnalyse statistique prenant en compte de nombreuses expérimentations dun même type. de la force anomale). La recherche sur l’influence à distance évalue l’effet d’efforts intentionnels afin de changer un paramètre chez un système vivant distant, sans l’intermédiaire de moyens physiques connus. Schmidt (2015) synthétisa ses méta-analyses de trois domaines : (a) l’interaction mentale directe chez des systèmes vivants, telle que la mesure de l’activité électrodermale (AED) d’un receveur pendant qu’un agentDans les cas spontanés, la personne vivant lévénement dont le récepteur va recevoir linformation ; dans les expérimentations de télépathie, lémetteur ; dans la psychokinèse :le sujet, considéré comme source du psi. distant essaie, à des moments aléatoires, de stimuler ou de calmer cette personne ; (b) le remote staring (fixer du regard à distance), ou des changements dans l’AED d’un receveur pendant qu’un agentDans les cas spontanés, la personne vivant lévénement dont le récepteur va recevoir linformation ; dans les expérimentations de télépathie, lémetteur ; dans la psychokinèse :le sujet, considéré comme source du psi. le regarde via un écran vidéo à des moments aléatoires depuis une pièce séparée ; et (c) le remote helping (aide à distance ou facilitation de l’attention focalisée), dans lequel un aidant à distance essaie, à des moments aléatoires, d’aider un méditant à se concentrer sur une cibleDans lESP, lobjet ou lévénement que le récepteur cherche à deviner (cartes-cible, image-cible, sites-cible) ; dans la PK, lobjet, le processus ou le système que le sujet cherche à influencer (système-cible : souris, GNA, dés, etc.)..
Le Tableau 2 montre que les trois paradigmes de recherche appuyèrent le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi.. Schmidt (2015) écrivit que les ES similaires dans les trois domaines se corroborent et suggèrent un phénomène sous-jacent similaire. Cependant, il y avait certaines différences. Le jeu de données sur l’EAD de l’interaction mentale directe chez des systèmes vivants n’inclua pas quatre études à la randomisation inadéquate, et dans les 36 études homogènes restantes du jeu de données, il y avait une corrélation négative (r = -0.40) entre l’ES et la qualité de l’étude (sur la base de 17 items incluant une randomisation adéquate et le pré-enregistrement de l’étude). Par conséquent, les études furent pondérées selon la taille de l’échantillon et la qualité de l’étude. Le jeu de données du remote staring était homogène (avec une corrélation non-significative r = 0.26 entre la qualité de l’étude et l’ES), tout comme celui du remote helping ; donc ces ES ne furent pas pondérés en fonction de la qualité de l’étude.
Les études de guérison sans contact comprennent ce qu’on nomme prière d’intercession, guérison à distance, reiki, ainsi que des stratégies similaires qui considèrent un effet de l’intention sur les tissus biologiques ou les êtres vivants dans leur ensemble autres que la personne ayant cette intention. Deux méta-analyses précédentes sur la prière d’intercession, se recoupant partiellement, arrivèrent à des conclusions opposées concernant la présence d’un effet valide (Hodge, 2007 ; Masters, Spielmans, & Goodson, 2006). De façon plus complète, Roe, Sonnex et Roxburgh (2015) méta-analysèrent deux types d’études : celles liées aux « études pas entièrement réalisées chez l’humain » (animaux, plantes et cultures in vitro) et celles « entièrement réalisées chez l’humain ». Ils notèrent qu’alors que dans la seconde catégorie il serait difficile d’écarter l’effet placebo dans certaines études, les résultats pour la première catégorie ne dépendaient vraisemblablement pas de mécanismes tels que les attentes inconditionnées.
Concernant les études pas entièrement avec les humain, Roe et al. (2015) identifièrent 49 études hétérogènes ayant un ES pondéré significatif. La pondération fut menée sans connaissance des résultats ni de leurs auteurs et inclut des variables telles que la randomisation de l’affectation du traitement et de bonnes procédures de masquage. Du fait de corrélations entre les indices de la qualité expérimentale et d’ES, les auteurs sélectionnèrent les 22 études les mieux classées en termes de conception expérimentale. Bien que l’ES diminua, il resta significatif (voir Tableau 2). Concernant la recherche avec les humains, les auteurs identifièrent 57 études ayant une méthodologie adéquate qui produisirent un résultat significatif (voir Tableau 2), mais la corrélation entre la qualité de conception et l’ES étant négative, ils analysèrent les 27 études ayant la meilleure méthodologie, et l’ES resta significatif (voir Tableau 2). Roe et al. avertirent que les résultats devaient être pris avec précaution parce que le graphique en entonnoir (funnel plot) de l’ES suggérait la présence de biaisPrésence de patterns ou de défauts particuliers pouvant introduire une modification arbitraire des résultats et faussant ainsi leur validité (ex : un dé non équilibré ayant tendance à faire sortir souvent le même chiffre). de publications (et certains auteurs ne fournissaient pas les valeurs exactes de probabilité quand elles n’étaient pas significatives).
Dés. L’un paradigme de recherche courant au milieu du 20ème siècle consistait à influencer un lancer de dés, habituellement dans une machine pour éviter une éventuelle manipulation. Radin et Ferrari (1991) méta-analysèrent 148 études totalisant plus de 2 millions de lancers de dés, dans lesquelles les participants essayaient d’influencer le lancer de dés sans les toucher, ce qui produisit un effet très significatif, bien que petit, dans la direction escomptée (Z = 19.68 ; p < 0.01) avec des valeurs Z décroissantes et une qualité méthodologique s’améliorant au fil du temps. Cet ensemble de données inclut des études avec un biaisPrésence de patterns ou de défauts particuliers pouvant introduire une modification arbitraire des résultats et faussant ainsi leur validité (ex : un dé non équilibré ayant tendance à faire sortir souvent le même chiffre). physique en utilisant pour cibleDans lESP, lobjet ou lévénement que le récepteur cherche à deviner (cartes-cible, image-cible, sites-cible) ; dans la PK, lobjet, le processus ou le système que le sujet cherche à influencer (système-cible : souris, GNA, dés, etc.). les faces de dés à valeur plus grande, donc le Tableau 2 montre des résultats significatifs, bien que très petits, pour les 73 études après contrôle de cet artéfact, ainsi que pour un ensemble homogénéisé de 59 études, indiquant que le dé tombe plus souvent sur la face escomptée que ce qui serait imputable au hasard. Pour le jeu de données homogénéisé, l’ES n’avait aucun lien avec la qualité méthodologique. A titre de comparaison, dans les 31 études contrôles, la face choisie ne sortit pas plus souvent que ce qui aurait été imputable au hasard, Z = 0.36, p > 0.05.
Micro-PK. Bösch, Steinkamp et Boller (2006) méta-analysèrent 380 études sur des tentatives d’affecter de générateurs de nombres aléatoires GNA (RNGs en anglais, Random Number Generators). Le Tableau 2 montre des effets significatifs, bien que très petits, pour un modèle à effets aléatoires sur un ensemble de données incluant et excluant les trois études les plus larges. Bien que les 137 études contrôles sans intention d’affecter les GNA ne révélèrent pas de déviation significative, Z = -1.51, p = 0.13, les auteurs conclurent que les résultats pouvaient s’expliquer par des biaisPrésence de patterns ou de défauts particuliers pouvant introduire une modification arbitraire des résultats et faussant ainsi leur validité (ex : un dé non équilibré ayant tendance à faire sortir souvent le même chiffre). de publication, en raison d’une grande hétérogénéité et d’un plus faible nombre d’études en dessous de p < 0.05 et avec p > 0.01 que ce qu’on attendrait par le hasard. Dans une réanalyse ultérieure des données de Bösch et al., Varvoglis et Bancel (2015, p. 274) s’accordèrent à dire que la distribution des niveaux de significativité suggérait la présence de certains biaisPrésence de patterns ou de défauts particuliers pouvant introduire une modification arbitraire des résultats et faussant ainsi leur validité (ex : un dé non équilibré ayant tendance à faire sortir souvent le même chiffre). de publication, mais avancèrent qu’un effet tiroir classeur « extrêmement large » et irréaliste serait nécessaire pour annuler les résultats. Ils proposèrent à la place que l’hétérogénéité des données pouvaient s’expliquer par le talent (méthodologique et peut-être parapsychologique) d’expérimentateurs particuliers ainsi que par la performance bien meilleure que la moyenne de deux participants dans le jeu de données du PEARLe laboratoire Princeton Engineering Anomalies Research (PEAR) a été établi en 1979 par Pr. Robert G. Jahn, alors doyen de la faculté d'ingénierie et de sciences appliquées de l'université de Princeton afin d'étudier les interactions entre la psyché et les systèmes physiques, et plus particulièrement les systèmes aléatoires. Le PEAR dépend du département MEAS (Mechanics and Aerospace) de la SEAS (School of Engineering and Applied Science) de l'université de Princeton. Le PEAR est composé d'une équipe pluridisciplinaire (ingénieurs, physiciens, psychologues) mettant en place des expériences et tentant de fournir des modèles théoriques afin de mieux comprendre le rôle de la conscience dans la réalité physique. Le Program Director est Robert G. Jahn, et la Laboratory Manager Brenda J. Dunne. (Princeton Engineering Anomalies Research), lesquels contribuèrent à un quart des données avec des valeurs z de 5.6 et 3.4 en comparaison de 0.8 pour le reste des participants.
Dans la perturbation anomale implicite, l’expérimentateur définit des GNA cachés ou secondaires à influencer par les participants sans nécessité d’intention consciente. Ces études inspirèrent partiellement un programme de recherche, conduit maintenant depuis plus de 15 ans, connu sous le nom de « The Global Consciousness Project » (Nelson, 2015). L’hypothèse est que les évènements impactant simultanément un grand nombre de gens à travers le monde (par ex. : les attaques du 11 septembre) créent une cohérence dans la conscience humaine affectant le caractère aléatoire d’un réseau de 65 RNGs situés dans plusieurs pays. Le résultat RNG collectif issus d’une fenêtre temporelle autour de tels évènements est comparé à des périodes dans lesquelles ce type d’évènement ne se produit pas. Le Tableau 2 montre l’analyse de 461 évènements, ayant un résultat significatif et un ES dimensionné au niveau de l’évènement (Nelson, 2015, et communication personnelle, 2016). De par leur nature, ces données proviennent d’une source unique, mais les données et les analyses sont accessibles sur noosphere.princeton.edu/results.html#alldata.
En comparant toutes ces méta-analyses, des schémas cohérents apparaissent. Tout d’abord, dans l’ensemble, les méta-analyses soutiennent l’hypothèse psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., et celles dont ce n’était pas le cas (ex : Galak et al., 2012 ; Milton & Wiseman, 1999) ont généralement été remplacées par des méta-analyses alternatives et plus complètes. Deuxièmement, les analyses liées aux paradigmes de réponse-libre obtiennent les ES les plus élevés, allant de 0.11 à 0.39, la plupart étant au-dessus de 0.2. Ensuite, viennent les ES pour l’influence à distance sans contact, avec des valeurs comprises entre 0.10 et 0.26. Les ES pour les recherches utilisant le choix forcé, allant de 0.01 à 0.04, sont d’un ordre de grandeur plus petit, et les ES des perturbations anomales pour les dés et la micro-PK (hors Global Consciousness Project) sont également très petits. Troisièmement, les participants sélectionnés semblent faire preuve de plus de psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. que les non-sélectionnés.
Concernant ce dernier point, les jeux de données les plus cohérents (ganzfeldLe Ganzfeld (terme allemand qui signifie "champ sensoriel uniforme") est un protocole dinduction détat hypnagogique pour les expériences de télépathie. Le Ganzfeld est le protocole le plus utilisé actuellement en parapsychologie expérimentale. Il a été tout d'abord développé par Charles Honorton dans les années 1970., études sur les rêves, et RV) ont souvent utilisé des participants sélectionnés, et les analyses précédemment passées en revue pour le ganzfeldLe Ganzfeld (terme allemand qui signifie "champ sensoriel uniforme") est un protocole dinduction détat hypnagogique pour les expériences de télépathie. Le Ganzfeld est le protocole le plus utilisé actuellement en parapsychologie expérimentale. Il a été tout d'abord développé par Charles Honorton dans les années 1970., le choix forcé et la micro-PK, soutiennent fortement cette pratique (pour la recherche avec des individus « doués » en conditions contrôlées, voir Edge, Morris, Palmer & Rush, 1986). Les caractéristiques, dont il a été montré qu’elles augmentaient la probabilité de bonnes performances dans une expérience psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., incluent : la croyance qu’une personne obtiendra de bons résultats dans l’étude, certains traits psychologiques (par ex. : l’extraversion et l’ouverture à l’expérience), une pratique mentale comme la méditation, et une participation antérieure à une expérimentation psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. (pour une synthèse, voir Cardeña & Marcusson-Clavertz, 2015). Dans une méta-analyseAnalyse statistique prenant en compte de nombreuses expérimentations dun même type. récente portant sur les expérimentations à choix forcé, la performance était corrélée positivement à la croyance au psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., r = 0.13, p = 0.002, à l’extraversion, r = 0.08, p = 0.02, et à l’ouverture à l’expérience, r = 0.12, p = 0.02 (Zdrenka & Wilson, 2017). Les artistes ont tendance à avoir des résultats supérieurs à ce qui serait imputable au hasard et à ceux d’autres groupes (Holt, Delanoy, & Roe, 2004).
Il existe des preuves que le fait de tester un participant alors qu’il se trouve dans un état de conscience différent de son état normal éveillé, est propice à la performance psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi.. Deux des paradigmes les plus fructueux impliquent des altérations survenant naturellement ou induites (c.-à-d. le ganzfeldLe Ganzfeld (terme allemand qui signifie "champ sensoriel uniforme") est un protocole dinduction détat hypnagogique pour les expériences de télépathie. Le Ganzfeld est le protocole le plus utilisé actuellement en parapsychologie expérimentale. Il a été tout d'abord développé par Charles Honorton dans les années 1970. et le rêve). Dans une des premières synthèses de la littérature scientifique, Honorton (1977) compara la performance dans les études psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. comportant de l’hypnose, de la méditation, de la relaxation induite et le ganzfeldLe Ganzfeld (terme allemand qui signifie "champ sensoriel uniforme") est un protocole dinduction détat hypnagogique pour les expériences de télépathie. Le Ganzfeld est le protocole le plus utilisé actuellement en parapsychologie expérimentale. Il a été tout d'abord développé par Charles Honorton dans les années 1970., et conclut qu’elles généraient de meilleurs résultats que ceux imputables au hasard, allant de 1.2 x 10-9 à 6 x 10-12 (pour des synthèses plus récentes, voir Cardeña et al., 2015). Storm et al. (2010b, p. 476) comparèrent les recherches avec ganzfeldLe Ganzfeld (terme allemand qui signifie "champ sensoriel uniforme") est un protocole dinduction détat hypnagogique pour les expériences de télépathie. Le Ganzfeld est le protocole le plus utilisé actuellement en parapsychologie expérimentale. Il a été tout d'abord développé par Charles Honorton dans les années 1970. à celles avec des techniques supposées augmenter le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. telles que la méditation, et à celles n’utilisant pas de technique supposée augmenter le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi.. Le ganzfeldLe Ganzfeld (terme allemand qui signifie "champ sensoriel uniforme") est un protocole dinduction détat hypnagogique pour les expériences de télépathie. Le Ganzfeld est le protocole le plus utilisé actuellement en parapsychologie expérimentale. Il a été tout d'abord développé par Charles Honorton dans les années 1970. obtint l’ES le plus important (0.14), suivi par d’autres techniques d’augmentation (ES = 0.11) et les études sans techniques (ES = -0.03), ces dernières différant significativement du ganzfeldLe Ganzfeld (terme allemand qui signifie "champ sensoriel uniforme") est un protocole dinduction détat hypnagogique pour les expériences de télépathie. Le Ganzfeld est le protocole le plus utilisé actuellement en parapsychologie expérimentale. Il a été tout d'abord développé par Charles Honorton dans les années 1970. (différence moyenne d’ES = 0.17, p = 0.005). L’effet du ganzfeldLe Ganzfeld (terme allemand qui signifie "champ sensoriel uniforme") est un protocole dinduction détat hypnagogique pour les expériences de télépathie. Le Ganzfeld est le protocole le plus utilisé actuellement en parapsychologie expérimentale. Il a été tout d'abord développé par Charles Honorton dans les années 1970. peut être attribuable à sa capacité à modifier l’état de conscience (Marcusson-Clavertz & Cardeña, 2011 ; Roe, Hodrien, & Kirkwood, 2012).
Discussion
Cette vue d’ensemble de méta-analyses de différents protocoles de recherche soutient l’hypothèse psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi.. Les analyses satisfont aux « critères locaux et globaux » spécifiés par une critique du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. qui exigeait de la réplicabilité, une cohérence des effets, et de la cumulativité (Office of Technology Assessment, 1989). Les méta-analyses, réalisées sur des études utilisant différents protocoles et menées par différents chercheurs, fournissent un soutien cumulatif au psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., aussi bien vertical qu’horizontal. Vertical dans le sens où au fil du temps, divers protocoles ont continué à produire des résultats positifs au-delà du fait du hasard, et avec une rigueur méthodologique croissante ; horizontal dans le sens où le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. est soutenu au travers de différents domaines de recherche. Si seulement un seul ou quelques-uns parmi 10 protocoles étaient significatifs et le reste non, il serait plus aisé de spéculer que les résultats favorables aient été fabriqués. De plus, la rigueur des méta-analyses sur le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. a augmenté avec le temps et inclut typiquement l’évaluation de possibles comptes-rendus sélectifs, la qualité des études, etc. Nous allons maintenant aborder dans cet article certaines critiques courantes vis-à-vis du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi..
Si les Phénomènes psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. sont vrais, pourquoi toutes les études ne les reproduisent-elles pas ?
Compte tenu des petits ES trouvés et les sources potentielles de variabilité, y compris les effets psychologiques et peut-être parapsychologiques de l’expérimentateur (Palmer & Millar, 2015), on devrait s’attendre à ce que certaines études ne les reproduisent pas (cf Barrett, 2015 ; Lewontin, 1994). Comme le fit remarquer Professeur Robert Rosenthal (1990) de Harvard :
« Etant donné les niveaux de puissance statistique auxquels nous opérons habituellement, nous n’avons aucun droit d’escompter la proportion de résultats significatifs que nous attendons généralement, même si par nature il existe un effet très réel et très important. (p. 16 ; voir aussi Utts, 1991) »
Clairement, les effets psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. ne peuvent pas être reproduits « sur commande », mais pour remettre ce fait en perspective, considérons le projet « Many Labs », dans lequel 36 laboratoires indépendants essayèrent de reproduire 16 études psychologiques publiées dans le haut du panier des revues scientifiques, et où seulement 34% des réplications se situaient dans les intervalles de confiance de l’étude d’origine (Open Science Collaboration, 2015). Les résultats furent plus cohérents quand la réplication était similaire à l’étude d’origine (Gilbert, King, Pettigrew, & Wilson, 2016), comme ce qui a été trouvé pour la recherche sur le ganzfeldLe Ganzfeld (terme allemand qui signifie "champ sensoriel uniforme") est un protocole dinduction détat hypnagogique pour les expériences de télépathie. Le Ganzfeld est le protocole le plus utilisé actuellement en parapsychologie expérimentale. Il a été tout d'abord développé par Charles Honorton dans les années 1970. (Bem, Palmer, & Broughton, 2001) et la précognitionLa précognition est la connaissance dun événement futur qui ne pourrait être ni prédit ni inféré par des moyens normaux. (Bem et al., 2015).
Pourquoi les tailles d’effet sont-elles généralement si petites et comment se situent-elles par rapport aux autres domaines de la recherche ?
Comparé aux circonstances de la « vie réelle », les expérimentations sur le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. impliquent des stimuli impersonnels à conséquences faibles voire inexistantes, à l’inverse des phénomènes psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. reconnus observés dans la vie quotidienne (par ex. : le décès soudain de proches). De plus, le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. semble se manifester de façon plus fiable chez seulement quelques personnes, donc les ES sont probablement la moyenne d’effets plus importants chez des participants sélectionnés avec des effets plus petits voire nuls des autres participants (cf. Harris & Rosenthal, 1988). En ce qui concerne la comparaison aux autres domaines, Richard, Bond et Stokes-Zoota (2003), dans leur analyse de plus de 25 000 expériences de psychologie sociale, rapportèrent un ES moyen de 0.21, similaire à celui de certaines des méta-analyses des Tableaux 1 et 2. L’ES de certains protocoles psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. est non seulement comparable, mais surtout bien supérieur à ceux des usages cliniquement recommandés de l’aspirine ou du propanolol dans la prévention des troubles cardiaques (Spencer, 1995 ; Utts, 1991), et serait classé comme « fondé sur des preuves » si on appliquait les critères de la pratique clinique (cf. Haidich, 2010)
Les Effets psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. significatifs ne sont-ils pas obtenus par des expériences de moindre qualité ?
Tout d’abord, la plupart des méta-analyses examinées contrôlèrent la qualité et trouvèrent toujours des effets significatifs (celle sur le pressentiment trouva même que les études de meilleure qualité s’en sortaient mieux). Ensuite, la recherche sur le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. a initié ou développé des stratégies procédurales et analytiques rigoureuses que la psychologie traditionnelle a adoptées ultérieurement, et la recherche sur le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. est plus rigoureuse (par exemple, dans l’utilisation de protocoles masqués) que la psychologie en général et d’autres domaines de la recherche (Watt & Nagtegaal, 2004). De plus, la recherche sur le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. a changé ses procédures en réponse aux critiques internes et externes, comme l’illustre la recherche sur le ganzfeldLe Ganzfeld (terme allemand qui signifie "champ sensoriel uniforme") est un protocole dinduction détat hypnagogique pour les expériences de télépathie. Le Ganzfeld est le protocole le plus utilisé actuellement en parapsychologie expérimentale. Il a été tout d'abord développé par Charles Honorton dans les années 1970.. Une analyse commandée par la National Academy of Sciences a conclu que les hypothèses alternatives (une fuite sensorielle, des erreurs d’enregistrement ou intentionnelles, le rapport sélectif, de multiples analyses des variables, des échecs de randomisation ou des erreurs statistiques, et l’indépendance des études) ne pouvaient pas expliquer les effets significatifs dans les études sur le ganzfeldLe Ganzfeld (terme allemand qui signifie "champ sensoriel uniforme") est un protocole dinduction détat hypnagogique pour les expériences de télépathie. Le Ganzfeld est le protocole le plus utilisé actuellement en parapsychologie expérimentale. Il a été tout d'abord développé par Charles Honorton dans les années 1970., lesquelles « satisfont régulièrement aux exigences de base d’une conception expérimentale sensée » (Harris & Rosenthal, 1988, p. 53).
Cependant, certains auteurs (par ex. : Bösch et al., 2006 ; Rouder et al., 2013) ont émis la possibilité que les données corroborant le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. puissent être dues à la non-publication des échecs de réplication. Il est impossible de connaître précisément l’effet potentiel de rapports sélectifs, mais la recherche sur le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. a pris des mesures depuis des décennies pour en réduire l’éventualité. Par exemple, la publication des non-réplications est encouragée par les revues scientifiques depuis bien longtemps (Broughton, 1987). De plus, le domaine est si petit que la plupart des chercheurs savent qui étudie quoi et peuvent se renseigner sur des données non publiées pour mener leurs méta-analyses. Il existe également des ensembles de données sur le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. complets et connus corroborant l’hypothèse psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. (Baptista et al., 2015), et un critique du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. nota que la publication sélective est moins manifeste dans le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. que dans les autres domaines (Hyman & Honorton, 1986). Par ailleurs, il ne faudrait pas présumer que les échecs de réplication ne soient pas soumis à publication, alors que les expériences favorables le seraient. Par exemple, les critiques du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. s’empressèrent de publier leurs échecs à répliquer les études de Bem, mais pas les études corroborantes dans leurs bases de données (Bem, 2012 ; Ritchie, Wiseman, & French, 2012). Il y a également eu des études soutenant le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. non soumises car elles étaient conduites par des sceptiques (Sheldrake, 2015), ou parce que le chercheur pensait qu’il y avait déjà suffisamment de preuves en faveur du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. (Bem, communication personnelle, 2016). L’effet de publication sélective s’applique dans les deux sens et, lorsqu’il est évalué statistiquement dans les méta-analyses examinées, aucun effet tiroir classeur n’a été identifié pour justifier les résultats, à l’exception contestable de la micro-PK et de la guérison sans contact.
Concernant les autres pratiques discutables en recherche (en anglais questionable research practice – QRP) telles que le « p haking », bien qu’une étude ait montré qu’elles étaient répandues en psychologie (John, Loewenstein, & Prelec, 2012), une autre trouva que ces résultats étaient probablement gonflés par la façon de formuler les questions (Fiedler & Schwartz, 2016). Une récente simulation de données psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. expérimentales avec un scenario QRP du pire des cas appuya toujours l’hypothèse du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. (Bierman, Spottiswoode, & Bijl, 2016), et les chercheurs sur le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. débattaient des QRP des décennies avant la controverse actuelle (Office of Technology Assessment, 1989). La parapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire. a également pris des mesures pour réduire les potentielles QRP dans le domaine via le pré-enregistrement de recherche sur le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. (Watt & Kennedy, 2015, 2017) et un registre de données ouvertes (https://www.spr.ac.uk/publications/psi-open-data).
L’argument selon lequel « à affirmations exceptionnelles, preuves exceptionnelles », bien que celle-ci soit souvent apportée, est problématique pour plusieurs raisons. Parmi elles, on peut inclure le fait que de nombreux phénomènes qui ne sont plus actuellement considérés comme « exceptionnels » (par ex. : l’électricité) étaient considérés comme extraordinaires, voire impossibles, plus tôt dans l’Histoire, et une exigence de « preuve exceptionnelle » aurait pu empêcher leur acceptation. Se pose également le problème de la définition des critères de « preuves exceptionnelles », qui ont varié au fil du temps, jusqu’aux standards actuellement proposés (Wagenmakers et al.’s [2011] avant l’estimation bayésienne des phénomènes psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. à 10-20) qui sont virtuellement infalsifiables. Deming (2016) conclut qu’il n’existe pas deux différents types de preuves en science et critique l’usage abusif de l’argument de « suppression de l’innovation et maintien de l’orthodoxie » (p. 319). Comme le Professeur en statistiques de Cornell (et psi-sceptique) Joel Greenhouse (1991) le déclara, « les parapsychologues ne devraient pas être tenus à un niveau de preuve différent des autres scientifiques pour appuyer leurs résultats » (p. 388).
Il convient de noter par ailleurs qu’il existe une cohérence dans les méta-analyses et la recherche descriptive sur les phénomènes psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi.. Dans les deux cas, la prise de conscience de phénomènes psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. supposés implique souvent des altérations de la conscience et des stimuli émotionnels saillants. Cependant, les termes positifs en faveur du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. ne devrait pas être surestimés parce que nos connaissances sur le sujet sont bien loin d’être satisfaisantes et les conclusions scientifiques sont provisoires. Le niveau de réplication, bien que comparable aux autres domaines, laisse beaucoup à désirer, les ES sont faibles et des théories doivent être développées et testées plus en profondeur.
Suggestions pour les futures recherches
La recherche sur le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. peut être divisées en deux catégories : les études se rapportant principalement à l’évaluation de la présence ou non d’un effet psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. (axées sur les preuves), et celles reconnaissant le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. et qui cherchent à comprendre sa nature (axées sur le processus ; Stanford, 1974). Les recommandations pour les recherches axées sur le processus sont : (a) étudier les caractéristiques psychologiques et neurocognitives des personnes performantes dans des recherches contrôlées ; (b) développer des mesures non-conscientes du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., dans la ligne des résultats prometteurs de la recherche sur le pressentiment et les recherches sur la cognition anomale implicite ; (c) mener des recherches systématiques sur les cas de phénomènes psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. reconnus se produisant naturellement dans la vie quotidienne ; (d) développer et tester des stratégies pouvant augmenter la capacité de performance dans les études psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., par exemple, via de nouvelles procédures afin de déclencher des altérations spécifiques de la conscience ; (e) analyser les caractéristiques des sessions de recherche où les personnes ont réussi ; (f) approfondir les traits et pratiques des chercheurs qui tendent à avoir des expérimentations réussies.
En ce qui concerne les recherches axée sur les preuves : (a) utiliser des archives de projet déjà existants et éviter les QRP remettant en cause les résultats. Cela ne signifie pas que les effets fortuits doivent être écartés, mais plutôt qu’ils doivent être étiquetés comme tels ; (b) mener des études ayant suffisamment de puissance statistique étant donné les ES pour ce protocole spécifique. Il est cependant important de le faire de manière à ce que la recherche ne devienne pas trop fastidieuse pour les expérimentateurs et/ou participants au point de les démotiver ; (c) développer et tester des procédures qui se rapprochent des caractéristiques du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. réputées comme telles dans la vie quotidienne (par ex. : Sheldrake, 2015) ; (d) développer des protocoles multidisciplinaires avec des chercheurs étant au moins ouverts à la réalité du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi.. Les chercheurs qui sont déjà convaincus que le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. est impossible sont susceptibles de décourager les participants (cf. Schlitz, Wiseman, Watt, & Radin, 2006) ; (e) mener des méta-analyses prospectives et standardiser les procédures en suivant les récents développements (Tressoldi & Utts, 2015, Utts était la présidente de l’American Statistical Association en 2016) ; (f) développer des théories falsifiables pour guider la recherche ; (g) situer le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. au sein de domaines plus larges tels que les études en cours sur les caractéristiques générales de la conscience/esprit.
Ces propositions ne seront vraisemblablement d’aucun effet sans une bonne infrastructure permettant de soutenir de façon programmatique des recherches et théories bien financées, et toute démarche sérieuse doit être valorisée plutôt que pénalisée. Il faudrait également un changement dans la politique éditoriale de certaines revues scientifiques de façon à ce que la position par défaut ne soit pas celle consistant à rejeter systématiquement les articles sur le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., mais plutôt à les faire évaluer sur leur mérite par des examinateurs ouverts et compétents. Ceci s’inscrirait dans la démarche de William James et d’autres fondateurs de la psychologie, dont le but était d’avoir une discipline ouverte et globale (Cardeña, Lynn, & Krippner, 2017).
L’histoire de la science montre que des certitudes antérieures ont été balayées par de nouvelles théories et découvertes. Cette revue de littérature des données empiriques en faveur des phénomènes psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. devrait conduire les psychologues intéressés à consulter les sources principales, leurs critiques (par ex. : Wiseman, 2010), ainsi que les réponses à ces critiques (par ex. : Baptista & Derakhshani, 2014 ; Utts, 1991). Après un examen minutieux de ce domaine, certains lecteurs pourraient être convaincus, comme le fut James H. Fallon (2015), éminent neuroscientifique de l’Université de Californie, que dans le meilleur des cas la recherche sur le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. témoigne d’une « excellence méthodologique » (p. xii) et de résultats prometteurs.
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Pourtant de nombreux témoignages rendaient compte de leur existence, avant que la science classique ne les reconnaisse. Ces « pierres » semblent paranormales pour qui ne dispose pas des concepts adéquats permettant de les accepter en tant qu'objets «dignes de science ». Un deuxième exemple aidera à comprendre le relativisme indispensable dès que l'on tente d'appréhender culturellement la paranormalité. Dans les sociétés traditionnelles africaines, il est très classique de considérer qu'à l'aide de pratiques sorcières un sort ait pu être jeté, faisant ainsi une ou plusieurs victimes. L'idée de l'influence occulte à distance ne pose alors pas problème et fait partie des faits possibles, repérés comme causes envisageables du mal et du malheur. L'action sorcière est donc exclue d'une logique paranormale stricto sensu puisque complètement intégrée dans les croyances populaires. Il est d'ailleurs intéressant de noter que, pour bon nombre de nos contemporains vivant en Europe occidentale, cette conviction est encore très présente. Une fois posé ce nécessaire relativisme, il semble que l'on puisse dégager à notre époque quatre manières dominantes d'aborder le concept de paranormal: « sceptique », «fourre-tout », «parapsychologique» et « holistique ». Pour les sceptiques, le paranormal n'existe pas en tant que tel. Il renvoie à d'autres catégories. Le paranormal n'est qu'apparent. Il peut s'agir en fait d'illusions, de trucages consciemment organisés ou de perceptions inconscientes dont d'éventuels témoins ont été victimes en toute bonne foi. Dans cette optique, des faits inexpliqués peuvent bien être reconnus, surtout s'ils sont reproductibles, mais ils doivent trouver leur place au sein d'interrogations portées logiquement par la science. Les tenants de cette manière d'envisager les choses sont souvent qualifiés de «scientistes», tant ils semblent attachés à une vision du réel correspondant exclusivement aux données les plus classiques et reconnues de la science. Leurs références privilégiées se trouvent du côté d'une épistémologie se définissant comme «cartésienne» ou «rationaliste ». Ce qui n'est pas sans poser question. En effet, en choisissant de délimiter d'une façon plus ou moins arbitraire des objets d'étude considérés comme rationnels et d'autres qui, ne l'étant pas, ne méritent pas que l'on s'y attarde, il n'est pas dit que l'on choisisse le camp de la raison. Le risque encouru est de se débarrasser d'un certain nombre de phénomènes gênants au prix d'une amputation d'un réel que l'on peut supposer toujours plus complexe que l'idée que l'on peut s'en faire. En France, Henri Broch est sans doute le représentant le plus connu de ce courant de pensée s'appuyant sur la « zététique », se voulant « science du doute ». À l'apparent opposé de l'approche précédente, le paranormal est parfois envisagé comme un gigantesque fourre-tout, où tout «mystère» est traité sur un pied d'égalité et dans une logique du « tout existe et tout est ton », sans réflexion épistémolologique sur le niveau de réalité susceptibles d'être mis en jeu suivant les «faits » invoqués. Se côtoient, pêle-mêle, les phénomènes dits paranormaux étudiés par les parapsychologues, la cryptozoologie (étude des animaux rares et mystérieux), l'ufologie et, d'une façon plus large, tout phénomène réputé extraordinaire, inexplicable ou mystérieux: triangle des Bermudes, archéologie sacrée, civilisations disparues, ésotérisme, occultisme, sociétés secrètes, etc. Dans ce cadre, où dominent l'amalgame et l'hétérogénéité, les phénomènes étudiés sont accueillis au milieu d'un ensemble baroque qui pèche indiscutablement par son manque d'unité, du moins vu sous un épistémologique. En revanche, en terme sociologique on pourrrait reconnaître une certaine pertinence de recoupement. En effet, le même statut parascientifique réservé à l'ensemble des phénomènes concernés (puisque dans l'optique scientiste évoquée précédemment « rien n'existe et rien n'est bon »). De plus, des travaux sociologiques ont bien montré la proximité des représentations et croyances que l'adhésion à plusieurs de ces phénomènes implique. Très souvent, le terme « paranormal» est employé de façon plus restrictive pour désigner les phénomènes dits paranormaux étudiés par les parapsychologues, regroupant essentiellement les phénomènes de perception extrasensorielle (ESP : télépathie, clairvoyance, précognition) et les phénomènes de type physique (psychokinèse). L'approche parapsychologique tente d'établir des liens entre les expériences réalisées en laboratoire ayant permis d'asseoir les catégories précédentes et un certain nombre de phénomènes du «paranormal spontané ». La question pertinente pour les chercheurs en parapsychologie consiste à se demander si, devant des faits ou des témoignages non ordinaires, on ne se trouve pas en présence de phénomènes paranormaux observés in vivo. La lévitation n'est-elle pas pas à rattacher à une forme particulière de macropsychokinèse ? Dans la pratique des voyants peut-on repérer des compétences paranormales correspondant à des phénomènes de type ESP? Les parapsychologues restent ouverts mais prudents devant des faits s'éloignant de leurs objets d'études et des interprétations se détachant trop d'une pensée authentiquement rationnelle ce qui les différencie des approches différentes. La dernière manière d'envisager le paranormal peut être considérée comme une variante de la précédente mais s'en différenciant suffisamment pour en être démarquée. Reconnaissant les mêmes phénomènes que les parapsychologues « classiques » mais préocuppés par une théorisation globale et donc à prétention holistique, à défaut d'être définitive, certains chercheurs s'éloignent de l'expérimentation de laboratoire et de la question de la preuve. Ils considèrent cette dernière comme définitivement acquise ou pensent qu'elle n'est pas pertinente épistémologiquement. Ils se tournent alors préférentiellement vers les données tirées de l'expérience subjective pour tenter diverses synthèses à coloration psychologique, philosophique, voire religieuse, suivant les auteurs. Ainsi Philippe Wallon tente de théoriser à travers le concept des «niveaux du mental », un élargissement de l'inconscient associée à des éléments : la philosophie orientale. François Favre privilégie quant à lui le concept d'« intentionnalité» comme moteur de l'émergence du paranormal. D'autres auteurs, à la sensibilité proche du mouvement New Age, n'hésitent pas à associer d'une façon syncrétique plus ou moins rigoureuse des considérations scientifiques (la physique quantique est très souvent convoquée pour la circonstance), philosophiques et spirituelles intégrant des éléments paranormaux. Pour terminer, il paraît utile de tenter de rapprocher le paranormal, concept complexe et polysémique, de certaines catégories théologiques. Le paranormal est trop souvent associé au sumaturel, comme il peut l'être au contraire au diabolique. C'est sans doute à la méconnaissance des travaux parapsychologiques, tout autant dans les milieux ethnologiques, psychanalytiques que théologiques, que l'on doit ce type de confusions et d'amalgames, parfois lourds de fâcheuses conséquences (notamment dans le cadre de certaines prises en charge thérapeutiques, d'accompagnements spirituels ou de pratiques d'exorcismes). Ne serait-il pas plus judicieux de considérer les phénomènes dits paranormaux comme relevant d'un « naturel non ordinaire », voire de la catégorie du «préternaturel»? Il n'est pas question de clore ici un débat qui mérite mieux que la place académique limitée qui lui est aujourd'hui accordée. {Par Paul-Louis Rabeyron (extrait du dictionnaire des miracles et de l'extraordinaire chrétien, rédigé sous la direction de Patrick Sbalchiero, Fayard, 2000)} experiences and altered states of consciousness. In S. Schmidt (Program chair), 2004 Proceedings of the Parapsychological AssociationLa Parapsychological Association (PA) est une organisation internationale constituée de scientifiques et d'universitaires qui étudient les phénomènes psi, comme la télépathie, la clairvoyance, la psychokinèse, la guérison psychique ou la précognition. La Parapsychological Association est reconnue comme une association scientifique à part entière, étant membre de l'AAAS depuis 1969. C'est le plus important organisme de recherche en parapsychologie. La plupart des parapsychologues sont membre de PA. elle permet de féderer l'ensemble des chercheurs travaillant dans le domaine de la parapsychologie et organise chaque année un congrès où sont publiées les recherches scientifiques des parapsychologues. Elle a pour objectif de promouvoir l'approche scientifique et objective des phénomènes psi et ses membres obeissent à une charte de déontologie. Convention (pp. 433–436). Columbus, OH: Parapsychological AssociationLa Parapsychological Association (PA) est une organisation internationale constituée de scientifiques et d'universitaires qui étudient les phénomènes psi, comme la télépathie, la clairvoyance, la psychokinèse, la guérison psychique ou la précognition. La Parapsychological Association est reconnue comme une association scientifique à part entière, étant membre de l'AAAS depuis 1969. C'est le plus important organisme de recherche en parapsychologie. 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Received August 11, 2017 Revision received October 2, 2017 – Accepted October 3, 2017
Traduction : Equipe A-IMI