Annoncée depuis longtemps, c’est à la fin de ce mois de février que le PEARLe laboratoire Princeton Engineering Anomalies Research (PEAR) a été établi en 1979 par Pr. Robert G. Jahn, alors doyen de la faculté d'ingénierie et de sciences appliquées de l'université de Princeton afin d'étudier les interactions entre la psyché et les systèmes physiques, et plus particulièrement les systèmes aléatoires. Le PEAR dépend du département MEAS (Mechanics and Aerospace) de la SEAS (School of Engineering and Applied Science) de l'université de Princeton. Le PEAR est composé d'une équipe pluridisciplinaire (ingénieurs, physiciens, psychologues) mettant en place des expériences et tentant de fournir des modèles théoriques afin de mieux comprendre le rôle de la conscience dans la réalité physique. Le Program Director est Robert G. Jahn, et la Laboratory Manager Brenda J. Dunne. (Princeton Engineering Anomalies Research) a fermé définitivement ses portes. Depuis la fin des années 1970, les chercheurs de ce laboratoire ont surtout étudié la possibilité d’une influence de l’esprit sur la matière (avec des générateurs aléatoires, des robots, etc.) et des perceptions à distance. La cause de cette fermeture? Le manque de fonds. Robert Jahn, le fondateur du projet, conclut des expériences que « les anomalies sont réelles et qu’elles peuvent être étudiées scientifiquement avec de grandes bases de données ». Mais ce n’est certainement pas l’avis de tous et, comme on pouvait s’y attendre, des « sceptiques » se réjouissent de la fermeture de ce projet. Pendant toutes ces années, les chercheurs du labo PEARLe laboratoire Princeton Engineering Anomalies Research (PEAR) a été établi en 1979 par Pr. Robert G. Jahn, alors doyen de la faculté d'ingénierie et de sciences appliquées de l'université de Princeton afin d'étudier les interactions entre la psyché et les systèmes physiques, et plus particulièrement les systèmes aléatoires. Le PEAR dépend du département MEAS (Mechanics and Aerospace) de la SEAS (School of Engineering and Applied Science) de l'université de Princeton. Le PEAR est composé d'une équipe pluridisciplinaire (ingénieurs, physiciens, psychologues) mettant en place des expériences et tentant de fournir des modèles théoriques afin de mieux comprendre le rôle de la conscience dans la réalité physique. Le Program Director est Robert G. Jahn, et la Laboratory Manager Brenda J. Dunne. ont publié environ 200 articles, souvent dans le Journal of Scientific Exploration.
La fin de ce brillant labo a provoqué une polémique : le New York Times du 10 février a publié un article légèrement ironique. Idem pour la revue Nature qui met tout de même en question le système trop fermé des revues orthodoxes à comité de lecture. Même si, au final, il n’y a pas de critiques directes de la méthodologie, on sent bien que le programme de recherche du PEARLe laboratoire Princeton Engineering Anomalies Research (PEAR) a été établi en 1979 par Pr. Robert G. Jahn, alors doyen de la faculté d'ingénierie et de sciences appliquées de l'université de Princeton afin d'étudier les interactions entre la psyché et les systèmes physiques, et plus particulièrement les systèmes aléatoires. Le PEAR dépend du département MEAS (Mechanics and Aerospace) de la SEAS (School of Engineering and Applied Science) de l'université de Princeton. Le PEAR est composé d'une équipe pluridisciplinaire (ingénieurs, physiciens, psychologues) mettant en place des expériences et tentant de fournir des modèles théoriques afin de mieux comprendre le rôle de la conscience dans la réalité physique. Le Program Director est Robert G. Jahn, et la Laboratory Manager Brenda J. Dunne. dérange par son contenu. Des parapsychologues comme D. Radin, S. Schwartz, etc., ont envoyé des lettres au New York Times pour se défendre des nombreux sous-entendus présentés dans larticle.
Plutôt que de rentrer dans ces polémiques, nous vous invitons à mieux connaître le PEARLe laboratoire Princeton Engineering Anomalies Research (PEAR) a été établi en 1979 par Pr. Robert G. Jahn, alors doyen de la faculté d'ingénierie et de sciences appliquées de l'université de Princeton afin d'étudier les interactions entre la psyché et les systèmes physiques, et plus particulièrement les systèmes aléatoires. Le PEAR dépend du département MEAS (Mechanics and Aerospace) de la SEAS (School of Engineering and Applied Science) de l'université de Princeton. Le PEAR est composé d'une équipe pluridisciplinaire (ingénieurs, physiciens, psychologues) mettant en place des expériences et tentant de fournir des modèles théoriques afin de mieux comprendre le rôle de la conscience dans la réalité physique. Le Program Director est Robert G. Jahn, et la Laboratory Manager Brenda J. Dunne. à travers une série de liens sur leurs travaux. Et nous souhaitons une bonne retraite à Robert Jahn et Brenda Dunne, qui ne manqueront pas de poursuivre leurs activités dans les domaines de l’exploration scientifique. Car s’ils quittent le PEARLe laboratoire Princeton Engineering Anomalies Research (PEAR) a été établi en 1979 par Pr. Robert G. Jahn, alors doyen de la faculté d'ingénierie et de sciences appliquées de l'université de Princeton afin d'étudier les interactions entre la psyché et les systèmes physiques, et plus particulièrement les systèmes aléatoires. Le PEAR dépend du département MEAS (Mechanics and Aerospace) de la SEAS (School of Engineering and Applied Science) de l'université de Princeton. Le PEAR est composé d'une équipe pluridisciplinaire (ingénieurs, physiciens, psychologues) mettant en place des expériences et tentant de fournir des modèles théoriques afin de mieux comprendre le rôle de la conscience dans la réalité physique. Le Program Director est Robert G. Jahn, et la Laboratory Manager Brenda J. Dunne., cest pour mieux s’investir dans l’International Consciousness Research Laboratories et dans la Society for Scientific Exploration. Bonne retraite aussi au célèbre Murphy, la machine en forme de fontaine de billes qui était utilisé pour des tests ludiques de psychokinèseCapacité à influencer mentalement un objet, un processus ou un système sans lutilisation de mécanismes ou dénergies connues. On distingue la bio-psychokinèse , la micro-psychokinèse et la macro-psychokinèse ., et qui vient d’être démonté pour être envoyé à l’Université du Colorado.
L’article dans le New York Times.
L’article « The lab that asked the wrong questions », dans : Nature 446, 10-11 (1 March 2007), publié en ligne le 28 février 2007.
Des travaux du PEAR accessibles en ligne.