Dean RadinDean Radin a mené des recherches dans le domaine de la parapsychologie expérimentale en milieu universitaire et dans lindustrie. Il a travaillé à lUniversité de Princeton, à lUniversité dEdimbourg, à lUniversité du Nevada et au Stanford Research International (SRI). Il a également été président de la Parapsychological Association. Il est lauteur de "La consience invisible", un livre qui dresse un paranorama global des recherches scientifiques dans le domaine de la parapsychologie. Il est aussi auteur et co-auteur de plus de 175 articles de journaux et rapports techniques en lien avec la parapsychologie., docteur en psychologie, ingénieur, est considéré comme l’un des meilleurs spécialistes mondiaux dans le domaine de la parapsychologie expérimentaleEtude des perceptions extra-sensorielles et de la psychokinèse dans le cadre du laboratoire.. Il dirige le « Consciousness Research Laboratory » de l’Université du Nevada. Il a également travaillé pendant de nombreuses années au département de psychologie de l’université de Princeton, aux laboratoires d’AT&T et de Bell, ainsi que pour le gouvernement americain. Voici l’introduction de son ouvrage « la conscience invisible » (Ed. Presse du Chatelet, 2000)
» La dépendance du psychisme au cerveau, c’est-
à-dire sa limitation spatio-temporelle, n’est plus si
évidente et incontestable que nous avons été jusqu’à
présent portés à le croire… Il n’est pas seulement
acceptable de douter de la validité absolue de la per
ception de l’espace-temps; au regard des faits
connus, il est même impératif de le faire. »
(Carl Gustav Jung)
En science, la reconnaissance d’une idée nouvelle s’effectue suivant quatre phases.
– Phase 1 : les sceptiques proclament avec assurance que cette idée est impossible, parce qu’elle viole les lois de la science. Cette phase peut durer des années ou ces siècles, selon le défi que cette idée lance à la
sagesse « conventionnelle ».
– Phase 2 : les sceptiques concèdent de mauvaise grâce que cette idée est concevable, mais qu’elle n’a guère d’intérêt et que les effets constatés sont extrêmement faibles.
– Phase 3 : l’opinion majoritaire réalise non seulement que l’idée considérée est forte, mais aussi que ses effets sont beaucoup plus importants qu’on ne l’imaginait auparavant.
– Phase 4 : les critiques qui déniaient tout intérêt à cette nouvelle idée prétendent qu’ils ont été les premiers à la concevoir. Finalement, plus personne ne se souvient qu’elle fut autrefois considérée comme une dangereuse hérésie.
L’idée développée dans ce livre se situe dans la plus importante et difficile de ces quatre étapes – la transition de la phase 1 à la phase 2. Bien qu’elle soit très ancienne, plus d’un siècle a été nécessaire pour éta-
blir qu’elle se conforme aux exigences scientifiques les plus rigoureuses.
Cette démonstration a accéléré la deuxième phase, et l’on peut déjà entrevoir la troisième…
L’IDÉE
Elle consiste à affirmer que les expériences humaines fascinantes, troublantes, et parfois profondes, connues sous le terme de « phénomènes psychiques » sont bien réelles. Cette assertion ne choque guère la majorité des humains, qui sont déjà convaincus de l’existence de ces
phénomènes. Mais, ces dernières années, une grande nouveauté nous a fait dépasser les croyances personnelles.
La réalité des phénomènes psychiques n’est plus uniquement fondée sur la foi, la pensée magique ou des anecdotes sensationnelles, ni même sur quelques expérimentations
scientifiques. Nous savons aujourd’hui que ces phénomènes existent, parce que nous disposons de nouvelles méthodes permettant d’évaluer les masses de données scientifiques accumulées au cours d’un siècle par une multitude de chercheurs.
Les phénomènes psychiques, ou « psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. », se classent en deux grandes catégories. La première comprend la perception d’objets ou d’événements au-delà du champ ordinaire des sens. La seconde comprend l’influence à distance de l’esprit sur la matière. Dans ces deux catégories, il semble que l’intention, la volonté, soit capable d’accomplir des choses aujourd’hui jugées scientifiquement impossibles. Lorsqu’on s’inquiète pour ceux que
l’on aime, on parvient parfois, de manière inexplicable et quelle que soit la distance qui nous sépare, à savoir ce qui leur arrive.
Lorsqu’on souhaite sincèrement qu’un être cher recouvre la santé, il arrive parfois que cette personne se rétablisse plus rapidement, même si l’on est loin d’elle. Quand la volonté agit, maintes choses improbables semblent devenir possibles. La compréhension de telles expériences
demande une vision plus vaste de la conscience humaine. L’esprit est-il seulement une masse de neurones capables de traiter mécaniquement l’information ? Un « ordinateur de chair », comme le croient certains neuro-biologistes ou épistémologistes ? Ou est-il davantage ? Tout un faisceau de
preuves suggèrent que, si de nombreux aspects du fonctionnement mental sont sans aucun doute liés à la structure du cerveau et à l’activité électrochimique, il se passe aussi autre chose, et d’un immense intérêt.
EST-CE BIEN RÉEL ?
Dans tous les débats sur la réalité des phénomènes psychiques, surtout dans une perspective scientifique, la même question revient toujours à
l’arrière-plan : est-on certain de leur existence? Malgré toutes les âneries qui circulent à propos des phénomènes psychiques, malgré l’usage abusif du terme « parapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire. » employé par des « investigateurs » autoproclamés du « paranormalLe champ des phénomènes susceptibles de relever de la paranormalité est plus ou moins étendu suivant l'idée même que l'on se fait de ce qui est censé être normal ou pas. Une fois éliminé ce qui relève de l' « anormal » et qui renverrait plutôt au dérèglement, voire au pathologique, il reste un domaine assez vaste de phénomènes ou d'expériences étranges, difficilement explicables, qualifiés bien souvent de paranormaux. Les limites de ce corpus de phénomènes sont destinées à être floues puisqu'elles dépendent étroitement de l'idée qu'à une époque et dans une culture données on se fait du «normal », de l'« explicable» et du «possible ». Prenons un premier exemple, bien connu des historiens des sciences. On a longtemps considéré que les météorites n'existaient pas, puisque des «pierres ne pouvaient pas tomber du ciel ». Pourtant de nombreux témoignages rendaient compte de leur existence, avant que la science classique ne les reconnaisse. Ces « pierres » semblent paranormales pour qui ne dispose pas des concepts adéquats permettant de les accepter en tant qu'objets «dignes de science ». Un deuxième exemple aidera à comprendre le relativisme indispensable dès que l'on tente d'appréhender culturellement la paranormalité. Dans les sociétés traditionnelles africaines, il est très classique de considérer qu'à l'aide de pratiques sorcières un sort ait pu être jeté, faisant ainsi une ou plusieurs victimes. L'idée de l'influence occulte à distance ne pose alors pas problème et fait partie des faits possibles, repérés comme causes envisageables du mal et du malheur. L'action sorcière est donc exclue d'une logique paranormale stricto sensu puisque complètement intégrée dans les croyances populaires. Il est d'ailleurs intéressant de noter que, pour bon nombre de nos contemporains vivant en Europe occidentale, cette conviction est encore très présente. Une fois posé ce nécessaire relativisme, il semble que l'on puisse dégager à notre époque quatre manières dominantes d'aborder le concept de paranormal: « sceptique », «fourre-tout », «parapsychologique» et « holistique ». Pour les sceptiques, le paranormal n'existe pas en tant que tel. Il renvoie à d'autres catégories. Le paranormal n'est qu'apparent. Il peut s'agir en fait d'illusions, de trucages consciemment organisés ou de perceptions inconscientes dont d'éventuels témoins ont été victimes en toute bonne foi. Dans cette optique, des faits inexpliqués peuvent bien être reconnus, surtout s'ils sont reproductibles, mais ils doivent trouver leur place au sein d'interrogations portées logiquement par la science. Les tenants de cette manière d'envisager les choses sont souvent qualifiés de «scientistes», tant ils semblent attachés à une vision du réel correspondant exclusivement aux données les plus classiques et reconnues de la science. Leurs références privilégiées se trouvent du côté d'une épistémologie se définissant comme «cartésienne» ou «rationaliste ». Ce qui n'est pas sans poser question. En effet, en choisissant de délimiter d'une façon plus ou moins arbitraire des objets d'étude considérés comme rationnels et d'autres qui, ne l'étant pas, ne méritent pas que l'on s'y attarde, il n'est pas dit que l'on choisisse le camp de la raison. Le risque encouru est de se débarrasser d'un certain nombre de phénomènes gênants au prix d'une amputation d'un réel que l'on peut supposer toujours plus complexe que l'idée que l'on peut s'en faire. En France, Henri Broch est sans doute le représentant le plus connu de ce courant de pensée s'appuyant sur la « zététique », se voulant « science du doute ». À l'apparent opposé de l'approche précédente, le paranormal est parfois envisagé comme un gigantesque fourre-tout, où tout «mystère» est traité sur un pied d'égalité et dans une logique du « tout existe et tout est ton », sans réflexion épistémolologique sur le niveau de réalité susceptibles d'être mis en jeu suivant les «faits » invoqués. Se côtoient, pêle-mêle, les phénomènes dits paranormaux étudiés par les parapsychologues, la cryptozoologie (étude des animaux rares et mystérieux), l'ufologie et, d'une façon plus large, tout phénomène réputé extraordinaire, inexplicable ou mystérieux: triangle des Bermudes, archéologie sacrée, civilisations disparues, ésotérisme, occultisme, sociétés secrètes, etc. Dans ce cadre, où dominent l'amalgame et l'hétérogénéité, les phénomènes étudiés sont accueillis au milieu d'un ensemble baroque qui pèche indiscutablement par son manque d'unité, du moins vu sous un épistémologique. En revanche, en terme sociologique on pourrrait reconnaître une certaine pertinence de recoupement. En effet, le même statut parascientifique réservé à l'ensemble des phénomènes concernés (puisque dans l'optique scientiste évoquée précédemment « rien n'existe et rien n'est bon »). De plus, des travaux sociologiques ont bien montré la proximité des représentations et croyances que l'adhésion à plusieurs de ces phénomènes implique. Très souvent, le terme « paranormal» est employé de façon plus restrictive pour désigner les phénomènes dits paranormaux étudiés par les parapsychologues, regroupant essentiellement les phénomènes de perception extrasensorielle (ESP : télépathie, clairvoyance, précognition) et les phénomènes de type physique (psychokinèse). L'approche parapsychologique tente d'établir des liens entre les expériences réalisées en laboratoire ayant permis d'asseoir les catégories précédentes et un certain nombre de phénomènes du «paranormal spontané ». La question pertinente pour les chercheurs en parapsychologie consiste à se demander si, devant des faits ou des témoignages non ordinaires, on ne se trouve pas en présence de phénomènes paranormaux observés in vivo. La lévitation n'est-elle pas pas à rattacher à une forme particulière de macropsychokinèse ? Dans la pratique des voyants peut-on repérer des compétences paranormales correspondant à des phénomènes de type ESP? Les parapsychologues restent ouverts mais prudents devant des faits s'éloignant de leurs objets d'études et des interprétations se détachant trop d'une pensée authentiquement rationnelle ce qui les différencie des approches différentes. La dernière manière d'envisager le paranormal peut être considérée comme une variante de la précédente mais s'en différenciant suffisamment pour en être démarquée. Reconnaissant les mêmes phénomènes que les parapsychologues « classiques » mais préocuppés par une théorisation globale et donc à prétention holistique, à défaut d'être définitive, certains chercheurs s'éloignent de l'expérimentation de laboratoire et de la question de la preuve. Ils considèrent cette dernière comme définitivement acquise ou pensent qu'elle n'est pas pertinente épistémologiquement. Ils se tournent alors préférentiellement vers les données tirées de l'expérience subjective pour tenter diverses synthèses à coloration psychologique, philosophique, voire religieuse, suivant les auteurs. Ainsi Philippe Wallon tente de théoriser à travers le concept des «niveaux du mental », un élargissement de l'inconscient associée à des éléments : la philosophie orientale. François Favre privilégie quant à lui le concept d'« intentionnalité» comme moteur de l'émergence du paranormal. D'autres auteurs, à la sensibilité proche du mouvement New Age, n'hésitent pas à associer d'une façon syncrétique plus ou moins rigoureuse des considérations scientifiques (la physique quantique est très souvent convoquée pour la circonstance), philosophiques et spirituelles intégrant des éléments paranormaux. Pour terminer, il paraît utile de tenter de rapprocher le paranormal, concept complexe et polysémique, de certaines catégories théologiques. Le paranormal est trop souvent associé au sumaturel, comme il peut l'être au contraire au diabolique. C'est sans doute à la méconnaissance des travaux parapsychologiques, tout autant dans les milieux ethnologiques, psychanalytiques que théologiques, que l'on doit ce type de confusions et d'amalgames, parfois lourds de fâcheuses conséquences (notamment dans le cadre de certaines prises en charge thérapeutiques, d'accompagnements spirituels ou de pratiques d'exorcismes). Ne serait-il pas plus judicieux de considérer les phénomènes dits paranormaux comme relevant d'un « naturel non ordinaire », voire de la catégorie du «préternaturel»? Il n'est pas question de clore ici un débat qui mérite mieux que la place académique limitée qui lui est aujourd'hui accordée. {Par Paul-Louis Rabeyron (extrait du dictionnaire des miracles et de l'extraordinaire chrétien, rédigé sous la direction de Patrick Sbalchiero, Fayard, 2000)} », malgré tout le folklore dérisoire des magiciens et des illusionnistes… ces phénomènes seraient tout de même bien réels?
La réponse tient en un mot : oui ! Pour être plus explicite, l’existence du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. a été démontrée par des milliers d’expérimentations. Des différences subsistent concernant l’interprétation de ces preuves, mais presque
tous les scientifiques qui ont examiné les données, y compris les sceptiques endurcis, reconnaissent aujourd’hui qu’il se passe quelque chose d’intéressant, qui mérite une attention scientifique soutenue. Nous verrons plus loin pourquoi si peu de scientifiques et de journalistes scientifiques sont conscients de cette évolution significative parmi les gens informés.
LE CHANGEMENT DES OPINIONS
Le signe le plus clair de ce passage de la phase 1 à la phase 2 est le changement progressif de l’attitude de sceptiques notoires. Dans un livre débordant de sarcasmes publié en 1995, le regretté Cari Sagan, de la Cornell University, poursuit la mission qu’il s’est assignée tout au long de sa vie : contribuer à l’éducation scientifique du public. Dans cet ouvrage, il se moque de l’hystérie populaire focalisée, aux États-Unis, sur les « enlè-
vements extraterrestres », les guérisons miraculeuses, le « visage » sur Mars, bref, sur pratiquement tout ce qui s’entasse dans les rayons « New Age » de la plupart des librairies. Pourtant, parmi les 450 pages de cet
ouvrage, se trouve un paragraphe dans lequel on découvre cette étonnante concession :
« Au moment où j’écris, il me semble que trois hypothèses relevant du domaine de l’ESPPerception extrasensorielle ; connaissance d’un événement extérieur sans l’intervention des sens connus, ou parfois comportement répondant à cet événement. [la perception extrasensorielle] méritent une étude attentive : 1) la pensée humaine peut affecter, ne serait-ce que faiblement, les générateurs de nombres aléatoires dans les ordinateurs ; 2) des sujets soumis à une légère privation sensorielle peuvent recevoir des pensées ou des images qu’on leur « projette » ; 3) de jeunes enfants rapportent quelquefois des détails d’une vie antérieure, que les vérifications confirment et dont ils ne peuvent avoir eu connaissance autrement que par une réincarnation2. »
D’autres indices d’un semblable changement d’opinion se multiplient dans les publications scientifiques. A partir des années 80, des revues aussi célèbres que Foundations of Physics, American Psychologist ou Statistical Science ont publié des articles en faveur d’un réexamen scientifique des phénomènes psychiques. Proceedings of thé IEEE, l’organe
principal de l’Institute for Electronic and Electrical Engineers, a publié d’importants débats sur la recherche psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi.. Le prestigieux Behavioral and Brain Sciences a recueilli des articles analogues. Un texte en faveur des
investigations télépathiques a été publié en 1994 dans le Psychological Bulletin, une des grandes revues de la psychologie académique. La même année, un article de la très réputée Physical Review présentait un modèle théorique de la précognitionLa précognition est la connaissance dun événement futur qui ne pourrait être ni prédit ni inféré par des moyens normaux..
Au cours des années 90, des séminaires sur la recherche psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. ont été intégrés au programme ordinaire des conférences annuelles de l’American Association for the Advancement of Science, de l’American Psychological Association et de l’American Statistical Association. Des conférences sur
invitation présentant la recherche psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. ont été données devant des diplomates des Nations unies, des universitaires de Harvard ou des ingénieurs des Laboratoires Bell.
Le Pentagone non plus n’est pas resté indifférent. De 1981 à 1995, cinq commissions subventionnées par le gouvernement américain ont étudié les preuves des effets psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. : s’ils se révélaient authentiques, ils pourraient être importants pour des raisons de sécurité nationale. Il faudrait en effet
s’attendre à ce que des puissances étrangères les utilisent également. Des rapports ont été établis par le Congressional Research Service, the Army Research Institute, the National Research Council, the Office of
Technology Assessment et par l’American Institutes for Research, ce dernier à la demande de la CIA. Malgré des divergences sur quelques points particuliers, les cinq organismes ont conclu que les données expérimentales justifiaient des études scientifiques sérieuses concernant plusieurs phénomènes psychiques.
Le Congressional Research Service a par exemple conclu en 1981 que
« des expériences récentes sur la vision à distancePerception extra sensorielle d’un lieu situé à distance du récepteur. suggèrent qu’il existe des « interconnections » entre l’esprit humain, d’autres esprits et la matière. Ces interconnections semblent être de nature fonctionnelle et amplifiées par la volonté ou l’émotion. »
Ce même rapport admet que plusieurs applications semblent possibles dans le domaine de la médecine et de l’investigation, avant de conclure sur
« la capacité de l’esprit humain à obtenir des informations déterminantes à la prise de décisions adéquates au plus haut niveau ».
En 1985, un rapport destiné à l’Army Research Institute concluait :
« Le fond de la question est que les données examinées ici constituent de véritables anomalies scientifiques pour lesquelles personne n’a d’explications satisfaisantes. […] Si elles sont vraiment ce qu’elles semblent être, leurs conséquences théoriques (et, à la longue, pratiques) sont énormes. »
En 1987, le National Research Council a réexaminé la question de la parapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire., à la demande de l’armée américaine. La commission a recommandé que soient surveillées les recherches poursuivies aussi bien
en Union soviétique qu’aux États-Unis, et que l’armée envisage de financer des expérimentations en ce domaine car – fait significatif – elle se reconnaissait incapable de proposer des alternatives plausibles aux « hypo-
thèses psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. » pour plusieurs types d’observations. Le président de cette commission était le docteur Ray Hyman, professeur de psychologie à l’université de l’Oregon et sceptique de longue date. En 1988, il déclara au
Chronicle of Higher Education :
« Les parapsychologues doivent être heureux. C’est la première fois qu’un comité gouvernemental estime que leur
travail doit être pris au sérieux. »
En 1989, l’Office of Technology Assessment a publié le rapport d’un séminaire sur le statut de la parapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire.. Le document s’achevait ainsi :
« II est clair que la parapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire. continue de rencontrer une forte résistance dans la communauté scientifique. Le problème est d’amener davantage de scientifiques à se pencher sur ce domaine et à en examiner objectivement les résultats expérimentaux, sans que leur travail soit influencé par des préjugés. Que le jugement
final soit positif, négatif ou mitigé, ce domaine paraît mériter d’être pris en considération ». »
En 1995, à la demande du Parlement américain, l’American Institutes for Research a réexaminé les recherches parapsychologiques effectuées par la CIA, jusque-là protégées par le secret défense. La statisticienne Jessica Utts, de l’université de Californie, en a conclu :
« Les résultats statistiques de ces études sont loin de relever du hasard. On ne peut pas davantage soutenir que ces résultats sont dus à un défaut de méthodologie. Les mêmes effets, d’une même ampleur, […] ont été reproduits dans plusieurs laboratoires à travers le monde. Une telle cohérence ne peut s’expliquer simplement par l’erreur ou la fraude. […] Il faudrait que les prochaines expérimentations aient pour but de comprendre comment fonctionnent ces phénomènes et comment les utiliser. Continuer à chercher des preuves de leur existence ne présente guère d’intérêt. »
Étonnamment, l’autre principal membre du comité, le sceptique Ray Hyman, était du même avis :
« Les écarts statistiques sont trop importants et cohérents pour être attribués au simple hasard. […] J’incline à penser, comme le professeur Utts, que de véritables effets se produisent au cours de ces expériences. Quelque chose d’autre que le hasard est intervenu dans ces expérimentations. »
Certains manuels d’enseignement supérieur,
pourtant toujours rédigés avec la plus grande circonspection, se font l’écho de telles opinions.
Dans la préface d’un ouvrage de référence réédité en 1990, Introduction to Psychology, dirigé par Richard L. Atkinson, on peut désormais lire ceci :
« Les lecteurs noteront le nouveau passage du chapitre 6 intitulé « Les phénomènes psi ». Dans les éditions précédentes, nous avions évoqué ce domaine de façon très critique et sceptique. Bien que nous ayons toujours
de fortes réserves concernant la plupart des recherches en parapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire., nous estimons toutefois que les récents travaux sur la télépathieLa télépathie désigne un échange dinformations entre deux personnes nimpliquant aucune interaction sensorielle ou énergétique connue. sont dignes de considération. »
Cette évolution de l’opinion n’a pas non plus échappé aux grands médias réputés « sérieux ». En mai 1993, le magazine britannique New Scientist faisait sa une et
proposait un dossier de cinq pages sur la télépathieLa télépathie désigne un échange dinformations entre deux personnes nimpliquant aucune interaction sensorielle ou énergétique connue., qui commençait ainsi :
« La recherche psychique a longtemps été récusée comme une affaire de cinglés et de farceurs. Mais une nouvelle expérience de télépathieLa télépathie désigne un échange dinformations entre deux personnes nimpliquant aucune interaction sensorielle ou énergétique connue. rend
perplexes même les plus sceptiques15. » Ces dernières années, Newsweek, le New York Times Magazine, Psychology Today, Nightiine, certaines émissions nationales d’informations, des télévisions et des publications dans le
monde entier sont progressivement passés de la phase 1 à la phase 2 : ils commencent à publier et à diffuser des reportages qui prennent la recherche scientifique psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. au sérieux.
Mais s’il en est ainsi, pourquoi n’est-on jamais tenu au courant des dernières découvertes en la matière? Pourquoi ce domaine reste-t-il aussi controversé? Qui possède des facultés psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi.? Comment opèrent-elles? Quelles sont leurs implications et leurs applications? De telles interrogations sont bien légitimes. Ce livre tentera d’y répondre, en quatre parties consacrées aux quatre thèmes généraux suivants : Motivation, Preuves,
Compréhension et Implications.
THÈME 1 : MOTIVATION
Pourquoi devrions-nous prendre les phénomènes psychiques au
sérieux? La réponse est apportée par l’expérimentation scientifique. Cependant, pour comprendre à quel point ces preuves sont convaincantes, et pourquoi la controverse scientifique persiste, nous devons emprunter un chemin indirect.
Nous aborderons d’abord le vocabulaire employé dans la recherche psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., car les confusions sont souvent dues à l’emploi erroné de termes parfois mal compris (chapitre 1, p. 25). Suivront des exemples d’expériences personnelles, qui font entrevoir l’existence et la nature des phéno-
mènes psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. (chapitre 2, p. 35). Nous examinerons ensuite la question de la reproductibilitéPossibilité de reproduire des résultats identiques ou similaires dans des expérimentations de même type. des faits, qui nous montrera en quoi consiste une preuve scientifique recevable (chapitre 3, p. 45). Enfin, la méta-analyseAnalyse statistique prenant en compte de nombreuses expérimentations dun même type. nous fera saisir comment se mesure cette reproductibilitéPossibilité de reproduire des résultats identiques ou similaires dans des expérimentations de même type. et pourquoi elle est d’une importance capitale (chapitre 4, p. 63).
Certes, on trouve les motifs d’une telle exploration dans les mythologies, les folklores, les doctrines religieuses et d’innombrables anecdotes individuelles. Bien qu’elles suffisent à attirer l’attention de tous, ces histoires et
ces confidences personnelles ne fournissent pas la preuve indiscutable, pour les scientifiques, que les choses sont réellement ce qu’elles semblent être. Ces récits, immanquablement influencés par la foi ou par diverses
croyances, peuvent effectivement être véridiques ou non.
Depuis les années 1880 ne s’accumulent pas moins de nombreuses preuves scientifiquement valides – données empiriques résultant de recherches expérimentales contrôlées. Quoiqu’elles soient moins palpitantes que les anecdotes ou le folklore, ces données ont l’avantage de
satisfaire aux procédures scientifiques en vigueur. Nombre de scientifiques à travers le monde ont discrètement contribué à ces études.
Aujourd’hui, après plus d’un siècle de recherches, une véritable somme de preuves scientifiques a été accumulée. Contrairement à ce que prétendent certains sceptiques, la question n’est plus de savoir si ces preuves existent, mais plutôt de découvrir ce que révèle leur étude et de s’assurer
qu’elles peuvent être reproduites indépendamment.
Comme nous le verrons, le problème de la reproductibilitéPossibilité de reproduire des résultats identiques ou similaires dans des expérimentations de même type. – des chercheurs indépendants et compétents peuvent-ils approximativement aboutir aux mêmes résultats chaque fois qu’une expérience est répétée ? – est fondamental pour établir la véracité scientifique du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi..
THÈME 2 : PREUVES
II s’agit ici de définir les principales catégories d’expériences psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi.,
ainsi que les preuves établissant que les effets constatés sont effectivement reproductibles. Celles-ci reposent sur plus d’un millier d’expérimentations, examinant diverses formes de télépathieLa télépathie désigne un échange dinformations entre deux personnes nimpliquant aucune interaction sensorielle ou énergétique connue., clairvoyanceConnaissance d'objets ou d'événements à distance sans l'intermédiaire des sens.,
précognitionLa précognition est la connaissance dun événement futur qui ne pourrait être ni prédit ni inféré par des moyens normaux., guérison psychiqueGuérison effectuée par des moyens mentaux. et psychokinèseCapacité à influencer mentalement un objet, un processus ou un système sans lutilisation de mécanismes ou dénergies connues. On distingue la bio-psychokinèse , la micro-psychokinèse et la macro-psychokinèse . (chapitres 5 à 9). Ces
preuves sont suffisamment bien établies pour que la plupart des chercheurs ne se préoccupent plus, aujourd’hui, d’en démontrer l’existence.
Ils se concentrent plutôt sur des questions fonctionnelles, en cherchant
par exemple à savoir ce qui influence les effets psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. ou à comprendre
leur mode d’action.
Nous verrons également comment l’expérimentation psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. recoupe des
aspects plus triviaux de la vie, notamment au travers des phénomènes de
groupe (chapitre 10, p. 173), des jeux de casino et des loteries (chapitre 11,
p. 191) ou autres applications possibles du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. (chapitre 12, p. 205).
THÈME 3 : COMPRÉHENSION
L’abondance des preuves examinées dans le thème 2 montrera que
certains phénomènes psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. existent bel et bien, et qu’ils sont certainement
plus diversifiés qu’on aurait d’abord pu l’imaginer. Cela fait des années
que l’on dispose de la plupart des informations en la matière. Depuis tout
ce temps, on aurait donc pu s’attendre à ce que la curiosité des scientifiques ait été attisée, à ce que les crédits affluent et que les chercheurs du
monde entier tentent de reproduire les expériences… Après tout. les
implications de tels phénomènes sont d’une extrême importance, en théorie comme en pratique. Mais, jusqu’à présent, seuls quelques scientifiques
sont conscients de la validité scientifique du dossier psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., et un plus petit
nombre encore d’entre eux se rendent compte à quel point l’accumulation de témoignages qui en constituent la preuve est convaincante.
Nous verrons pourquoi dans cette troisième partie. L’hostilité déclarée
d’un groupe relativement restreint, mais influent, de scientifiques et de
philosophes envers le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. n’est certes pas étrangère à cette attitude (chapitre 13, p. 219) et les informations qui circulaient sur le sujet ont trop
souvent été étouffées ou tournées en ridicule.
Ces inébranlables sceptiques ont-ils raison, et les scientifiques qui,
depuis un siècle, font état d’expériences psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. concluantes ne sont-ils que des
illuminés ou des incompétents? Ou bien y aurait-il une autre explication à
ce scepticisme? Nous constaterons que les scientifiques ne sont pas au-dessus des faiblesses humaines et qu’ils ne font pas toujours preuve de la
rigueur et du rationalisme sans faille que leur accorde le grand public (chapitre 14, p. 239). L’attitude qui consiste à adopter certaines croyances et à
les défendre jusqu’à la mort est incompatible avec la science, par essence
constituée de théories en constante évolution. Malheureusement, ce travers
a souvent fait perdurer des conceptions obsolètes et erronées. Les sceptiques militants ont ce comportement caractéristique qui les pousse à pro-
clamer haut et fort que la confiance accordée aux phénomènes psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. reflète
le déclin général de l’esprit critique. Reste à espérer que ces sceptiques
oseront un jour remettre en cause leurs propres certitudes…
Si l’on veut comprendre pourquoi le profane a généralement admis l’existence du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., alors que la communauté scientifique l’a rejetée, il faut
se reporter aux origines de la science (chapitre 15, p. 251). En examinant de plus près ce conflit de croyances, on constatera que la controverse
scientifique est davantage liée à la psychologie, à la sociologie et à l’histoire des sciences qu’aux preuves elles-mêmes.
Les postulats implicites de la science sont rarement évoqués par les
sceptiques lors des débats sur le psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., sans doute parce qu’ils se réfèrent à une vision du monde profondément rigide et figée. Il est certes plus facile
de prétexter qu’une erreur s’est éventuellement glissée dans une expérience isolée pour condamner toute une recherche que de considérer les
résultats de milliers de travaux similaires. Dans le même ordre d’idées, on
peut encore évoquer la façon dont la science traite les anomalies, les
extra-ordinaires « faits maudits » qui défient l’ensemble des théories en
vigueur18. Nous nous pencherons sur les réactions que ces faits hors du
commun suscitent chez les scientifiques, sur la nature et la valeur des anomalies, puis nous verrons quel rôle jouent les « pré-jugés » – au sens étymologique du terme – dans l’analyse scientifique. Le cloisonnement des
connaissances et des disciplines scientifiques, l’incompatibilité historique
de la science avec la religion fournissent autant d’explications permettant
de comprendre pourquoi la communauté scientifique n’a pas voulu s’intéresser aux phénomènes psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., alors qu’elle aurait dû le faire depuis bien
longtemps au seul vu des données expérimentales.
Cependant, même si l’on fait abstraction de ces diverses considérations, une question fondamentale demeure : pourquoi s’interroger sur la
réalité du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. ?
THÈME 4 : IMPLICATIONS
Étant donné l’importance des résultats obtenus en laboratoire, la
reconnaissance scientifique des phénomènes psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. est inéluctable. En effectuant des recoupements théoriques couvrant diverses disciplines, on peut
entrevoir un début d’explication sur le fonctionnement du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. (chapitre 16, p. 275). Parallèlement aux recherches menées par de grands
laboratoires industriels, des organismes tels que l’Office of Alternative
Medicine du National Institutes for Heaith, qui étudie le phénomène des
guérisons psychiques, font avancer la recherche psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., tandis que les médias
les plus sérieux se chargent d’en informer le grand public.
A mesure que cette reconnaissance augmente, les implications du psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi.
deviennent plus évidentes. Ces phénomènes, nous le savons, mettent en
cause des aspects essentiels de la science, de la philosophie et de la religion (chapitre 17, p. 287). Ils obligeront les scientifiques à revoir leurs
postulats fondamentaux sur l’espace, le temps, l’esprit, la matière. Les philosophes devront reprendre l’immémorial débat sur le rôle de la
conscience dans le monde physique. Les théologiens devront réexaminer
le concept d’intervention divine, car certains phénomènes jusqu’alors
considérés comme miraculeux finiront probablement par recevoir une
explication scientifique.
Toutes ces remises en question auraient dû intervenir depuis long
temps. L’attention exclusive accordée à la « sphère extérieure » a provoqué
une grave fracture entre la dimension personnelle de l’expérience
humaine et le monde officiel de la science. Les scientifiques ont délaissé
certains concepts d’une valeur humaine primordiale, tels que l’espoir et la
notion de sens. La rupture entre objectivité et subjectivité a été sommairement traitée de « non-problème » ou de problème réservé à la religion
mais étranger à la science.
Ce clivage a également entraîné de fâcheuses erreurs technologiques
ainsi qu’une défiance croissante du grand public à l’égard de la science. Ce
qui est fort regrettable car les méthodes scientifiques offrent des instruments inégalés pour surmonter les limitations personnelles et essayer d’appréhender la vérité.
Nous avons vraisemblablement raison d’espérer que les méthode scientifiques, qui nous ont aidés à mieux comprendre les galaxies et le
gènes, éclaireront un jour les expériences décrites par les mystiques tout au long de l’histoire.
Pour en savoir plus :