« L’atelier des visions »
Programme de conférences-ateliers performatives
Par Pascal Pique
(2024-2025)
Le phénomène visionnaire, les artistes et l’IMI
L’art, les artistes et les œuvres ont tenu une place importante dans l’histoire et les activités de l’Institut Métapsychique International. Notamment avec Augustin Lesage qui a fait l’objet d’une recherche expérimentale de la part du docteur Osty. Un numéro de la revue parapsychique intitulé « art et occultisme » a été publié en 1953. Pour son centenaire l’IMI a réalisé une exposition intitulée « L’au-delà incarné, médiumnité, art et métapsychique ». Cela concerne plutôt des artistes historiques alors que le phénomène visionnaire est toujours actif aujourd’hui pour de nouvelles générations d’artistes. Cet atelier s’inscrit dans cette continuité en l’actualisant à travers des vécus visionnaires et artistique actuels.
Les approches du Musée de l’Invisible
Le Musée de l’Invisible a été créé en 2012. Il s’intéresse aux phénomènes visionnaires vécus par les artistes et à leur matérialisation sous la forme d’œuvre d’arts. Il constitue aussi le laboratoire d’une recherche universitaire en sciences de l’art/esthétique à Paris 1 Panthéon Sorbonne dans le cadre d’un doctorat intitulé « Art, Invisible et Nature : pour une écoesthétique énergétique et réparatrice ». Le Musée de l’Invisible aborde le phénomène visionnaire d’un point de vue transhistorique et transculturel. Notamment à travers des expositions, des conférences et des ateliers. (Astralis à l’espace culturel Louis Vuitton à Paris 2014, L’arbre visionnaire, au centre d’art contemporain de Lacoux en 2014, Les visionnaires à Paris en 2019, ou plus récemment Fréquences brutes en 2023).
Déroulement des ateliers
« L’atelier des visions » prend la forme d’une programmation sur 2024/2025 de conférences-ateliers performatives. Les intervenants sont des artistes ayant eu des vécus psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi. avérés à dimension visionnaire ayant influé dans leur processus créatif. Chaque atelier se déroule en deux temps : une conférence de l’artiste présentant son art et ses vécus psiThouless et Wiesner ont introduit en 1942 lexpression "Phénomène psi" (et non "psy"), de la lettre grecque Psi, qui se voulait un terme neutre simplement destiné à désigner le "facteur inconnu" dans les expériences de parapsychologie, en opposition avec les communications sensori-motrices habituelles. On utilise ainsi le terme psi comme signifiant de façon générale une communication anormale avec lenvironnement (perceptions extra-sensorielles ou psychokinèse). On utilise fréquemment en parapsychologie les expressions de sujet psi, de perceptions psi et de phénomènes psi., suivie d’un d’atelier performatif proposant au public de participer à une expérience à dimension visionnaire et créative. L’atelier existe également de manière permanente sous la forme d’un fil internet ouverts aux adhérents et chercheurs de l’IMI qui permet de revenir sur les événements, les faits et les œuvres pour un donner des analyses et interprétations. Une captation vidéo peut participer du programme comme élément de restitution et de recherche.
Organisation
La programmation est établie conjointement par le Musée de l’Invisible et l’Institut Métapsychique. Un ou plusieurs chercheurs de l’IMI suivent où analysent les rendus d’ateliers pour un donner une lecture métapsychique à dimension scientifique. Les ateliers sont ouverts à tous les publics sur inscription. Ils ont lieu sur une demi-journée (par exemple le samedi) selon une fréquence des conférences-ateliers est de 1 date tous les mois et demi à deux mois à partir de septembre 2024. Ils sont animés par Pascal Pique du Musée de l’Invisible associé à une personne de l’IMI. Une participation financière du public permet d’assurer les frais de déplacement, de matériel et d’honoraires pour les artistes. Ces ateliers peuvent être délocalisés ou réalisés en partenariat.
Programme
Les conférences ont lieu tous les mois et demi pendant une année à l’Institut MétapsychiqueLe mot métapsychique fut suggéré pour la première fois par M.W. Lutoslawski dans un écrit polonais : Wyklady Jagiellonskie, à Cracovie en 1902, pour désigner des notions assez différentes de celles de Charles Richet. En effet, lorsque celui-ci, dans son adresse présidentielle à la Society for Psychical Research, en 1905, présenta ce mot, il fut, dit-il, unanimement accepté. Quentendait-il par métapsychique ? De même quAristote avait intitulé son chapitre sur les grandes lois de la nature qui dépassent les choses physiques : meta ta fusica, métaphysique, de même il nomma métapsychique la science qui, dépassant les choses de la psychologie classique, étudie des faits qui "paraissent dus à des forces intelligentes inconnues", humaines ou non humaines, "en comprenant dans ces intelligences inconnues les étonnants phénomènes intellectuels de nos inconsciences". Bref, la métapsychique est, dit-il : "La seule science qui etudie des forces intelligentes". Doù résulte logiquement sa distinction entre la métapsychique objective qui "mentionne, classe, analyse certains phénomènes extérieurs perceptibles à nos sens, mécaniques, physiques ou chimiques, qui ne relèvent pas des forces actuellement connues et qui paraissent avoir un caractère intelligent", et la métapsychique subjective qui étudie des phénomènes psychiques non matériels tels que la lucidité, cette mystérieuse faculté de connaissance quil attribue à une sensibilité dont la nature nous échappe et quil propose dappeler cryptesthésie. Ces deux aspects, objectif qui étudie des forces et subjectif qui étudie des phénomènes psychiques, se retrouvent dans la définition générale que Charles Richet donne de la métapsychique : "La science qui a pour objet des phénomènes, mécaniques ou psychologiques, dus à des forces qui semblent intelligentes ou à des puissances inconnues latentes dans lintelligence humaine ". Aujourd'hui le terme de métapsychique est a peu près synonyme de celui de parapsychologie. International à Paris. Elles se déroulent en deux temps : un temps de présentation de l’artiste de 60 mn sous forme d’une mini conférence ou d’un entretien avec le Musée de l’Invisible, suivi d’un atelier de 2 h sur une proposition de l’artiste. Les conférences ont lieu hors vacances scolaires de la zone C. Elles participent du projet d’exposition «Dess(t)ins visionnaires » qui aura lieu au centre d’art contemporain de Istres en 2025.
Les Participants
Philippe Deloison, Bernard Blancan, Myriam Mechita, Sandra Lorenzi, Marion Laval-Jeantet (à confirmer), Stéphane Besnard, Olivier Raud, Aurélie Dubois, Jean-Luc Leguay, accompagnés de Pascal Pique du Musée de l’Invisible qui assure la coordination avec L’A-IMI (Association des Amis de l’Institut MétapsychiqueLe mot métapsychique fut suggéré pour la première fois par M.W. Lutoslawski dans un écrit polonais : Wyklady Jagiellonskie, à Cracovie en 1902, pour désigner des notions assez différentes de celles de Charles Richet. En effet, lorsque celui-ci, dans son adresse présidentielle à la Society for Psychical Research, en 1905, présenta ce mot, il fut, dit-il, unanimement accepté. Quentendait-il par métapsychique ? De même quAristote avait intitulé son chapitre sur les grandes lois de la nature qui dépassent les choses physiques : meta ta fusica, métaphysique, de même il nomma métapsychique la science qui, dépassant les choses de la psychologie classique, étudie des faits qui "paraissent dus à des forces intelligentes inconnues", humaines ou non humaines, "en comprenant dans ces intelligences inconnues les étonnants phénomènes intellectuels de nos inconsciences". Bref, la métapsychique est, dit-il : "La seule science qui etudie des forces intelligentes". Doù résulte logiquement sa distinction entre la métapsychique objective qui "mentionne, classe, analyse certains phénomènes extérieurs perceptibles à nos sens, mécaniques, physiques ou chimiques, qui ne relèvent pas des forces actuellement connues et qui paraissent avoir un caractère intelligent", et la métapsychique subjective qui étudie des phénomènes psychiques non matériels tels que la lucidité, cette mystérieuse faculté de connaissance quil attribue à une sensibilité dont la nature nous échappe et quil propose dappeler cryptesthésie. Ces deux aspects, objectif qui étudie des forces et subjectif qui étudie des phénomènes psychiques, se retrouvent dans la définition générale que Charles Richet donne de la métapsychique : "La science qui a pour objet des phénomènes, mécaniques ou psychologiques, dus à des forces qui semblent intelligentes ou à des puissances inconnues latentes dans lintelligence humaine ". Aujourd'hui le terme de métapsychique est a peu près synonyme de celui de parapsychologie. International).
Ateliers délocalisés
. Aix-en-Provence et Istres , février 2025 : 2 workshop avec le Musée de l’Invisible + arbres à L’ESAAix et au centre d’art Polaris à Istres avec Philippe Deloison
Réservation : contact@metapsychique.org