Pour la deuxième fois depuis sa naissance, le congrès annuel de la prestigieuse Parapsychological AssociationLa Parapsychological Association (PA) est une organisation internationale constituée de scientifiques et d'universitaires qui étudient les phénomènes psi, comme la télépathie, la clairvoyance, la psychokinèse, la guérison psychique ou la précognition. La Parapsychological Association est reconnue comme une association scientifique à part entière, étant membre de l'AAAS depuis 1969. C'est le plus important organisme de recherche en parapsychologie. La plupart des parapsychologues sont membre de PA. elle permet de féderer l'ensemble des chercheurs travaillant dans le domaine de la parapsychologie et organise chaque année un congrès où sont publiées les recherches scientifiques des parapsychologues. Elle a pour objectif de promouvoir l'approche scientifique et objective des phénomènes psi et ses membres obeissent à une charte de déontologie. (PA) s’est tenu à Paris, du 23 au 25 juillet 2010. Co-organisé par l’Institut MétapsychiqueLe mot métapsychique fut suggéré pour la première fois par M.W. Lutoslawski dans un écrit polonais : Wyklady Jagiellonskie, à Cracovie en 1902, pour désigner des notions assez différentes de celles de Charles Richet. En effet, lorsque celui-ci, dans son adresse présidentielle à la Society for Psychical Research, en 1905, présenta ce mot, il fut, dit-il, unanimement accepté. Quentendait-il par métapsychique ? De même quAristote avait intitulé son chapitre sur les grandes lois de la nature qui dépassent les choses physiques : meta ta fusica, métaphysique, de même il nomma métapsychique la science qui, dépassant les choses de la psychologie classique, étudie des faits qui "paraissent dus à des forces intelligentes inconnues", humaines ou non humaines, "en comprenant dans ces intelligences inconnues les étonnants phénomènes intellectuels de nos inconsciences". Bref, la métapsychique est, dit-il : "La seule science qui etudie des forces intelligentes". Doù résulte logiquement sa distinction entre la métapsychique objective qui "mentionne, classe, analyse certains phénomènes extérieurs perceptibles à nos sens, mécaniques, physiques ou chimiques, qui ne relèvent pas des forces actuellement connues et qui paraissent avoir un caractère intelligent", et la métapsychique subjective qui étudie des phénomènes psychiques non matériels tels que la lucidité, cette mystérieuse faculté de connaissance quil attribue à une sensibilité dont la nature nous échappe et quil propose dappeler cryptesthésie. Ces deux aspects, objectif qui étudie des forces et subjectif qui étudie des phénomènes psychiques, se retrouvent dans la définition générale que Charles Richet donne de la métapsychique : "La science qui a pour objet des phénomènes, mécaniques ou psychologiques, dus à des forces qui semblent intelligentes ou à des puissances inconnues latentes dans lintelligence humaine ". Aujourd'hui le terme de métapsychique est a peu près synonyme de celui de parapsychologie. International, le congrès fut précédé, le 22 juillet, par une journée en langue française, avec des interventions non-techniques et accessibles au public général. Les sujets abordés lors des exposés et des tables rondes couvrent un large éventail de thèmes, de l’histoire de la parapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire. (en particulier en France), les questions de recherche, de philosophie et d’épistémologie, et les applications.
Le programme du 22 juillet inclut plusieurs périodes de discussions ouvertes et se finit par une réception informelle pour tous les présents.
Peter Bancel a obtenu un doctorat en physique à l’Université de Pennsylvanie (États-Unis), avec une thèse se focalisant sur l’utilisation des rayons X et des techniques de diffusion des neutrons pour étudier des symétries inhabituelles dans des systèmes quasi-cristallins. Après un post-doctorat financé par IBM, Bancel est venu travailler en France dans le Centre d’Etudes de Chimie Métallurgique de Paris. Il a également occupé un poste à l’Institut des Matériaux de Nantes où il a développé des techniques d’ensemencement laser pour la croissance de protéine de cristal, utilisant des « pinces optiques ».
Il s’est intéressé à la parapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire. après une visite à Princeton où il rencontra Roger Nelson, directeur du Global Consciousness Project (GCP). Après l’attaque terroriste du 11 septembre 2001, Bancel s’est impliqué dans l’analyse des données de ce projet. Il y a travaillé à plein-temps, et est devenu analyste en chef pour le GCP. Il a mis en évidence de nombreuses corrélations structurelles permettant de tester de nouvelles hypothèses pour expliquer les effets obtenus. La Parapsychology Foundation lui a décerné la bourse Eileen Coly 2007 pour encourager et récompenser ses efforts.
Dick BiermanDick Bierman est enseignant à l'Université dAmsterdam et à l'Université dUtrecht. Il suggère quen vue détudier les phénomènes psi, nous pourrions avoir à proposer de nouveaux modèles théoriques intermédiaires entre la conscience et la réalité physique objective. Après un doctorat en Physique Expérimentale, il sest investi dans le domaine de la recherche en Intelligence Artificielle, et plus spécialement dans les systèmes d Intelligent Tutoring. Ces recherches lont mené à létude des états modifiés de conscience, en particulier ceux ayant trait au sommeil. Il a également étudié limportance des processus affectifs dans lapprentissage individuel, ce qui la conduit à sintéresser aux facteurs émotionnels inconscients et à leur rôle dans la prise de décision. Son travail sur le Pressentiment, cest à dire lactivation anormale de centres dexcitation physiologiques précédant des évènements chargés émotionnellement, a trouvé un champ dapplication en adéquation avec ses autre domaines de recherche. Dick Bierman est aussi fortement impliqué dans les expériences qui visent à comprendre les éventuelles relations entre la physique quantique et la conscience.
Dick Biermana obtenu un PhD en physique expérimentale et a étudié par la suite la psychologie à l’Université d’Amsterdam. Ses sujets de recherche vont de l’étude de l’éducation des systèmes d’intelligence artificielle, de l’apprentissage individuel dans les états modifiés de conscience, jusqu’à un intérêt général pour les processus conscients et non-conscients. Durant ces dernières années, il s’est focalisé sur l’étude expérimentale des décisions intuitives, entre autres en relation avec les états de méditation, et aux relations entre l’esprit et la matière (en particulier, sur la possible relation entre la conscience et la physique quantique). Son travail actuel pourrait être labellisé « philosophie expérimentale », testant la possibilité d’un modèle néo-dualiste autorisant le libre arbitre. Il travaille actuellement à l’Université d’Amsterdam, et occupe la chaire Heymans d’étude des Expériences Exceptionnelles, à l’University for Humanistics d’Utrecht, aux Pays-Bas.
Michel Cazenave, poète, écrivain, philosophe, spécialiste de l’uvre de Jung dont il dirige la traduction des uvres aux Editions Albin Michel.
Passionné par la psychanalyse, il se réclame ouvertement de la tradition jungienne. Membre du Conseil pédagogique de Groupe d’études C. G. Jung de 1975 à 2001, président de ce groupe de 1984 à 1990, il est depuis 2005, cofondateur et président du Cercle francophone de recherche et d’information C. G. Jung. Il confronte constamment la pensée de Jung à celles de Freud et de Lacan – tout en l’articulant à des disciplines connexes, comme l’anthropologie, la sociologie contemporaine, la philosophie et l’histoire des religions.
Producteur-coordonnateur, c’est-à-dire responsable de programmes sur France-Culture depuis 1984. On lui doit plusieurs émissions, dont Les Vivants et les Dieux dont il est le producteur direct depuis 1997. Il a également organisé pour France-Culture, en 1979, le Colloque International de Cordoue Science et conscience, les deux lectures de l′Univers (Stock).
Il est l’auteur de nombreux ouvrages, romans et essais, dont : Jung – L’expérience intérieure (Le Rocher, 1997) La science et les figures de l’âme (Le Rocher, 1996), La science et l’âme du monde (Albin Michel, 1996). Voir : www.michelcazenave.fr
Psychologue clinicien (Master II de psychologie clinique, Université de Strasbourg) et doctorant en psychologie clinique à l’Université de Rouen. Ses recherches portent plus particulièrement sur l’histoire de la psychologie hétérodoxe en France, l’expérience de hantisePhénomènes paranormaux visuels et auditifs liés à un lieu, généralement chargé d'histoire. Les phénomènes peuvent être objectifs et/ou subjectifs et comprennent souvent des apparitions de "fantômes"., l’adolescence et l’occultisme, et le diagnostic différentiel des personnes ayant vécu des expériences exceptionnelles. Il a co-fondé en 2009 le Centre d’Information, de Recherche et de Consultation sur les Expériences Exceptionnelles.
Yves Lignon est maître de conférences en mathématiques à l’Université de Toulouse le Mirail. Il est le fondateur et l’animateur du Laboratoire de ParapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire. de Toulouse (http://geepp.or3p.free.fr/) et directeur de la Revue Française de ParapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire.. Il a côtoyé durant 30 ans Rémy Chauvin qui a notamment préfacé l’un de ses premiers livres, Introduction à la parapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire. scientifique (Eché, Toulouse, 1988 ; seconde version Calmann-Lévy, Paris, 1994 ; troisième version refondue et complétée, co-auteur Jocelyn Morisson : ParapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire. : le dossier, Les 3 Orangers, Paris, 2006).
Diplômée en psychologie à l’Université d’Amsterdam en 1999, elle conduit depuis des recherches sur des thèmes psychologiques et parapsychologiques. En 2005, elle a suivi le programme d’été du Rhine Research Center. Elle a réalisé en 2009 un doctorat sur l’intuition, supervisé par Dick BiermanDick Bierman est enseignant à l'Université dAmsterdam et à l'Université dUtrecht. Il suggère quen vue détudier les phénomènes psi, nous pourrions avoir à proposer de nouveaux modèles théoriques intermédiaires entre la conscience et la réalité physique objective. Après un doctorat en Physique Expérimentale, il sest investi dans le domaine de la recherche en Intelligence Artificielle, et plus spécialement dans les systèmes d Intelligent Tutoring. Ces recherches lont mené à létude des états modifiés de conscience, en particulier ceux ayant trait au sommeil. Il a également étudié limportance des processus affectifs dans lapprentissage individuel, ce qui la conduit à sintéresser aux facteurs émotionnels inconscients et à leur rôle dans la prise de décision. Son travail sur le Pressentiment, cest à dire lactivation anormale de centres dexcitation physiologiques précédant des évènements chargés émotionnellement, a trouvé un champ dapplication en adéquation avec ses autre domaines de recherche. Dick Bierman est aussi fortement impliqué dans les expériences qui visent à comprendre les éventuelles relations entre la physique quantique et la conscience. à l’Université pour les Humanistiques à Utrecht.
Psychothérapeute et formateur en Gestalt thérapie, ancien collaborateur de Rémy Chauvin,
ancien membre du Groupe d’Etudes et de Recherches En Parapsychologie, auteur de plusieurs articles en parapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire. dans les années 1975-1980, inventeur du tychoscopeLe tychoscope est un petit robot dont les déplacements sont gérés par un générateur de nombres aléatoires (gna). Le tychoscope a été inventé par lingénieur Pierre Janin, et a été employé notamment dans des expériences sur la PK animale comme celles de Rene Peoch avec des poussins..
Jean-Pierre Jourdan est médecin, vice-président et directeur de la recherche médicale de Iands-France. Il est l’auteur de Deadline : Dernière limite (3 orangers, 2007), un livre d’analyse des expériences de mort imminente reposant sur vingt années de recherches.
Professeur de philosophie, sociologue, membre associé du CNRS. En 1999 sa thèse est publiée par Les Empêcheurs de Penser en Rond sous la forme de deux gros livres totalisant 1200 pages, Somnambulisme et Médiumnité . Un pavé dans la mare des controverses autour de la parapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire., mais aussi de la psychologie tout court… Vaste étude érudite, son livre retrace l’histoire des recherches, des théories et des concepts engendrés autour de la question des potentiels cachés de l’être humain depuis la fin du XVIIIème siècle.
Roger Nelson est docteur en psychologie expérimentale. Il s’intéresse en particulier aux interactions de la conscience avec le monde physique. Il fut coordinateur de recherche au laboratoire du Princeton Engineering Anomalies Research (PEARLe laboratoire Princeton Engineering Anomalies Research (PEAR) a été établi en 1979 par Pr. Robert G. Jahn, alors doyen de la faculté d'ingénierie et de sciences appliquées de l'université de Princeton afin d'étudier les interactions entre la psyché et les systèmes physiques, et plus particulièrement les systèmes aléatoires. Le PEAR dépend du département MEAS (Mechanics and Aerospace) de la SEAS (School of Engineering and Applied Science) de l'université de Princeton. Le PEAR est composé d'une équipe pluridisciplinaire (ingénieurs, physiciens, psychologues) mettant en place des expériences et tentant de fournir des modèles théoriques afin de mieux comprendre le rôle de la conscience dans la réalité physique. Le Program Director est Robert G. Jahn, et la Laboratory Manager Brenda J. Dunne.) à l’Université de Princeton. Il est fondateur du Global Consciousness Project (GCP) et a dirigé le projet depuis son commencement en 1997.
Docteur en médecine, pédopsychiatre, maître en biologie humaine, ancien interne et assistant des hôpitaux psychiatriques de la région Rhônes Alpes. Il exerce actuellement en tant que psychiatre des hôpitaux et directeur médical d’un C.M.P.P (Centre médico-psychopédagogique). Il est également responsable d’enseignement à l’Université Catholique de Lyon.
Après une thèse consacrée aux « Idéologies médicales », il s’oriente, en plus de ses activités cliniques, vers les questions d’anthropologie et d’épistémologie médicales. Il écrit plusieurs articles et participe à plusieurs ouvrages autour de ces thèmes (notamment un « que sais-je? » sur les médecines parallèles, en collaboration avec l’ethnologue François Laplantine). Son intérêt pour les questions parapsychologiques s’affirme à l’occasion de la parution, en 1985, de l’ouvrage collectif Un voyant dans la ville pour lequel il rédige un chapitre.
Depuis 1995, il enseigne dans le cadre du département de Formation humaine de l’Université Catholique de Lyon, où il a créé une unité de valeur intitulée Sciences, société et phénomènes dits « paranormaux ». Ponctuellement, il participe ou a participé également à d’autres enseignements, à l’Université Catholique, mais aussi à l’Université Lyon I ou à l’Université Lyon II.
Depuis fin 2003, il est également responsable du Groupe Etudiants de l’IMI (GEIMI).
Docteur en psychologie avec une thèse à l’Université de Freiburg (Allemagne) en 2002 sur les tests de l’intentionnalité à distance. Il dirige la section académique pour l’évaluation de la médecine complémentaire au centre médical de l’Université de Freiburg ainsi que le Center for Mindfulness, Meditation and Neuroscience Research à l’Institute of Environmental Health Sciences. Il conduit des recherches à l’interface de la santé, de la spiritualité et de la conscience avec une large gamme de méthodes différentes. Il est actuellement le principal chercheur sur plusieurs projets portant sur les effets neurophysiologiques et comportementaux de la méditation en pleine conscience.
Docteur en Psychologie, Psychanalyste. Hypnothérapeute éricksonienne, Master en P.N.L et Praticien du Travail de Respiration Holotropique (TRH). Ex Chargée de cours en psychopathologie à l’Université de Paris X Nanterre.
Après une thèse consacrée à l’articulation entre parapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire. et psychanalyse, elle s’est beaucoup intéressée aux états de conscience non-ordinaires (ou Ecnos) surtout pour leurs applications thérapeutiques (hypnose, rêve éveillé dirigé, TRH) mais également pour leur rôle majeur dans l’émergence de l’effet psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi..
Elle exerce actuellement en tant que psychanalyste en cabinet libéral et à l’Institut des Champs Limites de la Psyché (ICLP).
Outre son activité de psychanalyste et de thérapeute (thérapies individuelles et TRH), elle co-anime, à la suite des travaux de Warcollier et de Marcotte, des groupes d’entraînement à la télépathieLa télépathie désigne un échange dinformations entre deux personnes nimpliquant aucune interaction sensorielle ou énergétique connue. (GET).
Auteur de nombreux articles et de plusieurs ouvrages, dont ParapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire. et psychanalyse, Dunod, 1990.
Ph.D. en psychologie expérimentale, a commencé ses recherches en parapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire. dans les années 1970, au Maimonides Hospital Dream Laboratory (New York), où il a contribué aux premières investigations de la télépathieLa télépathie désigne un échange dinformations entre deux personnes nimpliquant aucune interaction sensorielle ou énergétique connue. en états modifiés de conscience (le Ganzfeld). Après son doctorat, il a continué sa collaboration avec Charles HonortonCharles Honorton s'est intéressé très tôt à la parapsychologie. Adolescent, il échangea avec Joseph Rhine, et étudiant, il passa ses mois d'été au Laboratoire de Parapsychologie d’université de Duke en Caroline du Nord. Charles Honorton collabora avec Stanley Krippner et Montague Ullman au Maimonides Medical Center (Brooklyn, New York) lors des expériences de Rêve télépathique. Devenu directeur de la division de parapsychologie au Maimonides, il fonda en 1979 le Psychophysical Research Laboratories (PRL) à Princeton dans le New Jersey. Il est décédé en 1992 laissant derrière lui un nombre important de publications de parapsychologie, sa principale contribution en parapsychologie étant le développement du protocole Ganzfeld. aux Psychophysical Research Laboratories (PRL) de Princeton, où il était parmi les principaux auteurs de l’«autoganzfeld» de PRL, considéré aujourd’hui comme l’une des expérimentations en parapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire. scientifique les plus viables. Pendant cette période, il a aussi contribué aux investigations de micro-psychokinèsePsychokinèse effectuée sur des systèmes microphysiques aléatoires, tel le bruit électronique. et de précognitionLa précognition est la connaissance dun événement futur qui ne pourrait être ni prédit ni inféré par des moyens normaux., couplant de techniques classiques d’expérimentations informatisées avec de nouvelles approches de jeux-psi.
Dans les années 80 il s’installe en France, et poursuit ses recherches en développant de tests psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. informatiques, et en particulier, le CD-ROM Psi Explorer, qui présente les recherches psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. de pointe avec vidéos, animations et textes, tout en ouvrant à l’utilisateur la possibilité d’explorer interactivement ses propres capacités psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi.. Mario Varvoglis est auteur de nombreuses publications dans des journaux scientifiques spécialisés et des ouvrages collectifs; il est également est l’auteur de La Rationalité de l’Irrationnel (InterEditions, Paris, 1992), et co-auteur de Le Sixième Sens: Science et ParanormalLe champ des phénomènes susceptibles de relever de la paranormalité est plus ou moins étendu suivant l'idée même que l'on se fait de ce qui est censé être normal ou pas. Une fois éliminé ce qui relève de l' « anormal » et qui renverrait plutôt au dérèglement, voire au pathologique, il reste un domaine assez vaste de phénomènes ou d'expériences étranges, difficilement explicables, qualifiés bien souvent de paranormaux. Les limites de ce corpus de phénomènes sont destinées à être floues puisqu'elles dépendent étroitement de l'idée qu'à une époque et dans une culture données on se fait du «normal », de l'« explicable» et du «possible ». Prenons un premier exemple, bien connu des historiens des sciences. On a longtemps considéré que les météorites n'existaient pas, puisque des «pierres ne pouvaient pas tomber du ciel ». Pourtant de nombreux témoignages rendaient compte de leur existence, avant que la science classique ne les reconnaisse. Ces « pierres » semblent paranormales pour qui ne dispose pas des concepts adéquats permettant de les accepter en tant qu'objets «dignes de science ». Un deuxième exemple aidera à comprendre le relativisme indispensable dès que l'on tente d'appréhender culturellement la paranormalité. Dans les sociétés traditionnelles africaines, il est très classique de considérer qu'à l'aide de pratiques sorcières un sort ait pu être jeté, faisant ainsi une ou plusieurs victimes. L'idée de l'influence occulte à distance ne pose alors pas problème et fait partie des faits possibles, repérés comme causes envisageables du mal et du malheur. L'action sorcière est donc exclue d'une logique paranormale stricto sensu puisque complètement intégrée dans les croyances populaires. Il est d'ailleurs intéressant de noter que, pour bon nombre de nos contemporains vivant en Europe occidentale, cette conviction est encore très présente. Une fois posé ce nécessaire relativisme, il semble que l'on puisse dégager à notre époque quatre manières dominantes d'aborder le concept de paranormal: « sceptique », «fourre-tout », «parapsychologique» et « holistique ». Pour les sceptiques, le paranormal n'existe pas en tant que tel. Il renvoie à d'autres catégories. Le paranormal n'est qu'apparent. Il peut s'agir en fait d'illusions, de trucages consciemment organisés ou de perceptions inconscientes dont d'éventuels témoins ont été victimes en toute bonne foi. Dans cette optique, des faits inexpliqués peuvent bien être reconnus, surtout s'ils sont reproductibles, mais ils doivent trouver leur place au sein d'interrogations portées logiquement par la science. Les tenants de cette manière d'envisager les choses sont souvent qualifiés de «scientistes», tant ils semblent attachés à une vision du réel correspondant exclusivement aux données les plus classiques et reconnues de la science. Leurs références privilégiées se trouvent du côté d'une épistémologie se définissant comme «cartésienne» ou «rationaliste ». Ce qui n'est pas sans poser question. En effet, en choisissant de délimiter d'une façon plus ou moins arbitraire des objets d'étude considérés comme rationnels et d'autres qui, ne l'étant pas, ne méritent pas que l'on s'y attarde, il n'est pas dit que l'on choisisse le camp de la raison. Le risque encouru est de se débarrasser d'un certain nombre de phénomènes gênants au prix d'une amputation d'un réel que l'on peut supposer toujours plus complexe que l'idée que l'on peut s'en faire. En France, Henri Broch est sans doute le représentant le plus connu de ce courant de pensée s'appuyant sur la « zététique », se voulant « science du doute ». À l'apparent opposé de l'approche précédente, le paranormal est parfois envisagé comme un gigantesque fourre-tout, où tout «mystère» est traité sur un pied d'égalité et dans une logique du « tout existe et tout est ton », sans réflexion épistémolologique sur le niveau de réalité susceptibles d'être mis en jeu suivant les «faits » invoqués. Se côtoient, pêle-mêle, les phénomènes dits paranormaux étudiés par les parapsychologues, la cryptozoologie (étude des animaux rares et mystérieux), l'ufologie et, d'une façon plus large, tout phénomène réputé extraordinaire, inexplicable ou mystérieux: triangle des Bermudes, archéologie sacrée, civilisations disparues, ésotérisme, occultisme, sociétés secrètes, etc. Dans ce cadre, où dominent l'amalgame et l'hétérogénéité, les phénomènes étudiés sont accueillis au milieu d'un ensemble baroque qui pèche indiscutablement par son manque d'unité, du moins vu sous un épistémologique. En revanche, en terme sociologique on pourrrait reconnaître une certaine pertinence de recoupement. En effet, le même statut parascientifique réservé à l'ensemble des phénomènes concernés (puisque dans l'optique scientiste évoquée précédemment « rien n'existe et rien n'est bon »). De plus, des travaux sociologiques ont bien montré la proximité des représentations et croyances que l'adhésion à plusieurs de ces phénomènes implique. Très souvent, le terme « paranormal» est employé de façon plus restrictive pour désigner les phénomènes dits paranormaux étudiés par les parapsychologues, regroupant essentiellement les phénomènes de perception extrasensorielle (ESP : télépathie, clairvoyance, précognition) et les phénomènes de type physique (psychokinèse). L'approche parapsychologique tente d'établir des liens entre les expériences réalisées en laboratoire ayant permis d'asseoir les catégories précédentes et un certain nombre de phénomènes du «paranormal spontané ». La question pertinente pour les chercheurs en parapsychologie consiste à se demander si, devant des faits ou des témoignages non ordinaires, on ne se trouve pas en présence de phénomènes paranormaux observés in vivo. La lévitation n'est-elle pas pas à rattacher à une forme particulière de macropsychokinèse ? Dans la pratique des voyants peut-on repérer des compétences paranormales correspondant à des phénomènes de type ESP? Les parapsychologues restent ouverts mais prudents devant des faits s'éloignant de leurs objets d'études et des interprétations se détachant trop d'une pensée authentiquement rationnelle ce qui les différencie des approches différentes. La dernière manière d'envisager le paranormal peut être considérée comme une variante de la précédente mais s'en différenciant suffisamment pour en être démarquée. Reconnaissant les mêmes phénomènes que les parapsychologues « classiques » mais préocuppés par une théorisation globale et donc à prétention holistique, à défaut d'être définitive, certains chercheurs s'éloignent de l'expérimentation de laboratoire et de la question de la preuve. Ils considèrent cette dernière comme définitivement acquise ou pensent qu'elle n'est pas pertinente épistémologiquement. Ils se tournent alors préférentiellement vers les données tirées de l'expérience subjective pour tenter diverses synthèses à coloration psychologique, philosophique, voire religieuse, suivant les auteurs. Ainsi Philippe Wallon tente de théoriser à travers le concept des «niveaux du mental », un élargissement de l'inconscient associée à des éléments : la philosophie orientale. François Favre privilégie quant à lui le concept d'« intentionnalité» comme moteur de l'émergence du paranormal. D'autres auteurs, à la sensibilité proche du mouvement New Age, n'hésitent pas à associer d'une façon syncrétique plus ou moins rigoureuse des considérations scientifiques (la physique quantique est très souvent convoquée pour la circonstance), philosophiques et spirituelles intégrant des éléments paranormaux. Pour terminer, il paraît utile de tenter de rapprocher le paranormal, concept complexe et polysémique, de certaines catégories théologiques. Le paranormal est trop souvent associé au sumaturel, comme il peut l'être au contraire au diabolique. C'est sans doute à la méconnaissance des travaux parapsychologiques, tout autant dans les milieux ethnologiques, psychanalytiques que théologiques, que l'on doit ce type de confusions et d'amalgames, parfois lourds de fâcheuses conséquences (notamment dans le cadre de certaines prises en charge thérapeutiques, d'accompagnements spirituels ou de pratiques d'exorcismes). Ne serait-il pas plus judicieux de considérer les phénomènes dits paranormaux comme relevant d'un « naturel non ordinaire », voire de la catégorie du «préternaturel»? Il n'est pas question de clore ici un débat qui mérite mieux que la place académique limitée qui lui est aujourd'hui accordée. {Par Paul-Louis Rabeyron (extrait du dictionnaire des miracles et de l'extraordinaire chrétien, rédigé sous la direction de Patrick Sbalchiero, Fayard, 2000)} (Editions du Chêne, Paris, 2004). Il a organisé plusieurs congrès parapsychologiques en France et a été invité à présenter la recherche psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. aux U.S.A et Canada, en Europe et en Inde. En 2002 il est elu président de la Parapsychological Association, l’organisme officiel de la parapsychologieEtude rationnelle et pluridisciplinaire des faits semblant inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances, et mettant en jeu directement le psychisme et son interaction avec l'environnement. C'est en 1889 que l'Allemand Max DESSOIR proposa les termes de parapsychologie pour "caractériser toute une région frontière encore inconnue qui sépare les états psychologiques habituels des états pathologiques", et de paraphysique pour désigner des phénomènes objectifs qui paraissent échapper aux lois de la physique classique. On parle plus spécifiquement de parapsychologie expérimentale pour désigner la parapsychologie dans le cadre du laboratoire. scientifique (reconnu par le AAAS).
En dehors de ses activités de recherche, Mario Varvoglis est aussi consultant et formateur en innovation et en Creative Problem Solving (CPS). Il enseigne le CPS aux universités et aux grandes écoles et anime des stages et des séances de créativité pour diverses sociétés internationales.