Le Remote ViewingLe Remote Viewing (vision à distance) est une technique utilisée lors de protocoles de parapsychologie en vu d'étudier les perceptions extra-sensorielles. Les techniques de vision à distance ont pour origine les travaux de René Warcollier. Elle ont ensuite été développées au sein du programme de vision à distance commandité par la CIA dans les années 1970. Jusqu'en 1995, les chercheurs qui ont participé à ce programme se sont efforcés d'utiliser les techniques de remote viewing afin de tenter de développer des applications du psi, en particulier dans le domaine du renseignement., ou vision à distancePerception extra sensorielle d’un lieu situé à distance du récepteur., est une perception extrasensorielle d’un lieu situé à distance. Les expérimentations menées par le SRI (un institut de recherche américain) dans les années 80 débutèrent avec le sujet Pat Price, un ancien préfet de police extrêmement doué et d’une grande précision dans ses descriptions…
Sept sessions sur neuf accomplies par Price furent des succès. Ce qui donne une probabilité de une chance sur 100.000 que cela soit le fait du hasard (p <10-5).
Les résultats globaux du SRI -avec un total de 51 sessions pour 9 sujets- fournissent une preuve solide de la réalité de l’ESPPerception extrasensorielle ; connaissance d’un événement extérieur sans l’intervention des sens connus, ou parfois comportement répondant à cet événement. et de la capacité de certaines personnes à décrire des cibles éloignées: il y a une chance sur 1O millions (p = 10-8) que ces résultats soient dus au hasard! (Targ et Harary, 1984)
D’autres expériences ultérieures, au SRI et ailleurs, ont aussi produit des résultats significatifs, même lorsque les distances étaient beaucoup plus grandes. Par exemple, dix sessions à grande distance furent accomplies entre deux chercheurs: Elmar Gruber, l’émetteur, se trouvait à Rome, alors que Marilyn Schlitz, le récepteurPôle réceptif dans un échange télépathique ; celui qui reçoit l’information ; opposé à émetteur ou agent., résidait à Detroit, aux USA, une distance, donc, de 7000 km. Les résultats furent très probants (p<10-5) (Schl&Gru 80)
Une expérimentation particulièrement intéressante a fait intervenir non seulement de grandes distances, mais aussi une barrière physique très importante: l’océan, qui, comme on le sait, bloque la plupart des ondes électromagnétiques (Voir Forum: Radio mentale). Dans cette expérience mise au point par Stephan Schwartz, les deux sujets psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. se trouvaient dans un sous-marin, dans les eaux profondes du Pacifique, et l’émetteur quelque part dans la baie de San Francisco. Or cela n’empêcha pas l’ESPPerception extrasensorielle ; connaissance d’un événement extérieur sans l’intervention des sens connus, ou parfois comportement répondant à cet événement. de fonctionner parfaitement: les 2 sessions furent des succès, et chaque sujet décrivit sa cibleDans lESP, lobjet ou lévénement que le récepteur cherche à deviner (cartes-cible, image-cible, sites-cible) ; dans la PK, lobjet, le processus ou le système que le sujet cherche à influencer (système-cible : souris, GNA, dés, etc.). avec une grande justesse. (Voir exemples de sessions).
Globalement, si l’on prend les 28 expérimentations de vision-à- distance faites jusqu’en 1984 dans divers laboratoires, on s’aperçoit que plus de la moitié d’entre elles (en fait, 15 sur 28) montrent des résultats significatifs .
Les expérimentations de Vision-à-distance ont bien sûr continué depuis 84. La série d’expériences la plus complète actuellement est celle du PEAR, dirigé par Robert Jahn, ancien doyen du département d’engineering de l’Université de Princeton, et Brenda Dunne. Il s’agissait d’un protocole de précognitionLa précognition est la connaissance dun événement futur qui ne pourrait être ni prédit ni inféré par des moyens normaux. qui impliquait à la fois un déplacement spatial et un déplacement temporel.
Dès le début des années 90, le PEARLe laboratoire Princeton Engineering Anomalies Research (PEAR) a été établi en 1979 par Pr. Robert G. Jahn, alors doyen de la faculté d'ingénierie et de sciences appliquées de l'université de Princeton afin d'étudier les interactions entre la psyché et les systèmes physiques, et plus particulièrement les systèmes aléatoires. Le PEAR dépend du département MEAS (Mechanics and Aerospace) de la SEAS (School of Engineering and Applied Science) de l'université de Princeton. Le PEAR est composé d'une équipe pluridisciplinaire (ingénieurs, physiciens, psychologues) mettant en place des expériences et tentant de fournir des modèles théoriques afin de mieux comprendre le rôle de la conscience dans la réalité physique. Le Program Director est Robert G. Jahn, et la Laboratory Manager Brenda J. Dunne. avait déjà réalisé plus de 300 essais, montrant des résultats psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. hautement significatifs. La distance entre récepteurPôle réceptif dans un échange télépathique ; celui qui reçoit l’information ; opposé à émetteur ou agent. et émetteur avait varié de 1 à 5000 miles. Et le déplacement temporel, de plusieurs jours avant le choix de la cibleDans lESP, lobjet ou lévénement que le récepteur cherche à deviner (cartes-cible, image-cible, sites-cible) ; dans la PK, lobjet, le processus ou le système que le sujet cherche à influencer (système-cible : souris, GNA, dés, etc.). (précognition) à plusieurs jours après (rétro-cognition). Jahn et ses associés ont ainsi démontré que la l’éloignement n’avait aucun impact sur le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., qu’il s’agisse du temps ou de l’espace.
Quelques exemples :
Ces exemples, obtenus au laboratoire de Princeton ainsi qu’au Stanford Research Institute (SRI) permettent de comparer, sur le plan qualitatif, la précision entre les descriptions de sujets psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. et des cibles situées à distance lors de protocoles de remote-viewing.