D’énormes collections de cas spontanés furent
rassemblées par les fondateurs de
la Society for Psychical Research (SPRLa Society for Psychical Research (SPR) est une société anglaise fondée en 1882 par des universitaires de l'élite intellectuelle de Cambridge et d'autres facultés de Grande-Bretagne, ayant pour but l'étude rationnelle des phénomènes psi et en particulier des apparitions. La SPR existe encore et a suscité la création d'organismes similaires dans d'autres pays (ex: American Society for Psychical Research aux Etats-Unis - ASPR).) anglaise.
Les cas de la SPRLa Society for Psychical Research (SPR) est une société anglaise fondée en 1882 par des universitaires de l'élite intellectuelle de Cambridge et d'autres facultés de Grande-Bretagne, ayant pour but l'étude rationnelle des phénomènes psi et en particulier des apparitions. La SPR existe encore et a suscité la création d'organismes similaires dans d'autres pays (ex: American Society for Psychical Research aux Etats-Unis - ASPR). furent reçus en réponse à des
annonces passées dans les journaux. Les
chercheurs se basèrent cependant sur des
critères très stricts pour vérifier leur authenticité,
comme la nécessité de témoignages
indépendants corroborant les faits.
Dans leur monumental « Phantasms of the living »
de 1886, Gurney, Myers et Podmore publièrent les
meilleurs cas, soit 700, qui illustraient toute la
gamme des phénomènes psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., depuis la vague
impression jusqu’aux apparitions de personnes,
c’est à dire la nette sensation de « voir » quelqu’un
devant soi alors qu’il n’est pas là physiquement.
Les auteurs suggèrent que ces apparitions – qui
ne sont pas seulement de personnes disparues,
mais aussi de personnes vivantes – sont
probablement provoquées par l’inconscient
recevant une information télépathique.
Sidgwick, un autre membre de la SPRLa Society for Psychical Research (SPR) est une société anglaise fondée en 1882 par des universitaires de l'élite intellectuelle de Cambridge et d'autres facultés de Grande-Bretagne, ayant pour but l'étude rationnelle des phénomènes psi et en particulier des apparitions. La SPR existe encore et a suscité la création d'organismes similaires dans d'autres pays (ex: American Society for Psychical Research aux Etats-Unis - ASPR)., poursuivit
ce travail spécifiquement sur les apparitions.
Il reçut en tout 17000 réponses, dont 2300
rapportaient une expérience d’apparitionManifestation perceptible de personnes (vivantes ou décédées), animaux, entités ou objets dans un lieu donné, alors que leur présence en ce lieu est impossible physiquement. L'apparition diffère de la simple "vision" dans le sens où elle a une certaine reconnaissance sociale et s'insère dans un contexte culturel précis (religieux, folklorique, spirite, ou autre).. Mais
après analyse de ces rapports,
il ne retint que 1700 « vraies expériences ».
Il en arriva donc à estimer à 10% la portion de la
population anglaise ayant vécu une vraie
occurence d’apparitionManifestation perceptible de personnes (vivantes ou décédées), animaux, entités ou objets dans un lieu donné, alors que leur présence en ce lieu est impossible physiquement. L'apparition diffère de la simple "vision" dans le sens où elle a une certaine reconnaissance sociale et s'insère dans un contexte culturel précis (religieux, folklorique, spirite, ou autre)..
En France, une collection de cas fut entreprise
par le neuro-physiologue Charles Richet, prix
Nobel et directeur de l’Institut MétapsychiqueLe mot métapsychique fut suggéré pour la première fois par M.W. Lutoslawski dans un écrit polonais : Wyklady Jagiellonskie, à Cracovie en 1902, pour désigner des notions assez différentes de celles de Charles Richet. En effet, lorsque celui-ci, dans son adresse présidentielle à la Society for Psychical Research, en 1905, présenta ce mot, il fut, dit-il, unanimement accepté. Quentendait-il par métapsychique ? De même quAristote avait intitulé son chapitre sur les grandes lois de la nature qui dépassent les choses physiques : meta ta fusica, métaphysique, de même il nomma métapsychique la science qui, dépassant les choses de la psychologie classique, étudie des faits qui "paraissent dus à des forces intelligentes inconnues", humaines ou non humaines, "en comprenant dans ces intelligences inconnues les étonnants phénomènes intellectuels de nos inconsciences". Bref, la métapsychique est, dit-il : "La seule science qui etudie des forces intelligentes". Doù résulte logiquement sa distinction entre la métapsychique objective qui "mentionne, classe, analyse certains phénomènes extérieurs perceptibles à nos sens, mécaniques, physiques ou chimiques, qui ne relèvent pas des forces actuellement connues et qui paraissent avoir un caractère intelligent", et la métapsychique subjective qui étudie des phénomènes psychiques non matériels tels que la lucidité, cette mystérieuse faculté de connaissance quil attribue à une sensibilité dont la nature nous échappe et quil propose dappeler cryptesthésie. Ces deux aspects, objectif qui étudie des forces et subjectif qui étudie des phénomènes psychiques, se retrouvent dans la définition générale que Charles Richet donne de la métapsychique : "La science qui a pour objet des phénomènes, mécaniques ou psychologiques, dus à des forces qui semblent intelligentes ou à des puissances inconnues latentes dans lintelligence humaine ". Aujourd'hui le terme de métapsychique est a peu près synonyme de celui de parapsychologie. de
Paris. Il en publia un grand nombre dans son
« Traité de métapsychique ». Camille Flammarion,
astronome français réputé du début du 20ème
siècle, fit aussi d’amples recherches dans les domaines
du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. et rassembla une très grande collection de
cas qu’il publia dans ses nombreux livres, tels
« La mort et son mystère », « Après la mort ».
Louisa Rhine entrepris aussi, vers les années
cinquante, de collectionner des cas, puis de les
analyser. Elle pu mettre à jour de nombreux aspects qui semblaient se retrouver avec régularité à travers les dif-férents cas. En
une dizaine d’années, elle avait accumulé près de
7000 cas.
Il ressort de ses recherches que le rêve
est l’état le plus favorable à l’émergence
spontanée d’une information psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. : 65% des cas de
sa collection impliquaient un rêve. Dans plus
de la moitié des cas (de sa première analyse de
1600 rapports), la personne sentait « dans ses
tripes » que l’information reçue
était juste et qu’elle se rapportait à un événement
réel (présent ou futur).
Contrairement à la SPRLa Society for Psychical Research (SPR) est une société anglaise fondée en 1882 par des universitaires de l'élite intellectuelle de Cambridge et d'autres facultés de Grande-Bretagne, ayant pour but l'étude rationnelle des phénomènes psi et en particulier des apparitions. La SPR existe encore et a suscité la création d'organismes similaires dans d'autres pays (ex: American Society for Psychical Research aux Etats-Unis - ASPR)., Louisa Rhine ne
chercha pas à vérifier les cas qu’elle recevait,
mais elle se focalisa plutôt sur la recherche
de similarités et de patterns reconnaissables : à
partir de ces patterns, des hypothèses pouvaient
être formulées puis vérifiées expérimentalement.
Ces deux approches – celle axée sur la vérification
(SPRLa Society for Psychical Research (SPR) est une société anglaise fondée en 1882 par des universitaires de l'élite intellectuelle de Cambridge et d'autres facultés de Grande-Bretagne, ayant pour but l'étude rationnelle des phénomènes psi et en particulier des apparitions. La SPR existe encore et a suscité la création d'organismes similaires dans d'autres pays (ex: American Society for Psychical Research aux Etats-Unis - ASPR).), et celle axée sur la recherche de
patterns (Louisa Rhine) – furent largement
discutées et débattues par les parapsychologues
qui prirent position pour l’une ou pour
l’autre.
Récemment, le chercheur hollandais Sybo
Schouten utilisa des techniques informatiques
pour comparer trois grandes collections de cas:
celles de la SPRLa Society for Psychical Research (SPR) est une société anglaise fondée en 1882 par des universitaires de l'élite intellectuelle de Cambridge et d'autres facultés de Grande-Bretagne, ayant pour but l'étude rationnelle des phénomènes psi et en particulier des apparitions. La SPR existe encore et a suscité la création d'organismes similaires dans d'autres pays (ex: American Society for Psychical Research aux Etats-Unis - ASPR)., de Louisa Rhine, et enfin de
Sannwald, de l’Université de Fribourg. Il analysa
ainsi de nombreux facteurs. Bien que ces 3
collections impliquent 3 pays (Angleterre, USA et
Allemagne), et s’étendent sur un siècle, Schouten
trouva une cohérence remarquable dans les expériences
relatées, et les patterns se retrouvaient
d’une collection à l’autre, ce qui étayait
rétrospectivement l’approche adoptée par
Louisa Rhine. Cette cohérence prouvait
clairement la validité des expériences psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. en
dehors de toute imprégnation
culturelle.
Van de Castle, un chercheur spécialisé dans
les rêves psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., et qui fut l’un des sujets les
plus doués de la recherche du Dream Lab de
Maïmonides, fit une
analyse a posteriori des diverses collections
de cas spontanés. Il trouva que la précognitionLa précognition est la connaissance dun événement futur qui ne pourrait être ni prédit ni inféré par des moyens normaux.
advient principalement à travers un rêve (dans
60% des cas), ou encore dans l’état entre veille et
sommeil (10% des cas). Il put aussi mettre en
lumière que la mort est le thème de la moitié des
rêves psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., et qu’il existe un lien consanguin entre
percipientPersonne qui perçoit les pensées et les images transmises par télépathie. On utilise aussi parfois l'expression d'émetteur. et agentDans les cas spontanés, la personne vivant lévénement dont le récepteur va recevoir linformation ; dans les expérimentations de télépathie, lémetteur ; dans la psychokinèse :le sujet, considéré comme source du psi. dans 50% des cas, ce qui est
énorme.
Van de Castle pense que des substitutions
symboliques prennent parfois place dans le rêve,
ce qui empêche de réaliser qu’il s’agit là d’un rêve
paranormalLe champ des phénomènes susceptibles de relever de la paranormalité est plus ou moins étendu suivant l'idée même que l'on se fait de ce qui est censé être normal ou pas. Une fois éliminé ce qui relève de l' « anormal » et qui renverrait plutôt au dérèglement, voire au pathologique, il reste un domaine assez vaste de phénomènes ou d'expériences étranges, difficilement explicables, qualifiés bien souvent de paranormaux. Les limites de ce corpus de phénomènes sont destinées à être floues puisqu'elles dépendent étroitement de l'idée qu'à une époque et dans une culture données on se fait du «normal », de l'« explicable» et du «possible ». Prenons un premier exemple, bien connu des historiens des sciences. On a longtemps considéré que les météorites n'existaient pas, puisque des «pierres ne pouvaient pas tomber du ciel ». Pourtant de nombreux témoignages rendaient compte de leur existence, avant que la science classique ne les reconnaisse. Ces « pierres » semblent paranormales pour qui ne dispose pas des concepts adéquats permettant de les accepter en tant qu'objets «dignes de science ». Un deuxième exemple aidera à comprendre le relativisme indispensable dès que l'on tente d'appréhender culturellement la paranormalité. Dans les sociétés traditionnelles africaines, il est très classique de considérer qu'à l'aide de pratiques sorcières un sort ait pu être jeté, faisant ainsi une ou plusieurs victimes. L'idée de l'influence occulte à distance ne pose alors pas problème et fait partie des faits possibles, repérés comme causes envisageables du mal et du malheur. L'action sorcière est donc exclue d'une logique paranormale stricto sensu puisque complètement intégrée dans les croyances populaires. Il est d'ailleurs intéressant de noter que, pour bon nombre de nos contemporains vivant en Europe occidentale, cette conviction est encore très présente. Une fois posé ce nécessaire relativisme, il semble que l'on puisse dégager à notre époque quatre manières dominantes d'aborder le concept de paranormal: « sceptique », «fourre-tout », «parapsychologique» et « holistique ». Pour les sceptiques, le paranormal n'existe pas en tant que tel. Il renvoie à d'autres catégories. Le paranormal n'est qu'apparent. Il peut s'agir en fait d'illusions, de trucages consciemment organisés ou de perceptions inconscientes dont d'éventuels témoins ont été victimes en toute bonne foi. Dans cette optique, des faits inexpliqués peuvent bien être reconnus, surtout s'ils sont reproductibles, mais ils doivent trouver leur place au sein d'interrogations portées logiquement par la science. Les tenants de cette manière d'envisager les choses sont souvent qualifiés de «scientistes», tant ils semblent attachés à une vision du réel correspondant exclusivement aux données les plus classiques et reconnues de la science. Leurs références privilégiées se trouvent du côté d'une épistémologie se définissant comme «cartésienne» ou «rationaliste ». Ce qui n'est pas sans poser question. En effet, en choisissant de délimiter d'une façon plus ou moins arbitraire des objets d'étude considérés comme rationnels et d'autres qui, ne l'étant pas, ne méritent pas que l'on s'y attarde, il n'est pas dit que l'on choisisse le camp de la raison. Le risque encouru est de se débarrasser d'un certain nombre de phénomènes gênants au prix d'une amputation d'un réel que l'on peut supposer toujours plus complexe que l'idée que l'on peut s'en faire. En France, Henri Broch est sans doute le représentant le plus connu de ce courant de pensée s'appuyant sur la « zététique », se voulant « science du doute ». À l'apparent opposé de l'approche précédente, le paranormal est parfois envisagé comme un gigantesque fourre-tout, où tout «mystère» est traité sur un pied d'égalité et dans une logique du « tout existe et tout est ton », sans réflexion épistémolologique sur le niveau de réalité susceptibles d'être mis en jeu suivant les «faits » invoqués. Se côtoient, pêle-mêle, les phénomènes dits paranormaux étudiés par les parapsychologues, la cryptozoologie (étude des animaux rares et mystérieux), l'ufologie et, d'une façon plus large, tout phénomène réputé extraordinaire, inexplicable ou mystérieux: triangle des Bermudes, archéologie sacrée, civilisations disparues, ésotérisme, occultisme, sociétés secrètes, etc. Dans ce cadre, où dominent l'amalgame et l'hétérogénéité, les phénomènes étudiés sont accueillis au milieu d'un ensemble baroque qui pèche indiscutablement par son manque d'unité, du moins vu sous un épistémologique. En revanche, en terme sociologique on pourrrait reconnaître une certaine pertinence de recoupement. En effet, le même statut parascientifique réservé à l'ensemble des phénomènes concernés (puisque dans l'optique scientiste évoquée précédemment « rien n'existe et rien n'est bon »). De plus, des travaux sociologiques ont bien montré la proximité des représentations et croyances que l'adhésion à plusieurs de ces phénomènes implique. Très souvent, le terme « paranormal» est employé de façon plus restrictive pour désigner les phénomènes dits paranormaux étudiés par les parapsychologues, regroupant essentiellement les phénomènes de perception extrasensorielle (ESP : télépathie, clairvoyance, précognition) et les phénomènes de type physique (psychokinèse). L'approche parapsychologique tente d'établir des liens entre les expériences réalisées en laboratoire ayant permis d'asseoir les catégories précédentes et un certain nombre de phénomènes du «paranormal spontané ». La question pertinente pour les chercheurs en parapsychologie consiste à se demander si, devant des faits ou des témoignages non ordinaires, on ne se trouve pas en présence de phénomènes paranormaux observés in vivo. La lévitation n'est-elle pas pas à rattacher à une forme particulière de macropsychokinèse ? Dans la pratique des voyants peut-on repérer des compétences paranormales correspondant à des phénomènes de type ESP? Les parapsychologues restent ouverts mais prudents devant des faits s'éloignant de leurs objets d'études et des interprétations se détachant trop d'une pensée authentiquement rationnelle ce qui les différencie des approches différentes. La dernière manière d'envisager le paranormal peut être considérée comme une variante de la précédente mais s'en différenciant suffisamment pour en être démarquée. Reconnaissant les mêmes phénomènes que les parapsychologues « classiques » mais préocuppés par une théorisation globale et donc à prétention holistique, à défaut d'être définitive, certains chercheurs s'éloignent de l'expérimentation de laboratoire et de la question de la preuve. Ils considèrent cette dernière comme définitivement acquise ou pensent qu'elle n'est pas pertinente épistémologiquement. Ils se tournent alors préférentiellement vers les données tirées de l'expérience subjective pour tenter diverses synthèses à coloration psychologique, philosophique, voire religieuse, suivant les auteurs. Ainsi Philippe Wallon tente de théoriser à travers le concept des «niveaux du mental », un élargissement de l'inconscient associée à des éléments : la philosophie orientale. François Favre privilégie quant à lui le concept d'« intentionnalité» comme moteur de l'émergence du paranormal. D'autres auteurs, à la sensibilité proche du mouvement New Age, n'hésitent pas à associer d'une façon syncrétique plus ou moins rigoureuse des considérations scientifiques (la physique quantique est très souvent convoquée pour la circonstance), philosophiques et spirituelles intégrant des éléments paranormaux. Pour terminer, il paraît utile de tenter de rapprocher le paranormal, concept complexe et polysémique, de certaines catégories théologiques. Le paranormal est trop souvent associé au sumaturel, comme il peut l'être au contraire au diabolique. C'est sans doute à la méconnaissance des travaux parapsychologiques, tout autant dans les milieux ethnologiques, psychanalytiques que théologiques, que l'on doit ce type de confusions et d'amalgames, parfois lourds de fâcheuses conséquences (notamment dans le cadre de certaines prises en charge thérapeutiques, d'accompagnements spirituels ou de pratiques d'exorcismes). Ne serait-il pas plus judicieux de considérer les phénomènes dits paranormaux comme relevant d'un « naturel non ordinaire », voire de la catégorie du «préternaturel»? Il n'est pas question de clore ici un débat qui mérite mieux que la place académique limitée qui lui est aujourd'hui accordée. {Par Paul-Louis Rabeyron (extrait du dictionnaire des miracles et de l'extraordinaire chrétien, rédigé sous la direction de Patrick Sbalchiero, Fayard, 2000)}. De nombreux rêves psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. passeraient
ainsi inaperçus!
Il souligne que « Les rêves paranormaux sont
décrits comme étant spécialement vivants et
intenses; ils persistent généralement de façon
très particulière dans l’esprit du rêveur après le
réveil. »
L’étude des cas spontanés fut, d’une certaine
manière, éclipsée par l’envergure que prit la
recherche expérimentale. Récemment, cependant,
il y a eu une résurgence d’intérêt pour les
approches de terrain, non-expérimentales.
Rhea White, un chercheur psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. qui a introduit
nombre d’idées innovatives dans ce champ de
recherche, insiste sur la nécessité de revenir à
l’étude de la phénoménologie du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., c-à-d à
l’observation des formes que prennent les
phénomènes vécus. Le centre qu’elle a créé
est parmi les plus actifs dans la
recherche de cas spontanés.
Cas spontané 1 : entre précision et flou, les trois somnambules
Cas spontané 2 : un deuxième cauchemar bien réel
Cas spontané 3 : Halte aux voleurs
Cas spontané 4 : les plus grands yeux bleux du monde
Cas spontané 5 : instinct impératif
Cas spontané 6 : Culpabilité précédant l’erreur
Cas spontané 7 : A peine une semelle
Cas spontané 8 : Suis-je à New-York ou en Grèce ?
Cas spontané 9 : Don’t work darling
Cas spontané 10 : Reçu 5 sur 5
Cas spontané 11 : Un taxi rien moins qu’idiot
Cas spontané 12 : Catastrophe spatiale